Tout d’abord, il est important de rappeler la pertinence de l’utilisation de la dette privée en termes de complémentarité avec la poche désormais plus connue des investisseurs privés qu’est le Private Equity. Pour autant, derrière la simple terminologie de « dette privée » se cache un grand nombre de types de dettes aux profils, rendement et risques différents (Senior Loans de 1ᵉʳ rang en direct lending, parrallel lending, dette unitranche, dette mezzanine, avec ou sans sponsor de fonds de Private Equity…).
Si l’univers des possibles est vaste en termes de types de sous-jacents et de gérants de qualité, il l’est beaucoup moins en termes de solutions clés en main, investissable à partir de 100 000 €, même pour un investisseur professionnel au sens de la règlementation.
À noter, que lors d’un investissement en dette privée, deux éléments doivent éveiller la sensibilité d’un investisseur privé en la matière :
Il apparait donc opportun de mettre en place un « panachage » de divers instruments, sur de nombreux sous-jacents et avec différents gérants… En finalité, un fonds de fonds...
Le fonds de fonds constitue un véhicule pertinent pour lancer la construction de son allocation sur cette classe d’actifs, puisqu’il offre la possibilité :
C’est ainsi qu’est né le FPS Multi Dettes Privées 2024, ayant pour objectif de constituer un portefeuille de fonds diversifiés de dette privée alliant performance et rendement.
Il est accessible à partir de 100 000€ pour un investisseur professionnel, avec d’ores et déjà 3 gérants de tout premier plan dans leurs domaines d’expertise respectifs (Ares, Goldman Sachs & Muzinich) et dont la performance cible est de 8 %, avec un rendement sur l’engagement de 5 % annuel**.
L’investissement dans des fonds de dette privée présente des risques dont le risque de perte en capital. Comme tout investissement réalisé dans des entreprises non cotées, le développement et la croissance des entreprises sélectionnées par les fonds ne sont pas garantis et sont sujettes aux variations à la hausse comme à la baisse. L’investissement dans des fonds de dette privée doit s’envisager dans une optique de long terme, dans le cadre d’une diversification du portefeuille et répondre aux besoins de l’investisseur. Ce placement est considéré comme illiquide, l’investisseur doit donc pouvoir immobiliser la somme investie sur la durée de l’investissement. Avant tout investissement, l’investisseur doit prendre connaissance de la documentation contractuelle en vigueur pour comprendre les caractéristiques de l’investissement et notamment des facteurs de risques. Les performances passées ne sont pas un indicateur fiable des performances futures.
Fonds réservé aux investisseurs avertis, article 423-27 du RGAMF. Investir dans le Fonds présente un risque de perte en capital et d’illiquidité. Le coupon n’est ni garanti ni contractuel et ne constitue qu’un objectif de gestion. Investir dans le Fonds présente un risque de perte en capital et d’illiquidité.
Ceci est une communication publicitaire. Veuillez-vous référer au Prospectus le cas échéant et Document d’informations clés (DIC) du Fonds avant de prendre toute décision finale d’investissement.
* Fonds géré par la société de gestion Pams
**Le rendement n’est ni garanti, ni contractuel et ne constitue qu’un objectif de gestion
À l’heure où les ETF séduisent de plus en plus d’investisseurs, la question mérite d’être posée. Entre promesse de performance, coûts réduits et vrais enjeux de diversification, faisons le point sur deux approches qui façonnent le paysage financier d’aujourd’hui.
Dans un contexte où les épargnants français recherchent du sens et de la rentabilité pour leur patrimoine, une opportunité se distingue : la dette privée. En effet, cette classe d’actifs permet de financer directement les entreprises tout en générant des revenus réguliers et attractifs. À mi-chemin entre rendement, diversification et utilité économique, elle s’impose comme un trait d’union puissant entre les besoins de financement de l’économie réelle et les objectifs patrimoniaux des investisseurs.
Au 1er trimestre 2025, le taux d’épargne des Français s’est établi à 19,1 % du revenu disponible, ce qui correspond à plus de 1 000 milliards d’euros, un record historique. Le patrimoine financier des ménages atteint désormais 6 500 milliards d’euros affectés pour les deux tiers, à parité, en dépôts ou livrets réglementés et en assurance-vie.
Cette affirmation attribuée au père de la physique moderne, Albert Einstein, souligne l’idée que la connaissance, aussi rigoureuse soit-elle, devient stérile si elle n’est pas accueillie dans un climat de confiance mutuelle.
Dans un monde patrimonial en mutation, le Family Office s’impose comme un acteur central pour accompagner les grandes fortunes dans la gestion stratégique et durable de leur patrimoine. Ce chef d’orchestre discret mais décisif aide les familles à conjuguer pérennité, diversification et vision à long terme.
Investir en Bourse peut sembler complexe, mais certaines stratégies rendent l’expérience plus accessible et lisible. Le mandat Action Europe Dividendes, géré par Zenith Asset Management*, en est un bon exemple : il mise sur la solidité des grandes entreprises européennes et leur capacité à verser des dividendes réguliers.