À l’aune de cette citation, nous sommes tous des Warren Buffett. Investir implique une stratégie à long terme, nécessitant de la patience et une vision claire de l'avenir.
Cette approche repose sur l'achat d'actifs dans l'espoir qu'ils croîtront en valeur au fil du temps, bénéficiant des tendances économiques globales et de la performance intrinsèque des entreprises.
En revanche, spéculer est une pratique plus risquée, focalisée sur les mouvements rapides et souvent imprévisibles du marché. Les spéculateurs cherchent à tirer profit des fluctuations à court terme des prix, ce qui nécessite une anticipation précise et une tolérance élevée au risque.
Pourtant, l'étymologie du mot "spéculer" remonte au XIVᵉ siècle du terme latin "speculari" qui signifie « observer, guetter ; espionner », lui-même dérivé de « specula », qui signifie « lieu d’observation ». On pourrait donc objecter que spéculer sur les performances économiques futures des entreprises est une des étapes clé de l’investissement. Plus tard, au XVIIᵉ siècle, le terme « spéculer » a pris le sens financier et péjoratif que nous lui connaissons aujourd'hui.
Warren Buffett, connu pour son approche prudente et ses investissements à long terme, met en garde contre les dangers de la spéculation, fréquemment assimilée à un jeu de hasard.
Cette citation invite les investisseurs à privilégier une approche réfléchie et patiente, fondée sur des fondamentaux solides, plutôt qu'à céder à la tentation des gains rapides et incertains du marché. Elle repose sur l’hypothèse qu’à long terme, l’évolution du cours des actions est corrélée aux performances économiques de l’entreprise.
Dans la théorie économique classique, l’investissement participe à une allocation optimale des capitaux vers les activités portées par la demande des consommateurs.
Le pic d'inflation qu'a connu l'Europe à partir de 2022 et la brutale hausse des taux qui en a découlé a rappelé avec acuité la nécessité de respecter quelques règles fondamentales lors de la construction de son patrimoine.
Lorsque l’on parle d’assurance-vie et de transmission de patrimoine, certaines règles méritent d’être rappelées. Nous avons tendance à penser que souscrire ou abonder sur un contrat d’assurance-vie est plus favorable avant son 70ᵉ anniversaire. Cependant, nous devons reconnaitre que dans le cadre de l’assurance-vie, « l’âge n’est qu’un nombre », et que certains avantages substantiels sont également permis sur les versements au-delà dès 70 ans.
Dans beaucoup de domaines, et c'est aussi très important en matière de transmission de patrimoine, il faut prendre le temps de mesurer les conséquences des choix que l'on fait, en saisissant néanmoins les opportunités lorsqu'elles se présentent. Anticiper et préparer la transmission de son patrimoine est un exercice délicat, souvent déstabilisant, parce que ces changements peuvent modifier les équilibres juridiques, fiscaux et financiers du cercle familial. Forcément, il y aura un avant et un après...
L’environnement du conseil est complexe et nul ne peut prétendre apporter, seul, l’ensemble des solutions pour sécuriser les différents aspects du développement d’un patrimoine. L’offre de conseils semble toujours plus importante, et paradoxalement, il est parfois difficile de savoir à qui s’adresser pour obtenir des réponses aux différentes problématiques civiles, fiscales, en matière de transmission, de protection sociale ou d’investissements.
Cette expression peut être utilisée pour décrire la dynamique actuelle de l’inflation (le premier train) et de la croissance (le second train) aux États-Unis.
Dans la vie, rien n'est plus certain que l'incertitude. Se souvenir que l'on doit mourir rappelle la fragilité de notre existence et trouve une résonance particulière dans le domaine de la gestion de patrimoine, où l'anticipation des imprévus est essentielle pour assurer la sécurité financière de ses proches et garantir la paix familiale.