Devenus incontournables dans les allocations, les actifs privés constituent une classe d’actifs extrêmement vaste. De la start-up aux entreprises rentables, en passant par les actifs réels comme l’immobilier ou les infrastructures, l’investisseur doit être accompagné dans la sélection des véhicules d’investissement en cohérence avec sa stratégie patrimoniale globale.
Les actifs privés ne font pas défaut à la règle d’or de la gestion privée. Tout bon investisseur devra diversifier son allocation dans l’objectif de protéger son patrimoine. Accompagner des entreprises à un stade d’amorçage pourrait se révéler très rémunérateur, en espérant qu’elles ne feront pas partie des 2/3 qui ne trouvent pas leur marché. Ainsi, la notion de couple rendement-risque s’installe en premier lieu dans cette nécessité de diversification. Les investissements ne doivent pas être concentrés sur des stratégies similaires, d’autant plus que l’inconvénient de cette classe d’actifs est l’illiquidité.
Trois thématiques principales se dessinent.
La première porte sur les entreprises non cotées opérant dans des secteurs variés. Les fonds se spécialisent le plus souvent sur leurs quelques secteurs de prédilection (secteur financier, luxe, consommation, industrie) dont certains sont cycliques et d’autres défensifs.
Les deux typologies suivantes sont des actifs réels portés par l’immobilier et les infrastructures.
Leur avantage est de proposer des sous-jacents tangibles aux investisseurs estimés apporter une valeur « plancher » aux véhicules d’investissement… lorsque l’effet de levier est maîtrisé.
Les entreprises matures, rentables, vont offrir une meilleure visibilité sur les cash flows alors que les jeunes entreprises en quête de pénétrer un marché auront des hypothèses de performance très élastiques.
Dans l’ordre de maturité d’entreprise et de dérisquage : capital amorçage, capital-risque, capital développement et capital transmission (LBO).
Il en est de même pour les actifs réels. Les actifs core s’achèteront cher et feront bénéficier d’un rendement prévisible tandis que, les opérations value added sur des actifs décotés laisseront entrevoir de la création de valeur et un TRI plus significatif aux investisseurs.
Les instruments utilisés par les sociétés d’investissement présentent des couples rendement-risque très variés. Les performances attendues seront les plus élevées sur les actions non cotées, avec un risque accru sur le capital en cas de défaut de l’entreprise. Les fonds de Private Equity traditionnels peuvent proposer entre 15 et 20 % de TRI aux investisseurs privés.
À contrario, les instruments de dette présenteront un TRI inférieur, au bénéfice de différents seuils de priorité et de subordination dans leur remboursement en cas de défaut.
Par exemple, le remboursement d’une dette mezzanine sera subordonné au remboursement de la dette senior, mais prioritaire au remboursement du capital (actionnaires).
À l’instar des marchés côtés, la diversification d’un portefeuille non coté porte sur des facteurs plus académiques tels que la zone géographique, la taille des entreprises cibles, la stratégie et le track record de la société de gestion…
Les ralentissements en 2024 dans le secteur du Private Equity ont dopé les marchés du secondaire et le besoin d’évènements de liquidités. Les levées sur les différentes stratégies GP et LP Led se sont donc poursuivies et amplifiées auprès d’investisseurs bénéficiant d’une forte visibilité sur les entreprises accompagnées et leurs cash-flows projetés. Le contexte de taux continue d’être très favorable à la dette privée, offrant des rendements attractifs et des distributions particulièrement adaptées aux besoins de complément de revenus.
Le FCPR Multi-Stratégie 2 a été conçu pour proposer une allocation non cotée globale aux investisseurs privés, à partir de 5 000 €. Le véhicule d’investissement investira sur toutes les thématiques et stratégies : LBO, growth, infrastructures, dette privée… , en sélectionnant pour chacune, une société de gestion mondialement reconnue pour son expertise et son track record.
Le fonds est disponible en direct, en assurance-vie et PEA PME.
Les conseillers Laplace sont à votre disposition en France et à l’international, pour vous accompagner dans la sélection de véhicules d’investissement adaptée à votre stratégie patrimoniale globale.
Plus de de 40% des ménages français détiennent un contrat d’assurance-vie dont le principe repose sur la capitalisation des produits générés par les actifs logés au sein de ce véhicule. Les gains constatés au fil du temps étant automatiquement réinvestis dans le contrat, le capital de base augmente du fait de sa valorisation et de celle des intérêts acquis, à leurs tours productifs d’intérêts.
Véhicule d’investissement privilégié de nos compatriotes pour sa souplesse de fonctionnement et de transmission patrimoniale, l’assurance-vie repose sur le principe juridique de la stipulation pour autrui codifié à l’article 1205 du Code Civil.
Lors du dénouement du contrat d’assurance-vie à raison du décès du souscripteur assuré, les capitaux versés au profit des bénéficiaires désignés échappent à la masse successorale, ce qui permet d’éviter l’application des droits de succession, à l’exception des primes versées après 70 ans, qui sont soumises à un régime fiscal distinct.
Tout d’abord, il est important de rappeler la pertinence de l’utilisation de la dette privée en termes de complémentarité avec la poche désormais plus connue des investisseurs privés qu’est le Private Equity. Pour autant, derrière la simple terminologie de « dette privée » se cache un grand nombre de types de dettes aux profils, rendement et risques différents (Senior Loans de 1er rang en direct lending, parrallel lending, dette unitranche, dette mezzanine, avec ou sans sponsor ie fonds de Private Equity etc etc …).
La motion de censure déposée par le parti NFP a été votée à la majorité absolue de l’Assemblée Nationale (> 289 députés) ce mercredi 4 décembre.