Monsieur et Madame Azur, respectivement âgés de 50 et 51 ans, souhaitent organiser leur patrimoine suite à la cession de leur outil professionnel, afin de créer des revenus complémentaires nécessaires pour couvrir leurs besoins courants (environ 120 000 € bruts/an). Ils détenaient leur structure d’exploitation via une holding patrimoniale.
Le produit de cession (1 500 000 €) est remonté dans cette société holding et vient s’ajouter à la trésorerie constituée au fil des différents exercices (500 000 €).
Les clients souhaitent conserver des disponibilités (environ 400 000 €) dans le cas où une nouvelle opportunité professionnelle se présenterait (rachat d’une nouvelle structure d’exploitation) ou pour concrétiser un projet personnel (résidence secondaire ou projet immobilier d’investissement).
En synthèse, les objectifs des clients sont les suivants :
Les postes de charges à prévoir sont différents selon les périodes :
Certains revenus temporaires ou exceptionnels doivent être intégrés dans le budget (salaire négocié dans le cadre du projet d’accompagnement avec le repreneur, dividendes suite à un réinvestissement, earn-out à percevoir, crédit-vendeur sous la forme d’un paiement fractionné).
De la même manière, les charges retenues dans le chiffrage doivent être adaptées selon les périodes (études secondaires, crédits en cours, enfants à charge).
Cette analyse permettra d’affiner le montant net (après fiscalité) à prévoir pour couvrir le train de vie des clients et déterminera le volume des différentes « poches » de l’allocation.
Ainsi, en tenant compte du contexte et des objectifs définis par Monsieur et Madame Azur, une allocation répondant aux besoins du client a été proposée :
- Fonds monétaire court terme.
- Fonds en euros avec bonus.
- Fonds obligataires (stratégie de portage).
- Mandat de gestion obligataire « LADDER » (visibilité et maîtrise des flux).
- Produits à coupons : produits structurés avec coupons trimestriels/semestriels.
- Fonds diversifiés de dette privée. SCPI (Sociétés Civiles de Placement Immobilier).
Une projection chiffrée des flux générés par la stratégie est réalisée avec les clients pour sécuriser et valider la répartition des « poches ».
Le niveau de liquidités disponibles doit être suffisant pour permettre aux clients de s’engager sereinement dans le déploiement des capitaux sur les poches 2 et 3.
Il faudra nécessairement accepter de « décapitaliser » une partie de ces liquidités en attendant le versement des premiers coupons (poches distribution) et des premières distributions sur la partie non coté (poche 3 – capitalisation) prévues à partir de la quatrième/cinquième année (2029-2030).
Dans les deux cas de figure, il s'agit d'un grand-père veuf, Monsieur Ansel, qui a une fille unique Alma, divorcée et mère d'un seul enfant, Arthur. Par hypothèse, le petit-fils décède après son grand-père et avant sa mère. Afin que le père de cet enfant (qui est héritier en cas de décès) ne reçoive rien au décès de son fils, on optera pour une donation soit graduelle, soit résiduelle.
Monsieur et Madame Arnaud, respectivement âgés de 83 et 82 ans, souhaitent organiser la transmission de leur patrimoine en assurant une transmission équitable à leurs enfants et en optimisant les droits de transmission.
Monsieur Antunes, chef d’entreprise dans le secteur de l’informatique, entame la dernière ligne droite de la cession de son activité professionnelle. Le produit de cession à venir doit lui servir de base à la création de revenus complémentaires à l’issue de la période d’accompagnement du repreneur.
Mme Aubrée, 37 ans, et Mme Allard, 52 ans, sont les deux associées d'une SARL prospère dans le domaine de l’immobilier. Mme Aubrée détient des parts de la société évaluées à 350 000 €, tandis que Mme Allard possède des parts d'une valeur de 500 000 €. Les deux femmes décident de prendre des mesures pour sortir de l'indivision.
Voici Alexandre, âgé de 42 ans, et Amélie, âgée de 45 ans, ensemble, ils font l’acquisition d'un bien immobilier à Montpellier dans le but de le louer, souhaitant ainsi constituer un patrimoine et profiter d'avantages fiscaux.
Anne et Adam, un couple de trentenaires, ont décidé d’investir dans l’immobilier locatif. Anne travaille comme ingénieure et Adam est consultant en finance. Ils possèdent déjà un appartement qu’ils louent, mais ils veulent diversifier leur portefeuille d’investissement en acquérant un nouvel appartement qu’ils pourront également mettre en location.