Les marchés obligataires ont été très optimistes sur le rythme de baisse des taux monétaires attendus en 2024.
Le rappel à l’ordre de Christine Lagarde le 14 décembre dernier (« il ne faut pas baisser la garde » face à l’inflation) a participé à insuffler davantage de réalisme dans les équilibres du marché : quasiment l’ensemble des taux « Investment Grade » ont repris 40 points de base sur les 20 premiers jours de 2024.
Une fois les excès corrigés, il reste néanmoins un scénario central basé sur la désinflation : 2,7 % pour l’inflation sous-jacente en 2024 selon la BCE et une baisse des taux qui pourrait voir le jour en milieu d’année.
Cette expression peut être utilisée pour décrire la dynamique actuelle de l’inflation (le premier train) et de la croissance (le second train) aux États-Unis.
Dans la vie, rien n'est plus certain que l'incertitude. Se souvenir que l'on doit mourir rappelle la fragilité de notre existence et trouve une résonance particulière dans le domaine de la gestion de patrimoine, où l'anticipation des imprévus est essentielle pour assurer la sécurité financière de ses proches et garantir la paix familiale.
À l’aune de cette citation, nous sommes tous des Warren Buffett. Investir implique une stratégie à long terme, nécessitant de la patience et une vision claire de l'avenir.
Cet adage populaire suggère qu'une gestion saine de ses finances personnelles permet davantage de liberté et de stabilité financière. Mais cet adage, pourrait-il s'appliquer à la gestion des finances publiques ?
Cette citation – souvent attribuée à tort à Sénèque – peut être une métaphore utile pour appréhender la volatilité et les incertitudes inhérentes aux marchés. Au lieu de se paralyser par la peur des corrections du marché ou des périodes de baisse, cette perspective suggère de trouver des moyens de tirer parti des conditions difficiles, afin de se positionner avantageusement pour l'avenir.