Le patrimoine net moyen des ménages en France repose majoritairement sur l’immobilier, représentant 55 % de leur patrimoine, selon la Direction des Statistiques et Études Financières de la Banque de France (Bulletin du 1ᵉʳ trimestre 2024). En ce début d’année, l’évolution des différents marchés immobiliers suscite donc une grande attention…
En 2024, le marché de l’habitation résidentielle (hors immobilier neuf) a montré une certaine résilience malgré un contexte économique difficile. Bien que les prix aient enregistré une baisse moyenne de 5 % et que le volume des transactions dans l’ancien ait chuté à 780 000, ces chiffres doivent être replacés dans un contexte post-2021, année record pour ce secteur.
En effet, plusieurs facteurs ont influencé ces résultats :
Dans ce contexte, le marché a amorcé dès 2023 et continué en 2024 sa phase de correction avec des ajustements des prix, très variables selon les territoires. Toutefois, à la fin de l’année 2024, on constatait déjà une stabilisation des prix en observant les avant-contrats. En effet, en octobre 2024, dans leur note de conjoncture, les notaires rapportaient que les compromis de vente indiquaient des prix stables sur les appartements anciens, (même légèrement à la hausse : + 0,3 %) ainsi qu’une légère baisse pour les maisons anciennes (- 0,2 %).
Pour 2025, les perspectives sont plus encourageantes. Une inflation plus mesurée, des taux d’emprunt plus accessible avec une baisse des taux, une très forte demande locative et une offre plus qualitative devraient favoriser la demande, les investissements et augmenter le nombre de transactions. Des villes comme Nantes, Marseille et Montpellier se distinguent déjà par des opportunités d’investissements prometteuses.
Dans le cadre d’investissements patrimoniaux, le Groupe met en place des solutions patrimoniales sur les métropoles offrant de belles opportunités (nue-propriété sur Paris par exemple, Paris demeurant toujours un marché patrimonialement attractif).
Les segments professionnels (bureaux, commerces, logistiques, immobilier de santé…) composent une part importante des actifs des SCPI et SCI. En 2024, ces marchés ont été impactés par :
L’année 2025 s’annonce sous de meilleurs auspices avec une inflation stabilisée en Europe et une politique monétaire propice à l’immobilier, avec le cycle de détente monétaire enclenché par la Banque Centrale Européenne (hors climat d’incertitudes politiques/économiques). Cela devrait renforcer la capacité d’investissement des acteurs, stimuler le marché des transactions et redonner un nouvel élan à l’attractivité de l’immobilier face aux produits d’épargne à court terme.
Pour les produits d’investissement comme les SCPI (Société Civile de Placement Immobilier) et les SCI (Société Civile Immobilière), chaque période ouvre des opportunités et cela profite aux supports d’investissements plus récemment créés qui bénéficient de prix d’acquisition et de rendement attractifs.
En 2025, les perspectives de rendement pourront s’établir pour ces véhicules entre 5,5 % et plus de 7 % (hors évolutions du patrimoine dans le temps). C’est dans ce cadre que nos experts sélectionnent les meilleurs véhicules d’investissement, en considérant à la fois la qualité des actifs et la solidité des sociétés de gestion.
L’année 2025 s’annonce comme une période d’opportunités pour les investisseurs immobiliers, qu’ils soient particuliers ou professionnels. Les équipes Laplace se tiennent à votre disposition pour vous accompagner.
À l’heure où les ETF séduisent de plus en plus d’investisseurs, la question mérite d’être posée. Entre promesse de performance, coûts réduits et vrais enjeux de diversification, faisons le point sur deux approches qui façonnent le paysage financier d’aujourd’hui.
Dans un contexte où les épargnants français recherchent du sens et de la rentabilité pour leur patrimoine, une opportunité se distingue : la dette privée. En effet, cette classe d’actifs permet de financer directement les entreprises tout en générant des revenus réguliers et attractifs. À mi-chemin entre rendement, diversification et utilité économique, elle s’impose comme un trait d’union puissant entre les besoins de financement de l’économie réelle et les objectifs patrimoniaux des investisseurs.
Au 1er trimestre 2025, le taux d’épargne des Français s’est établi à 19,1 % du revenu disponible, ce qui correspond à plus de 1 000 milliards d’euros, un record historique. Le patrimoine financier des ménages atteint désormais 6 500 milliards d’euros affectés pour les deux tiers, à parité, en dépôts ou livrets réglementés et en assurance-vie.
Cette affirmation attribuée au père de la physique moderne, Albert Einstein, souligne l’idée que la connaissance, aussi rigoureuse soit-elle, devient stérile si elle n’est pas accueillie dans un climat de confiance mutuelle.
Dans un monde patrimonial en mutation, le Family Office s’impose comme un acteur central pour accompagner les grandes fortunes dans la gestion stratégique et durable de leur patrimoine. Ce chef d’orchestre discret mais décisif aide les familles à conjuguer pérennité, diversification et vision à long terme.
Investir en Bourse peut sembler complexe, mais certaines stratégies rendent l’expérience plus accessible et lisible. Le mandat Action Europe Dividendes, géré par Zenith Asset Management*, en est un bon exemple : il mise sur la solidité des grandes entreprises européennes et leur capacité à verser des dividendes réguliers.