Attribuée à Léonard de Vinci, cette citation s'inscrit pleinement dans l'esprit d’innovation et d'anticipation qui caractérisaient la démarche du maître de la Renaissance, tant dans l'art que dans la science.
Incarnation de l’esprit universel de la Renaissance, génie scientifique et artiste complet, Léonard de Vinci, par cette affirmation, nous rappelle que l’absence de planification conduit inévitablement à des difficultés qui se transforment en plaintes. Refuser de prévoir, c’est s'exposer à être pris au dépourvu, sans même avoir la chance de préparer une stratégie pour parer aux inévitables aléas auxquels l’homme ne peut échapper.
L’humaniste italien incarne lui-même la force de l’observation, de l’expérimentation et de la planification. Ses carnets, où il esquisse ses inventions et ses observations sur la nature, témoignent d’une volonté permanente d’élaborer le futur pour mieux comprendre et maîtriser le présent. Pour lui, la prévoyance n’était pas un luxe, mais une nécessité pour éviter de sombrer dans la lamentation face à l’inattendu.
Dans ses écrits sur la politique et la stratégie, Nicolas Machiavel, contemporain du maître florentin, met lui aussi en garde contre la tendance humaine à se reposer sur le confort du moment présent. Il exprime notamment l’idée que « L’habituel défaut de l’homme est de ne pas prévoir l’orage par beau temps ». Pour Machiavel, le pouvoir et la réussite résident dans la capacité à anticiper les retournements de situation et, par extension, à prendre des décisions éclairées avant que la crise ne survienne.
Célèbre pour son génie militaire et sa rigueur stratégique, Napoléon Bonaparte a également su faire de l’anticipation un véritable art. Ses campagnes illustrent la conviction qu’une préparation minutieuse et le calcul de multiples scénarios sont indispensables pour transformer le risque en avantage concrétisé. Pour Bonaparte, prévoir était synonyme de s’armer contre l’incertitude et de transformer chaque obstacle potentiel en tremplin vers le succès.
Sur le plan philosophique, Henri Bergson s’inscrit dans ce courant de pensées quand il estime que « Savoir, c’est-à-dire prévoir pour agir ». Pour Bergson, la connaissance réelle ne se borne pas à un constat du présent, elle implique une anticipation active pour pouvoir transformer l’avenir. Dans un registre plus poétique, René Char renchérit en distinguant l’action instinctive (« agir en primitif ») de la préparation réfléchie (« prévoir en stratège »). Pour ces deux penseurs, l’intuition se complète par une stratégie raisonnée, invitant chacun à préparer ses actions pour mieux traverser les aléas du destin.
Ces appels à transformer la connaissance en outil d’anticipation et d’action incitent chacun d’entre nous à faire de son savoir une force active pour modeler sa destinée et décider de son avenir.
À l’heure où les ETF séduisent de plus en plus d’investisseurs, la question mérite d’être posée. Entre promesse de performance, coûts réduits et vrais enjeux de diversification, faisons le point sur deux approches qui façonnent le paysage financier d’aujourd’hui.
Dans un contexte où les épargnants français recherchent du sens et de la rentabilité pour leur patrimoine, une opportunité se distingue : la dette privée. En effet, cette classe d’actifs permet de financer directement les entreprises tout en générant des revenus réguliers et attractifs. À mi-chemin entre rendement, diversification et utilité économique, elle s’impose comme un trait d’union puissant entre les besoins de financement de l’économie réelle et les objectifs patrimoniaux des investisseurs.
Au 1er trimestre 2025, le taux d’épargne des Français s’est établi à 19,1 % du revenu disponible, ce qui correspond à plus de 1 000 milliards d’euros, un record historique. Le patrimoine financier des ménages atteint désormais 6 500 milliards d’euros affectés pour les deux tiers, à parité, en dépôts ou livrets réglementés et en assurance-vie.
Cette affirmation attribuée au père de la physique moderne, Albert Einstein, souligne l’idée que la connaissance, aussi rigoureuse soit-elle, devient stérile si elle n’est pas accueillie dans un climat de confiance mutuelle.
Dans un monde patrimonial en mutation, le Family Office s’impose comme un acteur central pour accompagner les grandes fortunes dans la gestion stratégique et durable de leur patrimoine. Ce chef d’orchestre discret mais décisif aide les familles à conjuguer pérennité, diversification et vision à long terme.
Investir en Bourse peut sembler complexe, mais certaines stratégies rendent l’expérience plus accessible et lisible. Le mandat Action Europe Dividendes, géré par Zenith Asset Management*, en est un bon exemple : il mise sur la solidité des grandes entreprises européennes et leur capacité à verser des dividendes réguliers.