L'épargne est une composante essentielle de la gestion de son patrimoine. En France, deux produits d'épargne sont souvent comparés : le Plan d'Épargne Retraite (PER) et l'assurance-vie. Bien qu'ils partagent certaines similitudes, notamment leur capacité à offrir des avantages fiscaux, ces deux solutions présentent des caractéristiques distinctes qui les rendent adaptées à des objectifs d'épargne différents.
Le Plan d'Épargne Retraite individuel est un produit d'épargne destiné à accumuler des fonds tout au long de la vie active, avec pour objectif de préparer un complément de revenu une fois à la retraite. Le Plan d'Épargne Retraite permet de constituer un capital à long terme tout en bénéficiant d’un avantage fiscal pendant la phase d'épargne. Ce capital sera ensuite disponible sous forme de capital ou de rente lors de la retraite.
L'assurance-vie, quant à elle, n'a pas d'objectif spécifique et peut servir à une multitude de fins : préparation de la retraite, transmission de patrimoine, financement d'un projet à moyen terme ou encore constitution d'une épargne de sécurité. C'est un produit d'épargne flexible qui permet de diversifier son investissement et de profiter d'une fiscalité avantageuse.
Le choix entre un Plan d’Épargne Retraite et une assurance-vie dépend largement de vos objectifs d'épargne. Si votre priorité est de préparer votre retraite tout en bénéficiant d'une réduction d'impôt immédiate, le Plan d’Épargne Retraite s'avère être une solution intéressante. En revanche, si vous recherchez un produit d'épargne plus flexible, permettant une gestion souple de votre épargne à long terme et avec des avantages fiscaux sur la transmission de patrimoine, l'assurance-vie pourrait être le choix le plus adapté.
Les deux produits ne sont pas exclusifs l'un de l'autre : au contraire, ils sont complémentaires, notamment si vous souhaitez à la fois préparer votre retraite tout en bénéficiant de la possibilité de transmettre votre patrimoine dans des conditions fiscales avantageuses.
Créer une entreprise, la faire grandir, la céder ou la transmettre : derrière ces mots se cache une aventure humaine et économique, jalonnée de choix déterminants. À chaque étape, le dirigeant se retrouve face à des décisions qui engagent son avenir, celui de son entreprise et de sa famille. Et dans ce parcours, une certitude s’impose : l’accompagnement n’est pas une option, mais un levier de réussite.
Il y a des idées qui reviennent régulièrement dans le débat public, portées par la promesse d’une « justice fiscale » et d’un monde meilleur. La taxe Zucman, impôt plancher sur la fortune (IPF) de 2 % sur les patrimoines supérieurs à 100 millions d’euros, en est l’exemple parfait. Mais, derrière la façade a priori séduisante de la lutte contre les inégalités, cette mesure relève surtout d’une démagogie fiscale qui ignore la réalité économique, juridique et même… mathématique.
Bien que le mandat de protection future et le mandat à effet posthume aient été introduits il y a plus de quinze ans dans le Code civil français, ces dispositifs continuent d’évoluer. Ainsi, le décret n°2024-1032 a récemment instauré le registre des mandats de protection future, comme le prévoyait déjà la loi de 2015 relative à l’adaptation de la société au vieillissement.
En France, la gestion des produits financiers pour un majeur protégé est encadrée par la loi. L’objectif est de garantir la protection des intérêts de la personne vulnérable tout en assurant une administration adaptée de son patrimoine.
Dans un environnement marqué par l’inflation, la volatilité des marchés financiers et l’évolution constante de la fiscalité, les stratégies d’investissement doivent répondre à une double exigence : préserver le capital déjà constitué et assurer des revenus stables et durables. La clé réside dans une stratégie équilibrée, qui s’appuie sur toutes les classes d’actifs disponibles. Cette diversification n’est pas seulement une opportunité, c’est aussi une obligation pour sécuriser son avenir financier.
À l’heure où les ETF séduisent de plus en plus d’investisseurs, la question mérite d’être posée. Entre promesse de performance, coûts réduits et vrais enjeux de diversification, faisons le point sur deux approches qui façonnent le paysage financier d’aujourd’hui.