La maitrise du budget suppose en amont de maitriser sa fiscalité, qu'il s'agisse de la fiscalité sur les flux (IR) ou sur le patrimoine (IFI). Plusieurs dispositifs, tels que crédits d'impôt ou réduction d'impôt peuvent être envisagés afin d'optimiser au maximum sa charge fiscale.
L'IR ou l'IFI disposent de leurs propres alternatives, dans le respect de la législation en vigueur.
Plusieurs investissements permettent de réduire votre impôt sur le revenu, soit en s'imputant sur la base imposable, c’est le cas par exemple du PER - Plan d’Épargne Retraite, déficit foncier, monuments historiques, soit en diminuant l'impôt à payer, c'est le cas par exemple du dispositif Pinel ou du Girardin.
L’impôt sur la fortune immobilière ne peut être réduit qu’en effectuant des dons à certains organismes. Néanmoins, compte tenu de l’assiette limitée de l’IFI aux actifs immobiliers, nous pouvons vous préconiser des investissements qui n’entrent pas dans l'IFI malgré un sous-jacent immobilier, tels que les investissements en nue-propriété, groupement forestier, club deal immobilier etc.
Nos équipes vous conseillent quant à optimisation de l’IFI sur votre patrimoine, en faisant appel aux principes du démembrement ou en sélectionnant des types d’investissements spécifiques exonérés d’IFI.
La société patrimoniale par exemple, est un outil juridique incontournable permettant aux particuliers d’optimiser leurs revenus, tout en bénéficiant d’un contexte fiscal favorable. En effet, cette société, dont l’objet principal sera le placement de capitaux et la gestion d’un patrimoine mobilier ou immobilier, sera de préférence soumise à l’impôt sur les sociétés, dont le taux est aujourd’hui en cohérence avec celui des autres pays de la zone euros.
Face à l’envolée des prélèvements obligatoires, l’optimisation de l’impôt sur le revenu est devenue une préoccupation récurrente pour de nombreux ménages français. Dans ce paysage foisonnant, divers mécanismes fiscaux cohabitent, offrant des allègements parfois conséquents. Encore faut-il en maîtriser les ressorts et les implications : car derrière la promesse de « défiscalisation », les effets sur le revenu imposable, l’impôt dû ou la fiscalité à terme varient considérablement. Les dispositifs fiscaux de faveur peuvent être classés en trois grandes familles : ceux permettant une déduction ou une réduction immédiate, ceux reposant sur un investissement à fonds perdus, et ceux offrant un avantage fiscal différé, généralement à la sortie. Chacune de ces catégories correspond à des profils patrimoniaux, fiscaux et psychologiques bien distincts.
Les objectifs qu’un client peut avoir lorsqu’il s’adresse à son conseiller en gestion de patrimoine sont nombreux, mais la recherche d’économies fiscales immédiates ou à venir occupe généralement une place centrale. Cela peut concerner la maitrise de sa fiscalité à l’impôt sur le revenu (IR) ou à l’impôt sur la fortune immobilière (IFI), mais également l’anticipation de la transmission de son patrimoine dans le but de réduire les droits de mutation à titre gratuit (DMTG).
Les véhicules d’investissement à long terme bénéficient en France d’une fiscalité avantageuse visant à encourager l’épargne et l’investissement sur une durée étendue. Ces différents véhicules, à savoir le Plan d’Épargne Retraite (PER), les contrats d’assurance-vie et de capitalisation ainsi que les Plan d’Épargne en Actions (PEA), présentent un intérêt indéniable à capitaliser pour constituer à long terme des revenus complémentaires. À ce titre, chaque enveloppe dispose d’un cadre fiscal spécifique et distinct.