Les développements des outils d’intelligence artificielle et la généralisation des activités de gestion de vos portefeuilles financiers en ligne conduisent à une augmentation de la fréquence et de la sophistication des tentatives de fraudes.
Nous vous rappelons quelques bonnes pratiques pour continuer à bénéficier des avantages de la digitalisation des activités financières tout en réduisant les risques d’attaques.
o L’adresse des sites que vous consultez doit commencer par [https://]https ://, le « s » signifiant « sécurisé ».
o Vérifiez également que l’adresse du site que vous consultez correspond à celle de l’organisation avec laquelle vous souhaitez entrer en contact. Dans votre navigateur, cliquez sur l’icône avant le https :// (généralement un cadenas) pour vérifier que le site sur lequel vous êtes est bien sécurisé.
o Pour chaque compte, choisissez des mots de passe complexes, combinant lettres, chiffres et symboles. Changez-les régulièrement et n'utilisez pas le même mot de passe sur différents sites. En cas de vol d’identifiants sur un site vous seriez exposés sur tous les autres sites !
o N’utilisez pas un mot de passe qui comprend le nom du site sur lequel vous souhaitez vous enregistrer. Les pirates utilisent souvent des techniques de recherche basées sur l’analyse de vos profils sur les réseaux sociaux pour deviner vos identifiants. Évitez donc les dates d’anniversaire, les prénoms d’animaux de compagnie ou encore le nom de la société dans laquelle vous travaillez.
o Nous vous recommandons l’utilisation d’un gestionnaire de mots de passe qui vous permet de générer des mots de passe aléatoires et robustes (Dashlane, Lockself, 1password, Keepass, ...).
o Aucun organisme financier ne vous demandera de mot de passe par téléphone ou par email.
o Même si le numéro qui s’affiche est bien celui de votre conseiller, méfiez-vous !
En matière de cybersécurité, le risque d’attaque n’est jamais nul, mais sachez que plus, vous mettrez en place ces bonnes pratiques, plus vous diminuerez ce risque et surtout, plus vous allez diminuer l’impact d’une éventuelle attaque sur vos données.
À l’heure où les ETF séduisent de plus en plus d’investisseurs, la question mérite d’être posée. Entre promesse de performance, coûts réduits et vrais enjeux de diversification, faisons le point sur deux approches qui façonnent le paysage financier d’aujourd’hui.
Dans un contexte où les épargnants français recherchent du sens et de la rentabilité pour leur patrimoine, une opportunité se distingue : la dette privée. En effet, cette classe d’actifs permet de financer directement les entreprises tout en générant des revenus réguliers et attractifs. À mi-chemin entre rendement, diversification et utilité économique, elle s’impose comme un trait d’union puissant entre les besoins de financement de l’économie réelle et les objectifs patrimoniaux des investisseurs.
Au 1er trimestre 2025, le taux d’épargne des Français s’est établi à 19,1 % du revenu disponible, ce qui correspond à plus de 1 000 milliards d’euros, un record historique. Le patrimoine financier des ménages atteint désormais 6 500 milliards d’euros affectés pour les deux tiers, à parité, en dépôts ou livrets réglementés et en assurance-vie.
Cette affirmation attribuée au père de la physique moderne, Albert Einstein, souligne l’idée que la connaissance, aussi rigoureuse soit-elle, devient stérile si elle n’est pas accueillie dans un climat de confiance mutuelle.
Dans un monde patrimonial en mutation, le Family Office s’impose comme un acteur central pour accompagner les grandes fortunes dans la gestion stratégique et durable de leur patrimoine. Ce chef d’orchestre discret mais décisif aide les familles à conjuguer pérennité, diversification et vision à long terme.
Investir en Bourse peut sembler complexe, mais certaines stratégies rendent l’expérience plus accessible et lisible. Le mandat Action Europe Dividendes, géré par Zenith Asset Management*, en est un bon exemple : il mise sur la solidité des grandes entreprises européennes et leur capacité à verser des dividendes réguliers.