L'année 2024 aura été caractérisée par des dynamiques économiques et financières contrastées entre les grandes zones géographiques. L'économie américaine s'est particulièrement distinguée par sa résilience, affichant une croissance robuste de 2,7 %, tandis que l'Europe peinait à maintenir son élan, notamment en raison des difficultés allemandes (PIB 2024 estimé : -0,1 %) et d'une croissance française limitée à 1,1 %.
Il n’a sans doute jamais été aussi difficile de connaitre les règles qui régiront la taxation de ses revenus et de son patrimoine qu’en ce début d’année 2025. Après la censure du gouvernement Barnier, la loi de finances a certes été adoptée par le Sénat le 23 janvier. Mais, l’épisode interminable du parcours parlementaire du budget 2025 passe fin janvier l’étape de la commission mixte paritaire. En cas de désaccord persistant, le gouvernement peut demander à l’Assemblée nationale de statuer définitivement. Dès lors, sauf censure, deux dispositions majeures touchent les particuliers.
Trump n’a pas attendu son entrée en fonction le lundi 20 janvier 2025 pour bousculer l’opinion dans un style souvent jugé brutal. Annexion du Groenland et du canal de Panama, fusions du Canada avec les États-Unis, lutte contre l’immigration, hausse des tarifs douaniers… tout est simple, tout est dit pour rendre la grandeur aux États-Unis (Make America Great Again – MAGA). Que peut-on attendre derrière ces positions, entre mythe et réalité ?
Le pic d'inflation qu'a connu l'Europe à partir de 2022 et la brutale hausse des taux qui en a découlé a rappelé avec acuité la nécessité de respecter quelques règles fondamentales lors de la construction de son patrimoine.
Plus de de 40% des ménages français détiennent un contrat d’assurance-vie dont le principe repose sur la capitalisation des produits générés par les actifs logés au sein de ce véhicule. Les gains constatés au fil du temps étant automatiquement réinvestis dans le contrat, le capital de base augmente du fait de sa valorisation et de celle des intérêts acquis, à leurs tours productifs d’intérêts.
152 500 euros. Il faut remonter au XXᵉ siècle pour trouver l’origine de ce nombre, qui correspondait avant le passage à l’euro à 1 million de francs. 1 million de francs ou 152 500 €, c’est la somme que chaque souscripteur peut transmettre sans taxation à chacun de ses bénéficiaires au travers de son contrat d’assurance-vie, à condition que les sommes en question soient versées sur le contrat avant ses 70 ans.