Les craintes sur les risques inflationnistes se sont estompées au cours des dernières semaines.
Dans ce contexte, les taux obligataires ont amorcé un reflux dans l'idée que les banques centrales devraient mettre un terme à la hausse des taux et pourraient s'engager dans une baisse de leur taux d'intervention en 2024.
L'incertitude demeure sur le rythme et l'ampleur du ralentissement économique de part et d'autre de l'atlantique, conditionnant ainsi la date des changements de politique monétaire.
Les marchés actions ont bénéficié de cet environnement.
En cas de décès, si rien n’est prévu, les héritiers, les parts d’héritage et les droits de succession sont fixés par la loi. Faut-il anticiper ou subir une transmission ?
La non-indexation à l'inflation du barème de l'impôt sur le revenu, entre 2018 et 2022, génère un surplus d'impôt. Pour 50k€ de revenus taxables, un célibataire paye 4 % d'impôt sur le revenu supplémentaire en 2022.
Les fluctuations des économies jouent sur les actifs financiers. En fonction de la position dans le cycle économique, certains actifs sont plus adaptés que d’autres. En 2004, Merrill Lynch a publié une étude sous le titre « Investment Clock » pour proposer un schéma d’investissement sur les grandes classes d’actifs en fonction du cycle économique. Reprenons ses principes et tentons une application à l’environnement actuel.
Les indicateurs clés : évolution des indices actions et obligations
Les dirigeants entre 41 et 60 ans représentaient plus de 60 % des dirigeants de PME en 2017, la majorité de ces personnes se poseront donc, dans les années à venir, la question de la transmission de leur outil professionnel.
L’âge légal de la retraite vient d’être reculé à 64 ans, les épargnants pourront ainsi bénéficier de l’effet capitalisation sur la progression de leurs investissements. De simples calculs financiers permettent de tirer deux enseignements.