Les organismes de placement collectif, ou autrement dit « OPC », sont la clef de voûte d’une stratégie d’investissement financière. Ils permettent à de multiples épargnants d’investir sur des thématiques très variées, proposées par des professionnels agréés, telles que les sociétés de gestion. Ces OPC peuvent être de deux sortes : les OPCVM et les FIA.
Tout d’abord, les OPCVM – Organismes de Placement Collectif en Valeurs Mobilières - permettent aux souscripteurs d’investir sur les marchés financiers parmi six catégories définies par l’AMF, l’Autorité des Marchés Financiers :
Les OPCVM, représentent la structure d’investissement la plus connue des investisseurs et largement représentée dans le choix des unités de comptes proposées par les assureurs.
La deuxième catégorie d’OPC est représentée par les FIA, Fonds d’Investissement Alternatifs. Les politiques d’investissement de ces derniers ne se cantonnent pas aux valeurs mobilières cotées, mais permettent également aux épargnants de se positionner sur de nombreuses stratégies et actifs non cotés dans une logique de diversification. Ces FIA s’adressent eux-mêmes à deux catégories d’investisseurs :
1- Les investisseurs non professionnels, qui peuvent par exemple orienter leur épargne vers :
Ces véhicules d’investissement sont bien souvent accessibles pour quelques centaines d’euros, au sein de contrats d’assurance-vie ou de capitalisation de droit français, et bénéficient d’un contrôle accru de leur gestion, dans une logique de protection de l’épargnant.
2- Les investisseurs professionnels à qui s’adressent des fonds dont la structuration subit moins de contraintes : Fonds Professionnels de Capital Investissement (FPCI), Fonds Professionnels Spécialisés (FPS), Organismes Professionnels de Placement Collectif en Immobilier (OPPCI)… Les tickets d’entrée sont plus élevés pour des souscripteurs aguerris de la finance ou dont le patrimoine permet d’investir 100 000 €, pour les fonds les plus accessibles et plusieurs (dizaines de) millions d’euros pour les plus élitistes.
Tout d’abord, il est important de rappeler la pertinence de l’utilisation de la dette privée en termes de complémentarité avec la poche désormais plus connue des investisseurs privés qu’est le Private Equity. Pour autant, derrière la simple terminologie de « dette privée » se cache un grand nombre de types de dettes aux profils, rendement et risques différents (Senior Loans de 1er rang en direct lending, parrallel lending, dette unitranche, dette mezzanine, avec ou sans sponsor ie fonds de Private Equity etc etc …).
La motion de censure déposée par le parti NFP a été votée à la majorité absolue de l’Assemblée Nationale (> 289 députés) ce mercredi 4 décembre.
L'inflation en Europe étant revenue à des niveaux acceptables, 1,8 % en rythme annuel en septembre 2024, et devant faire face à une croissance faible, la Banque Centrale Européenne a initié un mouvement de baisse des taux d'intérêt à court terme, ces derniers passant de 4 % il y a 1 an à 2,5 % aujourd'hui, et qui va certainement se poursuivre en 2025. Cette réduction des taux courts impactera possiblement les taux fixes proposés pour les crédits par les établissements bancaires.
Il existe aujourd'hui autant de schémas de détention d'entreprises et de souhaits de transmission qu'il n'existe de dirigeants, disposant tous d'une situation familiale et professionnelle unique. Malgré cette diversité de situations, chaque dirigeant d’entreprise peut envisager la transmission de son entreprise en mettant en place la stratégie de la Family Cash Box®.
L'épargne est une composante essentielle de la gestion de son patrimoine. En France, deux produits d'épargne sont souvent comparés : le Plan d'Épargne Retraite (PER) et l'assurance-vie. Bien qu'ils partagent certaines similitudes, notamment leur capacité à offrir des avantages fiscaux, ces deux solutions présentent des caractéristiques distinctes qui les rendent adaptées à des objectifs d'épargne différents.
S’il est un des maux considérés comme endémique en France, c’est bien celui de l’instabilité des politiques fiscales de nos gouvernements. La tendance stabilisatrice amorcée depuis 2017 n’a pas résisté à la double actualité politico-fiscale de 2024 : la dissolution et la « découverte » d’un déficit public jamais atteint.