Depuis le 1er janvier 2018, l’Impôt sur la Fortune Immobilière (IFI) a remplacé l’Impôt de Solidarité sur la Fortune (ISF). Si le seuil (1 300 000 €) et le barème d'imposition (à partir de 800 000 €) de l'IFI restent les mêmes que ceux de l'ISF, l’assiette se réfère désormais au seul patrimoine immobilier. Un changement qui implique de nouveaux réflexes en matière de fiscalité.
Le premier et meilleur conseil à donner est de ne pas aborder les solutions d’optimisation fiscale dans le seul but de payer moins d’impôts. Il convient également de les envisager sous l’angle de l’objectif patrimonial.
Les biens imposables à l’IFI sont les suivants :
À noter que les fonds euros en immobilier ne sont pas concernés.
La solution la plus radicale pour diminuer l'IFI serait de réduire son patrimoine immobilier en le vendant. Pour les biens physiques, il faudra prendre la précaution de calculer en amont le montant du possible impôt sur la plus-value qui dépend de la durée de détention. Le contribuable est exonéré de cet impôt sur le revenu après vingt-deux ans, et pour les prélèvements sociaux (17,3 % depuis le 1er janvier), au-delà de trente ans. Il existe néanmoins des alternatives.
Depuis le 1er janvier 2018, l’Impôt sur la Fortune Immobilière (IFI) a remplacé l’Impôt de Solidarité sur la Fortune (ISF). Si le seuil (1 300 000 €) et le barème d'imposition (à partir de 800 000 €) de l'IFI restent les mêmes que ceux de l'ISF, l’assiette se réfère désormais au seul patrimoine immobilier. Un changement qui implique de nouveaux réflexes en matière de fiscalité.
Le premier et meilleur conseil à donner est de ne pas aborder les solutions d’optimisation fiscale dans le seul but de payer moins d’impôts. Il convient également de les envisager sous l’angle de l’objectif patrimonial.