L'inflation en Europe étant revenue à des niveaux acceptables, 1,8 % en rythme annuel en septembre 2024, et devant faire face à une croissance faible, la Banque Centrale Européenne a initié un mouvement de baisse des taux d'intérêt à court terme, ces derniers passant de 4 % il y a 1 an à 2,5 % aujourd'hui, et qui va certainement se poursuivre en 2025. Cette réduction des taux courts impactera possiblement les taux fixes proposés pour les crédits par les établissements bancaires.
Dans ce contexte de réduction des taux, l’intérêt de s’endetter pour acquérir de l’immobilier redevient attractif et retrouve sa vertu initiale, celle de se constituer un patrimoine à long terme, créateur de valorisation et/ou de revenus complémentaires.
Concrètement, la capacité de remboursement de l’investisseur s’accroit pour un montant similaire investi, retrouvant ainsi des marges de manœuvre plus importantes.
Le marché de l’immobilier (neuf et ancien), qu’il s’agisse d’immobilier de jouissance (résidence principale/secondaire) ou locatif, pénalisé par la hausse des taux déclenchée par la remontée brutale de l’inflation, a souffert pendant les deux dernières années… Les volumes de vente ont chuté, une certaine frilosité ayant atteint les investisseurs.
La période qui s'ouvre semble de nouveau propice à de nouvelles opportunités, constituant des points d'entrée attractifs, si l'on conserve bien entendu comme critères de décisions :
Pour l’immobilier d’investissement, qui est une classe d’actifs puissante et créatrice de revenus complémentaires, différentes options sont possibles aujourd’hui dans ce nouveau cycle qui s’ouvre. Pour peu évidemment que l’on soit accompagné par des professionnels, qui s’assureront de :
Ainsi, les investisseurs qui s’intéresseront au marché immobilier continueront de profiter des avantages de cette classe d’actif incontournable et résiliente, surtout dans un momentum favorable, pendant lequel les taux d’emprunt vont continuer de se réduire…
En France, la quasi-totalité des régimes obligatoires de retraite (de base et complémentaires) repose sur un système par répartition, dans lequel les cotisations des actifs financent directement les pensions versées aux retraités. La solidarité intergénérationnelle est le pilier du financement de nos retraites : la génération active cotise aujourd’hui pour financer les pensionnés, en s’appuyant sur le principe d’un contrat social où, demain, nos propres enfants feront de même.
Dans le cadre de la préparation à la retraite, il est essentiel de bien choisir les produits d'épargne qui permettront de constituer un capital pour l’avenir. Parmi les options populaires en France, le Plan d'Épargne Retraite (PER) individuel et l'assurance-vie se distinguent comme des solutions privilégiées. Bien que ces deux instruments d’épargne aient pour objectif de préparer l’avenir financier, leurs caractéristiques, leurs avantages et leurs modes de fonctionnement diffèrent sensiblement.
Les véhicules d’investissement à long terme bénéficient en France d’une fiscalité avantageuse visant à encourager l’épargne et l’investissement sur une durée étendue. Ces différents véhicules, à savoir le Plan d’Épargne Retraite (PER), les contrats d’assurance-vie et de capitalisation ainsi que les Plan d’Épargne en Actions (PEA), présentent un intérêt indéniable à capitaliser pour constituer à long terme des revenus complémentaires. À ce titre, chaque enveloppe dispose d’un cadre fiscal spécifique et distinct.
Les Sociétés Civiles de Placement Immobilier (SCPI) constituent une solution d’investissement pour profiter des opportunités du marché immobilier tout en étant un véhicule particulièrement agile et adapté à chaque stratégie patrimoniale. Depuis quelques mois, un mouvement stratégique s’est affirmé en matière de SCPI : la diversification géographique à l’échelle européenne. En 2025, cette tendance s’impose.
Les investissements immobiliers ont subi en 2024, le contrecoup de la hausse des taux de 2022. Les entreprises du secteur immobilier cotées en bourse ont connu des ajustements de cours dès 2022. Ces entreprises sont en quelque sorte des indicateurs avancés des évolutions à venir. Où en sont-elles aujourd’hui ?
La fiscalité applicable aux revenus fonciers perçus sur des biens immobiliers loués a historiquement connu une augmentation progressive, notamment lorsque ces biens sont détenus par des personnes physiques résidentes fiscales en France.