L'épargne est une composante essentielle de la gestion de son patrimoine. En France, deux produits d'épargne sont souvent comparés : le Plan d'Épargne Retraite (PER) et l'assurance-vie. Bien qu'ils partagent certaines similitudes, notamment leur capacité à offrir des avantages fiscaux, ces deux solutions présentent des caractéristiques distinctes qui les rendent adaptées à des objectifs d'épargne différents.
Le Plan d'Épargne Retraite individuel est un produit d'épargne destiné à accumuler des fonds tout au long de la vie active, avec pour objectif de préparer un complément de revenu une fois à la retraite. Le Plan d'Épargne Retraite permet de constituer un capital à long terme tout en bénéficiant d’un avantage fiscal pendant la phase d'épargne. Ce capital sera ensuite disponible sous forme de capital ou de rente lors de la retraite.
L'assurance-vie, quant à elle, n'a pas d'objectif spécifique et peut servir à une multitude de fins : préparation de la retraite, transmission de patrimoine, financement d'un projet à moyen terme ou encore constitution d'une épargne de sécurité. C'est un produit d'épargne flexible qui permet de diversifier son investissement et de profiter d'une fiscalité avantageuse.
Le choix entre un Plan d’Épargne Retraite et une assurance-vie dépend largement de vos objectifs d'épargne. Si votre priorité est de préparer votre retraite tout en bénéficiant d'une réduction d'impôt immédiate, le Plan d’Épargne Retraite s'avère être une solution intéressante. En revanche, si vous recherchez un produit d'épargne plus flexible, permettant une gestion souple de votre épargne à long terme et avec des avantages fiscaux sur la transmission de patrimoine, l'assurance-vie pourrait être le choix le plus adapté.
Les deux produits ne sont pas exclusifs l'un de l'autre : au contraire, ils sont complémentaires, notamment si vous souhaitez à la fois préparer votre retraite tout en bénéficiant de la possibilité de transmettre votre patrimoine dans des conditions fiscales avantageuses.
À l’heure où les ETF séduisent de plus en plus d’investisseurs, la question mérite d’être posée. Entre promesse de performance, coûts réduits et vrais enjeux de diversification, faisons le point sur deux approches qui façonnent le paysage financier d’aujourd’hui.
Dans un contexte où les épargnants français recherchent du sens et de la rentabilité pour leur patrimoine, une opportunité se distingue : la dette privée. En effet, cette classe d’actifs permet de financer directement les entreprises tout en générant des revenus réguliers et attractifs. À mi-chemin entre rendement, diversification et utilité économique, elle s’impose comme un trait d’union puissant entre les besoins de financement de l’économie réelle et les objectifs patrimoniaux des investisseurs.
Au 1er trimestre 2025, le taux d’épargne des Français s’est établi à 19,1 % du revenu disponible, ce qui correspond à plus de 1 000 milliards d’euros, un record historique. Le patrimoine financier des ménages atteint désormais 6 500 milliards d’euros affectés pour les deux tiers, à parité, en dépôts ou livrets réglementés et en assurance-vie.
Cette affirmation attribuée au père de la physique moderne, Albert Einstein, souligne l’idée que la connaissance, aussi rigoureuse soit-elle, devient stérile si elle n’est pas accueillie dans un climat de confiance mutuelle.
Dans un monde patrimonial en mutation, le Family Office s’impose comme un acteur central pour accompagner les grandes fortunes dans la gestion stratégique et durable de leur patrimoine. Ce chef d’orchestre discret mais décisif aide les familles à conjuguer pérennité, diversification et vision à long terme.
Investir en Bourse peut sembler complexe, mais certaines stratégies rendent l’expérience plus accessible et lisible. Le mandat Action Europe Dividendes, géré par Zenith Asset Management*, en est un bon exemple : il mise sur la solidité des grandes entreprises européennes et leur capacité à verser des dividendes réguliers.