Les organismes de placement collectif, ou autrement dit « OPC », sont la clef de voûte d’une stratégie d’investissement financière. Ils permettent à de multiples épargnants d’investir sur des thématiques très variées, proposées par des professionnels agréés, telles que les sociétés de gestion. Ces OPC peuvent être de deux sortes : les OPCVM et les FIA.
Tout d’abord, les OPCVM – Organismes de Placement Collectif en Valeurs Mobilières - permettent aux souscripteurs d’investir sur les marchés financiers parmi six catégories définies par l’AMF, l’Autorité des Marchés Financiers :
Les OPCVM, représentent la structure d’investissement la plus connue des investisseurs et largement représentée dans le choix des unités de comptes proposées par les assureurs.
La deuxième catégorie d’OPC est représentée par les FIA, Fonds d’Investissement Alternatifs. Les politiques d’investissement de ces derniers ne se cantonnent pas aux valeurs mobilières cotées, mais permettent également aux épargnants de se positionner sur de nombreuses stratégies et actifs non cotés dans une logique de diversification. Ces FIA s’adressent eux-mêmes à deux catégories d’investisseurs :
1- Les investisseurs non professionnels, qui peuvent par exemple orienter leur épargne vers :
Ces véhicules d’investissement sont bien souvent accessibles pour quelques centaines d’euros, au sein de contrats d’assurance-vie ou de capitalisation de droit français, et bénéficient d’un contrôle accru de leur gestion, dans une logique de protection de l’épargnant.
2- Les investisseurs professionnels à qui s’adressent des fonds dont la structuration subit moins de contraintes : Fonds Professionnels de Capital Investissement (FPCI), Fonds Professionnels Spécialisés (FPS), Organismes Professionnels de Placement Collectif en Immobilier (OPPCI)… Les tickets d’entrée sont plus élevés pour des souscripteurs aguerris de la finance ou dont le patrimoine permet d’investir 100 000 €, pour les fonds les plus accessibles et plusieurs (dizaines de) millions d’euros pour les plus élitistes.
Les Sociétés Civiles de Placement Immobilier (SCPI) constituent une solution d’investissement pour profiter des opportunités du marché immobilier tout en étant un véhicule particulièrement agile et adapté à chaque stratégie patrimoniale. Depuis quelques mois, un mouvement stratégique s’est affirmé en matière de SCPI : la diversification géographique à l’échelle européenne. En 2025, cette tendance s’impose.
Les investissements immobiliers ont subi en 2024, le contrecoup de la hausse des taux de 2022. Les entreprises du secteur immobilier cotées en bourse ont connu des ajustements de cours dès 2022. Ces entreprises sont en quelque sorte des indicateurs avancés des évolutions à venir. Où en sont-elles aujourd’hui ?
La fiscalité applicable aux revenus fonciers perçus sur des biens immobiliers loués a historiquement connu une augmentation progressive, notamment lorsque ces biens sont détenus par des personnes physiques résidentes fiscales en France.
Plus de 61 % de nos compatriotes détiennent des actifs immobiliers qui constituent 55 % de leur patrimoine moyen. Ces investissements dans la pierre revêtent différentes formes et affectations : résidence principale ou secondaire, investissement locatif d’habitation ou commercial, en direct ou via des sociétés, physiques ou incorporelles (SCPI, OPCI, etc.). Les Français s’interrogent donc fort logiquement de l’évolution de la valeur de la pierre.
L'année 2024 a une nouvelle fois confirmé la puissance de l'immobilier de luxe comme actif patrimonial d'exception. Parmi les opérations les plus emblématiques, on retient la vente d'un penthouse à New York dans le quartier de Central Park South à plus de 150 millions de dollars, la cession d'une villa contemporaine à Saint-Jean-Cap-Ferrat pour 75 millions d'euros, ou encore l'acquisition d'un hôtel particulier haussmannien à Paris rive droite à près de 50 millions d'euros. Ces transactions, au-delà de leur dimension spectaculaire, traduisent une dynamique structurelle : l'immobilier de luxe demeure une valeur sûre, plébiscitée par une clientèle mondiale en quête de sécurité, de prestige et de pérennité.
Les développements des outils d’intelligence artificielle et la généralisation des activités de gestion de vos portefeuilles financiers en ligne conduisent à une augmentation de la fréquence et de la sophistication des tentatives de fraudes. Nous vous rappelons quelques bonnes pratiques pour continuer à bénéficier des avantages de la digitalisation des activités financières tout en réduisant les risques d’attaques.