Depuis le mois de juillet 2002, la Banque Centrale Européenne 2023 n’a cessé de monter ses taux directeurs pour contrer l’inflation. De 0 %, le taux de refinancement de la BCE a ainsi progressivement monté pour atteindre 4,50 %.
Maintenant que l’essentiel des pressions inflationnistes sont derrière nous, de nombreux observateurs prévoient une baisse des taux pour les prochains mois.
Après avoir surfé sur la hausse des taux, il s’agit donc maintenant pour les investisseurs de profiter de cette baisse de taux. Ils peuvent le faire en cristallisant les taux actuels pour une longue période - via des fonds obligataires datés par exemple - ou en s’exposant directement à la baisse des taux via un produit structuré.
À noter, les produits structurés « bearish », c’est-à-dire jouant la baisse d’un actif, n’ont jamais été des succès commerciaux lorsqu’ils sont indexés au marché action. La raison est qu’un investisseur qui anticipe une baisse vendra ses actions plutôt que d’acheter un produit financier qui lui permettra de réaliser un gain en période baissière.
Cependant, un produit « bearish » sur les taux aura toutes les chances d’attirer l’attention des investisseurs pour au moins 3 raisons :
À titre d’illustration, Zenith Capital a récemment lancé des offres qui paient des coupons jusqu’à 7 % par an en cas de baisse des taux euro. Des formules populaires comme les Phoenix et les Athéna s’adaptent très bien à cette classe d’actifs. N’hésitez pas à consulter les équipes Zenith Capital.
Créer une entreprise, la faire grandir, la céder ou la transmettre : derrière ces mots se cache une aventure humaine et économique, jalonnée de choix déterminants. À chaque étape, le dirigeant se retrouve face à des décisions qui engagent son avenir, celui de son entreprise et de sa famille. Et dans ce parcours, une certitude s’impose : l’accompagnement n’est pas une option, mais un levier de réussite.
Il y a des idées qui reviennent régulièrement dans le débat public, portées par la promesse d’une « justice fiscale » et d’un monde meilleur. La taxe Zucman, impôt plancher sur la fortune (IPF) de 2 % sur les patrimoines supérieurs à 100 millions d’euros, en est l’exemple parfait. Mais, derrière la façade a priori séduisante de la lutte contre les inégalités, cette mesure relève surtout d’une démagogie fiscale qui ignore la réalité économique, juridique et même… mathématique.
Bien que le mandat de protection future et le mandat à effet posthume aient été introduits il y a plus de quinze ans dans le Code civil français, ces dispositifs continuent d’évoluer. Ainsi, le décret n°2024-1032 a récemment instauré le registre des mandats de protection future, comme le prévoyait déjà la loi de 2015 relative à l’adaptation de la société au vieillissement.
En France, la gestion des produits financiers pour un majeur protégé est encadrée par la loi. L’objectif est de garantir la protection des intérêts de la personne vulnérable tout en assurant une administration adaptée de son patrimoine.
Dans un environnement marqué par l’inflation, la volatilité des marchés financiers et l’évolution constante de la fiscalité, les stratégies d’investissement doivent répondre à une double exigence : préserver le capital déjà constitué et assurer des revenus stables et durables. La clé réside dans une stratégie équilibrée, qui s’appuie sur toutes les classes d’actifs disponibles. Cette diversification n’est pas seulement une opportunité, c’est aussi une obligation pour sécuriser son avenir financier.
À l’heure où les ETF séduisent de plus en plus d’investisseurs, la question mérite d’être posée. Entre promesse de performance, coûts réduits et vrais enjeux de diversification, faisons le point sur deux approches qui façonnent le paysage financier d’aujourd’hui.