Monsieur et Madame Allen, mariés, élus et salariés du secteur privé, nous ont été prescrits par un notaire partenaire.
Ces derniers ont thésaurisé tout au long de leur carrière professionnelle et ont également perçu des fonds suite à deux successions.
Du fait de leurs revenus, leur pression fiscale est importante avec une tranche marginale d’imposition à 41 %. Ils souhaitent aujourd’hui être accompagnés afin de diminuer cette pression fiscale et de placer leurs capitaux (350 000 €) sans alourdir la fiscalité.
Ils aimeraient aussi anticiper la transmission au profit de leur enfant commun.
Nous avons travaillé sur 2 stratégies complémentaires pour répondre à leurs objectifs :
1/ Au sein d’une Société Civile à l’impôt sur les sociétés nouvellement créée, les clients ont réalisé un apport en compte courant d’associé (300 000 €), matérialisé par un virement de leur compte bancaire personnel vers le compte bancaire de la Société Civile Immobilière.
2/ Nous avons sélectionné des investissements de type distribution (SCPI de rendement, fonds à formule dédiés, dette privée par exemple) afin de créer des revenus complémentaires offrant un rendement de l’ordre de 6,70 % soit 20 100 € par an.
3/ Ces revenus seront imposés à l’impôt société de 15 % jusqu’à 42 500 € soit 3 015 € par an. En comparaison à un investissement en direct où les clients seraient imposés à :
4/ Dès que les revenus seront suffisamment importants, les associés pourront se rembourser le compte courant d’associé via des virements du compte de la SCI vers leur compte bancaire personnel en informant leur expert-comptable, qui inscrira une diminution du compte courant d’associé dans le bilan.
5/ Le compte courant d’associé constituant une créance des époux sur la société, aucun impôt ne sera appliqué. Il conviendra néanmoins de l’apurer avant le décès, car il constitue un actif dans la succession.
6/ Nous pourrons ensuite transmettre la nue-propriété des parts de la SCI à leurs fils devant notaire afin d’anticiper la transmission, à moindre coût.
1/ L’ouverture d’un PER (30 000 €) permettra une déduction du revenu imposable et donc une économie d’impôt significative, dans la limite des plafonds d’épargne retraite présent à la fin de l’avis d’imposition : ces capitaux pourront être récupérés au moment de leur retraite, sous forme de capital ou de rente.
2/ Le Girardin Industriel (20 000 €), quant à lui, est un outil efficace d’optimisation fiscal permettant d’obtenir une réduction d’impôt du montant investi augmenté de la rentabilité en vigueur au jour de l’investissement (c’est ce que l’on appelle un produit de « portage »).
Les dirigeants d’entreprise sont, pour la plupart, exposés à une diminution importante de leur niveau de vie au moment de leur départ à la retraite. En effet, leur statut ne leur permet pas de prétendre à des pensions de retraite aussi élevées que les revenus qu'ils perçoivent lorsqu'ils sont en activité. Ainsi, une question s’impose aujourd’hui à eux : comment sécuriser leur niveau de vie à la retraite ? Ce constat nécessite une réflexion approfondie pour anticiper l’équilibre futur de ces revenus appelés à diminuer.
La France est l’un des pays qui dispose du plus grands nombres de dispositifs fiscaux. L’immobilier est l’un des secteurs les plus concernés par ces avantages fiscaux. Avant de choisir un dispositif, il convient de bien comprendre les implications à long terme.
Monsieur Alexandre, 40 ans et Madame Armande, 65 ans, se posent une question revenant régulièrement : « Quelles sont les meilleures stratégies d’investissement pour placer 200 000 € ? ». Leurs objectifs, les contraintes et leurs profils étant différents, pour répondre à cette question, une approche patrimoniale adaptée est nécessaire.
Monsieur et Madame Azur, respectivement âgés de 50 et 51 ans, souhaitent organiser leur patrimoine suite à la cession de leur outil professionnel, afin de créer des revenus complémentaires nécessaires pour couvrir leurs besoins courants et d’optimiser la gestion des capitaux issus de la cession.
Dans les deux cas de figure, il s'agit d'un grand-père veuf, Monsieur Ansel, qui a une fille unique Alma, divorcée et mère d'un seul enfant, Arthur. Par hypothèse, le petit-fils décède après son grand-père et avant sa mère. Afin que le père de cet enfant (qui est héritier en cas de décès) ne reçoive rien au décès de son fils, on optera pour une donation soit graduelle, soit résiduelle.
Monsieur et Madame Arnaud, respectivement âgés de 83 et 82 ans, souhaitent organiser la transmission de leur patrimoine en assurant une transmission équitable à leurs enfants et en optimisant les droits de transmission.