Les développements des outils d’intelligence artificielle et la généralisation des activités de gestion de vos portefeuilles financiers en ligne conduisent à une augmentation de la fréquence et de la sophistication des tentatives de fraudes.
Nous vous rappelons quelques bonnes pratiques pour continuer à bénéficier des avantages de la digitalisation des activités financières tout en réduisant les risques d’attaques.
o L’adresse des sites que vous consultez doit commencer par [https://]https ://, le « s » signifiant « sécurisé ».
o Vérifiez également que l’adresse du site que vous consultez correspond à celle de l’organisation avec laquelle vous souhaitez entrer en contact. Dans votre navigateur, cliquez sur l’icône avant le https :// (généralement un cadenas) pour vérifier que le site sur lequel vous êtes est bien sécurisé.
o Pour chaque compte, choisissez des mots de passe complexes, combinant lettres, chiffres et symboles. Changez-les régulièrement et n'utilisez pas le même mot de passe sur différents sites. En cas de vol d’identifiants sur un site vous seriez exposés sur tous les autres sites !
o N’utilisez pas un mot de passe qui comprend le nom du site sur lequel vous souhaitez vous enregistrer. Les pirates utilisent souvent des techniques de recherche basées sur l’analyse de vos profils sur les réseaux sociaux pour deviner vos identifiants. Évitez donc les dates d’anniversaire, les prénoms d’animaux de compagnie ou encore le nom de la société dans laquelle vous travaillez.
o Nous vous recommandons l’utilisation d’un gestionnaire de mots de passe qui vous permet de générer des mots de passe aléatoires et robustes (Dashlane, Lockself, 1password, Keepass, ...).
o Aucun organisme financier ne vous demandera de mot de passe par téléphone ou par email.
o Même si le numéro qui s’affiche est bien celui de votre conseiller, méfiez-vous !
En matière de cybersécurité, le risque d’attaque n’est jamais nul, mais sachez que plus, vous mettrez en place ces bonnes pratiques, plus vous diminuerez ce risque et surtout, plus vous allez diminuer l’impact d’une éventuelle attaque sur vos données.
Créer une entreprise, la faire grandir, la céder ou la transmettre : derrière ces mots se cache une aventure humaine et économique, jalonnée de choix déterminants. À chaque étape, le dirigeant se retrouve face à des décisions qui engagent son avenir, celui de son entreprise et de sa famille. Et dans ce parcours, une certitude s’impose : l’accompagnement n’est pas une option, mais un levier de réussite.
Il y a des idées qui reviennent régulièrement dans le débat public, portées par la promesse d’une « justice fiscale » et d’un monde meilleur. La taxe Zucman, impôt plancher sur la fortune (IPF) de 2 % sur les patrimoines supérieurs à 100 millions d’euros, en est l’exemple parfait. Mais, derrière la façade a priori séduisante de la lutte contre les inégalités, cette mesure relève surtout d’une démagogie fiscale qui ignore la réalité économique, juridique et même… mathématique.
Bien que le mandat de protection future et le mandat à effet posthume aient été introduits il y a plus de quinze ans dans le Code civil français, ces dispositifs continuent d’évoluer. Ainsi, le décret n°2024-1032 a récemment instauré le registre des mandats de protection future, comme le prévoyait déjà la loi de 2015 relative à l’adaptation de la société au vieillissement.
En France, la gestion des produits financiers pour un majeur protégé est encadrée par la loi. L’objectif est de garantir la protection des intérêts de la personne vulnérable tout en assurant une administration adaptée de son patrimoine.
Dans un environnement marqué par l’inflation, la volatilité des marchés financiers et l’évolution constante de la fiscalité, les stratégies d’investissement doivent répondre à une double exigence : préserver le capital déjà constitué et assurer des revenus stables et durables. La clé réside dans une stratégie équilibrée, qui s’appuie sur toutes les classes d’actifs disponibles. Cette diversification n’est pas seulement une opportunité, c’est aussi une obligation pour sécuriser son avenir financier.
À l’heure où les ETF séduisent de plus en plus d’investisseurs, la question mérite d’être posée. Entre promesse de performance, coûts réduits et vrais enjeux de diversification, faisons le point sur deux approches qui façonnent le paysage financier d’aujourd’hui.