Cette affirmation attribuée au père de la physique moderne, Albert Einstein, souligne l’idée que la connaissance, aussi rigoureuse soit-elle, devient stérile si elle n’est pas accueillie dans un climat de confiance mutuelle.
C’est un constat à la réalité certaine que l’on retrouve dans la relation entre un enseignant et son élève aussi bien que dans celle du conseiller en gestion de patrimoine et de son client : la fiabilité de l’information, si fondamentale qu’elle soit, ne suffit pas, il faut aussi, surtout, qu’elle repose sur une ouverture réciproque propice à des échanges productifs. La confiance est alors la condition nécessaire pour que la transmission d’une connaissance s’ouvre à un partage de savoir.
Albert Einstein invite à considérer la confiance non comme un supplément d’âme, mais comme le socle même sur lequel repose la valeur du savoir. Dans l’hypothèse où un auditoire douterait de l’intégrité de celui qui transmet le savoir, les faits, les données et les théories perdent de leur force persuasive. La confiance agit comme un médiateur : elle transforme des informations brutes en un savoir assimilable et en actes éclairés.
Sans cette dimension relationnelle, la connaissance revient à un simple amas de propositions abstraites, voué à l’oubli ou à la méfiance.
En 1641, René Descartes dans ses « Méditations métaphysiques » estimait que la certitude intellectuelle naît de l’évidence perçue, mais également de l’absence de tromperie. La fiabilité du témoignage est essentielle à la clarté et à la distinction des idées.
Pour Emmanuel Kant, le « jugement de goût » et le « jugement de réflexion » exigent une communauté de sensibilité et de raison. De « Critique de la raison pure », il nous est possible de retenir que sans confiance dans la validité des principes, le savoir critique perd son assise.
La confiance ne se limite pas à un simple sentiment : elle est l’acte inaugural qui permet au savoir de franchir la barrière de l’inertie et d’engendrer compréhension, action et transformation.
Dans toute relation pédagogique ou de conseil, cultiver cette confiance revient à offrir un terreau fertile où les idées prennent racine et où le savoir trouve sa pleine valeur.
À l’heure où les ETF séduisent de plus en plus d’investisseurs, la question mérite d’être posée. Entre promesse de performance, coûts réduits et vrais enjeux de diversification, faisons le point sur deux approches qui façonnent le paysage financier d’aujourd’hui.
Dans un contexte où les épargnants français recherchent du sens et de la rentabilité pour leur patrimoine, une opportunité se distingue : la dette privée. En effet, cette classe d’actifs permet de financer directement les entreprises tout en générant des revenus réguliers et attractifs. À mi-chemin entre rendement, diversification et utilité économique, elle s’impose comme un trait d’union puissant entre les besoins de financement de l’économie réelle et les objectifs patrimoniaux des investisseurs.
Au 1er trimestre 2025, le taux d’épargne des Français s’est établi à 19,1 % du revenu disponible, ce qui correspond à plus de 1 000 milliards d’euros, un record historique. Le patrimoine financier des ménages atteint désormais 6 500 milliards d’euros affectés pour les deux tiers, à parité, en dépôts ou livrets réglementés et en assurance-vie.
Dans un monde patrimonial en mutation, le Family Office s’impose comme un acteur central pour accompagner les grandes fortunes dans la gestion stratégique et durable de leur patrimoine. Ce chef d’orchestre discret mais décisif aide les familles à conjuguer pérennité, diversification et vision à long terme.
Investir en Bourse peut sembler complexe, mais certaines stratégies rendent l’expérience plus accessible et lisible. Le mandat Action Europe Dividendes, géré par Zenith Asset Management*, en est un bon exemple : il mise sur la solidité des grandes entreprises européennes et leur capacité à verser des dividendes réguliers.
Après avoir fortement chuté début avril, suite aux annonces protectionnistes de la nouvelle administration américaine, les marchés financiers mondiaux ont entamé un rebond significatif, portés par l'espoir de désescalade qui semble se dessiner.