Voici Alexandre, âgé de 42 ans, et Amélie, âgée de 45 ans, ensemble, ils font l’acquisition d'un bien immobilier à Montpellier dans le but de le louer, souhaitant ainsi constituer un patrimoine et profiter d'avantages fiscaux. Guidés par leur conseillère, ils optent pour l'acquisition d'un bien immobilier neuf dans le cadre de la loi Pinel + ce qui leur permet de contracter un prêt, ce qui signifie qu'ils peuvent acheter une propriété.
Leur futur appartement de 50 m2, acquis à 4 000 €/m², représente un investissement de 200 000 €. Mais pour investir dans ce projet, Alexandre et Amélie vont être accompagnés par leur conseillère afin de profiter des opportunités offertes par la loi Pinel+.
Alexandre et Amélie décident de s'engager dans un parcours de neuf ans de location. Grâce à cet engagement, ils peuvent bénéficier d'une réduction d'impôts significative. Pendant les neuf premières années, ils peuvent déduire 2% du montant de leur investissement, soit 4 000 € par an.
Et même après ces neuf années, l'avantage fiscal peut être prolongé pour 3 années supplémentaires avec une déduction de 1% du montant, soit 2 000 € par an de la 10e à la 12e année.
Ainsi, en investissant dans leur propre logement tout en participant au marché locatif, Alexandre et Amélie sécurisent leur avenir financier tout en bénéficiant des avantages de la loi Pinel + Une décision judicieuse pour un avenir prospère.
Dans les deux cas de figure, il s'agit d'un grand-père veuf, Monsieur Ansel, qui a une fille unique Alma, divorcée et mère d'un seul enfant, Arthur. Par hypothèse, le petit-fils décède après son grand-père et avant sa mère. Afin que le père de cet enfant (qui est héritier en cas de décès) ne reçoive rien au décès de son fils, on optera pour une donation soit graduelle, soit résiduelle.
Monsieur et Madame Arnaud, respectivement âgés de 83 et 82 ans, souhaitent organiser la transmission de leur patrimoine en assurant une transmission équitable à leurs enfants et en optimisant les droits de transmission.
Monsieur Antunes, chef d’entreprise dans le secteur de l’informatique, entame la dernière ligne droite de la cession de son activité professionnelle. Le produit de cession à venir doit lui servir de base à la création de revenus complémentaires à l’issue de la période d’accompagnement du repreneur.
Mme Aubrée, 37 ans, et Mme Allard, 52 ans, sont les deux associées d'une SARL prospère dans le domaine de l’immobilier. Mme Aubrée détient des parts de la société évaluées à 350 000 €, tandis que Mme Allard possède des parts d'une valeur de 500 000 €. Les deux femmes décident de prendre des mesures pour sortir de l'indivision.
Anne et Adam, un couple de trentenaires, ont décidé d’investir dans l’immobilier locatif. Anne travaille comme ingénieure et Adam est consultant en finance. Ils possèdent déjà un appartement qu’ils louent, mais ils veulent diversifier leur portefeuille d’investissement en acquérant un nouvel appartement qu’ils pourront également mettre en location.
Albert, 59 ans, chef d’entreprise, marié sous le régime de la communauté réduite aux acquêts, 3 enfants. Il est le fondateur d’une entreprise florissante dans le secteur du recyclage et à quelques années de la retraite il vient d’être approché par un de ses concurrents intéressé par la reprise de sa société.