Il existe une multitude de supports d’investissement disponibles au sein des contrats d’assurance-vie. Toutes les classes d’actifs y sont représentées : fonds cotés, immobilier, produits structurés, Private Equity, et composeront l’allocation du souscripteur en fonction de ses objectifs et de son profil de risque.
Néanmoins, la sélection des supports nécessitera bien souvent un suivi actif dans le temps, pour adapter son allocation à la conjoncture fluctuante. Ainsi, plusieurs modes de gestion s’offrent au souscripteur :
Comme son nom l’indique, le souscripteur ayant opté pour la gestion libre gère son contrat comme bon lui semble. Il sélectionnera les supports d’investissement lors du versement de la prime initiale ou de versements complémentaires et procèdera à des arbitrages dans l’objectif d’adapter l’allocation à la conjoncture ou de répondre à de nouveaux objectifs.
Du temps et des compétences seront nécessaires pour une gestion pérenne dans le temps. D’autant plus que certains supports sont très volatils, comme certains fonds d’actions cotées sectoriels par exemple.
Ce mode de gestion consiste à déléguer la gestion de ses actifs à un professionnel.
Plusieurs degrés de délégation existent :
La gestion sous mandat permet donc de bénéficier d’un suivi actif dans le temps et d’adapter l’allocation en fonction des fluctuations de marché. Les objectifs et le risque toléré seront définis lors de la mise en place de la délégation. En contrepartie de ce suivi actif, la gestion sous mandat est facturée au souscripteur comme un service additionnel.
Tout comme la gestion sous mandat, les objectifs et le profil de risque seront déterminés auprès d’un gestionnaire professionnel. Ce dernier préconisera des recommandations adaptées à l’investisseur qui conservera le contrôle sur les supports d’investissement.
Il s’agit donc d’un mode de gestion intermédiaire, adapté aux épargnants souhaitant s’impliquer avec l’appui d’un professionnel.
En fonction des attentes et des besoins de l’épargnant, la possibilité de confier son capital à un professionnel de la gestion d’actifs, à travers son conseiller en gestion de patrimoine, peut donc être la voie à privilégier, surtout lorsque les épargnants ne sont pas aguerris.
Créer une entreprise, la faire grandir, la céder ou la transmettre : derrière ces mots se cache une aventure humaine et économique, jalonnée de choix déterminants. À chaque étape, le dirigeant se retrouve face à des décisions qui engagent son avenir, celui de son entreprise et de sa famille. Et dans ce parcours, une certitude s’impose : l’accompagnement n’est pas une option, mais un levier de réussite.
Il y a des idées qui reviennent régulièrement dans le débat public, portées par la promesse d’une « justice fiscale » et d’un monde meilleur. La taxe Zucman, impôt plancher sur la fortune (IPF) de 2 % sur les patrimoines supérieurs à 100 millions d’euros, en est l’exemple parfait. Mais, derrière la façade a priori séduisante de la lutte contre les inégalités, cette mesure relève surtout d’une démagogie fiscale qui ignore la réalité économique, juridique et même… mathématique.
Bien que le mandat de protection future et le mandat à effet posthume aient été introduits il y a plus de quinze ans dans le Code civil français, ces dispositifs continuent d’évoluer. Ainsi, le décret n°2024-1032 a récemment instauré le registre des mandats de protection future, comme le prévoyait déjà la loi de 2015 relative à l’adaptation de la société au vieillissement.
En France, la gestion des produits financiers pour un majeur protégé est encadrée par la loi. L’objectif est de garantir la protection des intérêts de la personne vulnérable tout en assurant une administration adaptée de son patrimoine.
Dans un environnement marqué par l’inflation, la volatilité des marchés financiers et l’évolution constante de la fiscalité, les stratégies d’investissement doivent répondre à une double exigence : préserver le capital déjà constitué et assurer des revenus stables et durables. La clé réside dans une stratégie équilibrée, qui s’appuie sur toutes les classes d’actifs disponibles. Cette diversification n’est pas seulement une opportunité, c’est aussi une obligation pour sécuriser son avenir financier.
À l’heure où les ETF séduisent de plus en plus d’investisseurs, la question mérite d’être posée. Entre promesse de performance, coûts réduits et vrais enjeux de diversification, faisons le point sur deux approches qui façonnent le paysage financier d’aujourd’hui.