Des réseaux, équipements et installations qui fournissent à la population des services essentiels et nécessaires au développement économique et social.
Quatre grands secteurs :
• Digitalisation : la demande grandissante d’accès aux données numériques (internet, smartphones, smart cities…) soutient le déploiement de réseaux de fibre optique toujours plus performants et étendus, de data centers et d’infrastructures 5G.
• Décarbonation : l’accélération des changements climatiques et la prise de conscience écologique globale poussent les pays européens à adopter des politiques de réduction de gaz à effet de serre. Les secteurs publics et privés sont soumis à une pression croissante de la part de leurs actionnaires, régulateurs et autres parties prenantes pour passer aux technologies vertes, ce qui nécessite des investissements importants.
• Démographie : la croissance démographique, l’urbanisation et le vieillissement de la population sont autant de pression sur les infrastructures existantes. De plus, les villes et régions qui connaissent un afflux de population ont besoin de nouveaux investissements pour faire face à une demande croissante d’électricité, de chauffage et de transport.
• Financement privé : avec des budgets publics de plus en plus sous contraintes, les gouvernements européens auront besoin du soutien du secteur privé pour financer ces actifs.
Les performances passées ne préjugent pas des performances futures.
Source : Global Infrastructures Outlook, données depuis 2007, sur 56 pays couverts dont 10 pays africains participant au G20 Compact.
La société de gestion appelle les fonds auprès des investisseurs durant la période d’investissement afin de procéder aux investissements ;
Elle cède ensuite ses participations, rend le capital investi et les produits de plus-value durant une deuxième période de distribution.La performance cumulée (cash flows nets cumulés) répond d’une courbe en J.
Ces données sont indiquées à titre illustratif. Nous rappelons que les fonds infrastructures présentent un risque de perte en capital.
Le Private Equity en infrastructures s’est rendu accessible depuis quelques années aux investisseurs privés.
Le couple rendement-risque particulièrement attractif et les nombreux avantages de cette classe d’actifs la rende indispensable pour tout portefeuille diversifié. La performance du Private Equity est combinée à la résilience des actifs tangibles.
Le risque de perte en capital et l’illiquidité du placement doivent toutefois être appréhendés finement par l’investisseur, et le poids des fonds d’infrastructures doit être mesuré.
Longtemps apanage des institutionnels, les actifs non-cotés sont depuis quelques années accessibles à la clientèle privée.
L’objectif de la dette privée est de combler les besoins de financement entre la dette bancaire et les capitaux propres (equity).
Le LBO est un montage financier permettant d’acquérir une entreprise par effet de levier.