Il reste actuellement 30 jours avant la fin de l’année. Soit autant de jours pour diminuer votre fiscalité, puisque les dépenses ouvrant droit à des réductions d’impôt doivent être décaissées au plus tard le 31 décembre 2023 pour produire un effet fiscal l’année prochaine. Pour ce faire, vous avez deux solutions :
Sous certaines conditions, plusieurs possibilités s’offrent à vous pour baisser votre impôt, voici les plus fréquentes :
En diminuant votre base imposable, le gain d’impôt est proportionnel à votre tranche marginale d’imposition (de 11 % à 45 % selon les contribuables). Cette solution est donc particulièrement adaptée pour les personnes situées dans les tranches d’imposition élevées.
Parmi les mécanismes éligibles, les plus répandus sont :
À noter, que ces dispositifs de déduction fiscale, exclus du plafonnement des niches fiscales, ont chacun leur propre plafond de déduction.
En finalité, pour optimiser son impôt à régler, il peut être pertinent de combiner plusieurs dispositifs de réductions d’impôts et de déduction fiscale. Néanmoins, il est important de rappeler que l’avantage fiscal doit toujours être perçu comme la cerise sur le gâteau, et non l’unique motivation de vos investissements et de vos décisions.
La gestion déléguée ouvre une nouvelle approche de la multigestion. Le principe consiste à sélectionner une expertise dans une société de gestion externe et à déléguer la gestion du portefeuille à cette société de gestion. Le déléguant qui est le gestionnaire de tête du fonds, donne un mandat au gérant délégataire selon la politique d'investissement définie dans le prospectus.
Le parcours législatif du projet de loi de finances (PLF) pour 2025 a démarré sa discussion à l’Assemblée nationale le 21 octobre, avec quelque 3500 amendements déposés sur sa première partie, celle concernant principalement le volet « recettes » du budget.
Les allocations patrimoniales se sont transformées ces dernières années avec l’émergence de nouvelles classes d’actifs et de nouveaux supports d’investissement, notamment le non coté, rendant ainsi les critères de décision d’investissement plus complexes. Quel est l'impact de ces actifs non cotés dans l’évolution des choix d’investissement ?
Devenu un des lieux tendance pour poser ses bagages ces dernières années, le plus célèbre des Émirats Arabes Unis attire également la convoitise des investisseurs. Fiscalité faible, voire nulle, économie ultra-dynamique, marché de l’immobilier en plein essor, autant de facteurs qui amènent certains Français à envisager de réaliser une partie de leurs investissements à Dubaï.
Le système de retraite français peut être aujourd'hui comparé à une pyramide dotée de 3 étages, qui sont les suivants : les régimes de base légalement obligatoires, les régimes complémentaires obligatoires, et la retraite supplémentaire facultative qui comprend les formes d'épargne retraite collective et les formes d'épargne individuelle. Notre fonctionnement est une exception européenne par sa diversité. Et depuis 30 ans, les réformes se succèdent pour maintenir ces régimes.
Lorsque vous travaillez à l’étranger, vous relevez, en principe, du régime obligatoire de retraite local et cotisez dans cet État. Ces périodes d’activité peuvent permettre de bénéficier d’une retraite auprès du régime local. Dans ce cas, vous percevez une retraite de chacun des régimes auxquels vous avez été affilié : une retraite française et une retraite étrangère. Les règles propres à chaque régime, si elles étaient appliquées isolément, auraient pour effet de pénaliser les assurés ayant eu des carrières dans plusieurs pays.