Le patrimoine net moyen des ménages en France repose majoritairement sur l’immobilier, représentant 55 % de leur patrimoine, selon la Direction des Statistiques et Études Financières de la Banque de France (Bulletin du 1ᵉʳ trimestre 2024). En ce début d’année, l’évolution des différents marchés immobiliers suscite donc une grande attention…
En 2024, le marché de l’habitation résidentielle (hors immobilier neuf) a montré une certaine résilience malgré un contexte économique difficile. Bien que les prix aient enregistré une baisse moyenne de 5 % et que le volume des transactions dans l’ancien ait chuté à 780 000, ces chiffres doivent être replacés dans un contexte post-2021, année record pour ce secteur.
En effet, plusieurs facteurs ont influencé ces résultats :
Pour 2025, les perspectives sont plus encourageantes. Une inflation plus mesurée, des taux d’emprunt plus accessible avec une baisse des taux, une très forte demande locative et une offre plus qualitative devraient favoriser la demande, les investissements et augmenter le nombre de transactions. Des villes comme Nantes, Marseille et Montpellier se distinguent déjà par des opportunités d’investissements prometteuses.
Dans le cadre d’investissements patrimoniaux, le Groupe met en place des solutions patrimoniales sur les métropoles offrant de belles opportunités (nue-propriété sur Paris par exemple, Paris demeurant toujours un marché patrimonialement attractif).
Les segments professionnels (bureaux, commerces, logistiques, immobilier de santé…) composent une part importante des actifs des SCPI et SCI. En 2024, ces marchés ont été impactés par :
L’année 2025 s’annonce sous de meilleurs auspices avec une inflation stabilisée en Europe et une politique monétaire propice à l’immobilier, avec le cycle de détente monétaire enclenché par la Banque Centrale Européenne (hors climat d’incertitudes politiques/économiques). Cela devrait renforcer la capacité d’investissement des acteurs, stimuler le marché des transactions et redonner un nouvel élan à l’attractivité de l’immobilier face aux produits d’épargne à court terme.
Pour les produits d’investissement comme les SCPI (Société Civile de Placement Immobilier) et les SCI (Société Civile Immobilière), chaque période ouvre des opportunités et cela profite aux supports d’investissements plus récemment créés qui bénéficient de prix d’acquisition et de rendement attractifs.
En 2025, les perspectives de rendement pourront s’établir pour ces véhicules entre 5,5 % et plus de 7 % (hors évolutions du patrimoine dans le temps). C’est dans ce cadre que nos experts sélectionnent les meilleurs véhicules d’investissement, en considérant à la fois la qualité des actifs et la solidité des sociétés de gestion.
L’année 2025 s’annonce comme une période d’opportunités pour les investisseurs immobiliers, qu’ils soient particuliers ou professionnels. Les équipes Laplace se tiennent à votre disposition pour vous accompagner.
Les donations intergénérationnelles, malgré l’optimisation fiscale qu’elles représentent, ne sont pas sans implications juridiques et successorales. Il est donc nécessaire de ne pas omettre les incidences civiles d’une telle libéralité.
Devenus incontournables dans les allocations, les actifs privés constituent une classe d’actifs extrêmement vaste. De la start-up aux entreprises rentables, en passant par les actifs réels comme l’immobilier ou les infrastructures, l’investisseur doit être accompagné dans la sélection des véhicules d’investissement en cohérence avec sa stratégie patrimoniale globale.
L'année 2024 aura été caractérisée par des dynamiques économiques et financières contrastées entre les grandes zones géographiques. L'économie américaine s'est particulièrement distinguée par sa résilience, affichant une croissance robuste de 2,7 %, tandis que l'Europe peinait à maintenir son élan, notamment en raison des difficultés allemandes (PIB 2024 estimé : -0,1 %) et d'une croissance française limitée à 1,1 %.
Il n’a sans doute jamais été aussi difficile de connaitre les règles qui régiront la taxation de ses revenus et de son patrimoine qu’en ce début d’année 2025. Après la censure du gouvernement Barnier, la loi de finances a certes été adoptée par le Sénat le 23 janvier. Mais, l’épisode interminable du parcours parlementaire du budget 2025 passe fin janvier l’étape de la commission mixte paritaire. En cas de désaccord persistant, le gouvernement peut demander à l’Assemblée nationale de statuer définitivement. Dès lors, sauf censure, deux dispositions majeures touchent les particuliers.
Plus de de 40% des ménages français détiennent un contrat d’assurance-vie dont le principe repose sur la capitalisation des produits générés par les actifs logés au sein de ce véhicule. Les gains constatés au fil du temps étant automatiquement réinvestis dans le contrat, le capital de base augmente du fait de sa valorisation et de celle des intérêts acquis, à leurs tours productifs d’intérêts.