À l’aune de cette citation, nous sommes tous des Warren Buffett. Investir implique une stratégie à long terme, nécessitant de la patience et une vision claire de l'avenir.
Cette approche repose sur l'achat d'actifs dans l'espoir qu'ils croîtront en valeur au fil du temps, bénéficiant des tendances économiques globales et de la performance intrinsèque des entreprises.
En revanche, spéculer est une pratique plus risquée, focalisée sur les mouvements rapides et souvent imprévisibles du marché. Les spéculateurs cherchent à tirer profit des fluctuations à court terme des prix, ce qui nécessite une anticipation précise et une tolérance élevée au risque.
Pourtant, l'étymologie du mot "spéculer" remonte au XIVᵉ siècle du terme latin "speculari" qui signifie « observer, guetter ; espionner », lui-même dérivé de « specula », qui signifie « lieu d’observation ». On pourrait donc objecter que spéculer sur les performances économiques futures des entreprises est une des étapes clé de l’investissement. Plus tard, au XVIIᵉ siècle, le terme « spéculer » a pris le sens financier et péjoratif que nous lui connaissons aujourd'hui.
Warren Buffett, connu pour son approche prudente et ses investissements à long terme, met en garde contre les dangers de la spéculation, fréquemment assimilée à un jeu de hasard.
Cette citation invite les investisseurs à privilégier une approche réfléchie et patiente, fondée sur des fondamentaux solides, plutôt qu'à céder à la tentation des gains rapides et incertains du marché. Elle repose sur l’hypothèse qu’à long terme, l’évolution du cours des actions est corrélée aux performances économiques de l’entreprise.
Dans la théorie économique classique, l’investissement participe à une allocation optimale des capitaux vers les activités portées par la demande des consommateurs.
Le 21 octobre dernier, le parcours législatif du projet de loi de finances (PLF) pour 2025 a démarré sa discussion à l'Assemblée nationale, avec quelque 3500 amendements déposés sur la première partie concernant principalement le volet "recette" du budget. Les dépenses publiques rapportées au PIB placent la France au premier rang des pays de l'OCDE, avec un taux record de 57 %, contre moins de 50 % en moyenne dans l'ensemble des pays européens. Juguler nos travers dépensiers, devient urgent, sauf si nous souhaitons continuer à creuser notre dette commune, qui s'établit actuellement à 3 228 Md€.
L’environnement du conseil est complexe et nul ne peut prétendre apporter, seul, l’ensemble des solutions pour sécuriser les différents aspects du développement d’un patrimoine. L’offre de conseils semble toujours plus importante, et paradoxalement, il est parfois difficile de savoir à qui s’adresser pour obtenir des réponses aux différentes problématiques civiles, fiscales, en matière de transmission, de protection sociale ou d’investissements.
Cette expression peut être utilisée pour décrire la dynamique actuelle de l’inflation (le premier train) et de la croissance (le second train) aux États-Unis.
Dans la vie, rien n'est plus certain que l'incertitude. Se souvenir que l'on doit mourir rappelle la fragilité de notre existence et trouve une résonance particulière dans le domaine de la gestion de patrimoine, où l'anticipation des imprévus est essentielle pour assurer la sécurité financière de ses proches et garantir la paix familiale.
Cet adage populaire suggère qu'une gestion saine de ses finances personnelles permet davantage de liberté et de stabilité financière. Mais cet adage, pourrait-il s'appliquer à la gestion des finances publiques ?
Cette citation – souvent attribuée à tort à Sénèque – peut être une métaphore utile pour appréhender la volatilité et les incertitudes inhérentes aux marchés. Au lieu de se paralyser par la peur des corrections du marché ou des périodes de baisse, cette perspective suggère de trouver des moyens de tirer parti des conditions difficiles, afin de se positionner avantageusement pour l'avenir.