2023 a vu le retour tonitruant des produits structurés offrant une garantie de 100 % du capital initialement investi à terme. Ces produits, qui avaient disparu de la gamme des émetteurs depuis près de 10 ans, sont revenus en force, avec un montage rendu de nouveau possible, grâce à la combinaison de 2 facteurs :
En offrant des taux annuels supérieurs à 4,50 % brut, ces offres se sont donc retrouvées très compétitives face au fonds euro des assureurs et face au Livret A.
Toutefois, les offres 100 % capital garanti sont dorénavant dans un contexte moins favorable, car d’une part les taux d’intérêts ont beaucoup baissé (le taux 5 ans est passé de 3,45 % fin septembre à 2,50 % début janvier) et d’autre part les rendements servis par les fonds euro sont annoncés en forte hausse alors que le taux du livret A est pour l’instant maintenu à 3,00 % net.
Ces offres 100 % capital garanti semblent moins pertinentes dans le contexte actuel et il est donc préférable de privilégier à nouveau des produits offrant un rendement régulier en échange d’un risque de perte en capital, avec une probabilité faible qu’il se matérialise.
À titre d’illustration, Zenith Capital a récemment lancé des offres qui paient des coupons > 6,50 % par an jusqu’à une baisse de 20 % d’un indice action diversifié. Le capital initialement investi est protégé jusqu’à une baisse de 50 % de l’indice sous-jacent.
Au regard de ces différents facteurs et dans un contexte incertain sur l’inflation et sur les taux, le risque action bien calibré semble le plus à même d’offrir du rendement aux investisseurs.
À l’heure où les ETF séduisent de plus en plus d’investisseurs, la question mérite d’être posée. Entre promesse de performance, coûts réduits et vrais enjeux de diversification, faisons le point sur deux approches qui façonnent le paysage financier d’aujourd’hui.
Dans un contexte où les épargnants français recherchent du sens et de la rentabilité pour leur patrimoine, une opportunité se distingue : la dette privée. En effet, cette classe d’actifs permet de financer directement les entreprises tout en générant des revenus réguliers et attractifs. À mi-chemin entre rendement, diversification et utilité économique, elle s’impose comme un trait d’union puissant entre les besoins de financement de l’économie réelle et les objectifs patrimoniaux des investisseurs.
Au 1er trimestre 2025, le taux d’épargne des Français s’est établi à 19,1 % du revenu disponible, ce qui correspond à plus de 1 000 milliards d’euros, un record historique. Le patrimoine financier des ménages atteint désormais 6 500 milliards d’euros affectés pour les deux tiers, à parité, en dépôts ou livrets réglementés et en assurance-vie.
Cette affirmation attribuée au père de la physique moderne, Albert Einstein, souligne l’idée que la connaissance, aussi rigoureuse soit-elle, devient stérile si elle n’est pas accueillie dans un climat de confiance mutuelle.
Dans un monde patrimonial en mutation, le Family Office s’impose comme un acteur central pour accompagner les grandes fortunes dans la gestion stratégique et durable de leur patrimoine. Ce chef d’orchestre discret mais décisif aide les familles à conjuguer pérennité, diversification et vision à long terme.
Investir en Bourse peut sembler complexe, mais certaines stratégies rendent l’expérience plus accessible et lisible. Le mandat Action Europe Dividendes, géré par Zenith Asset Management*, en est un bon exemple : il mise sur la solidité des grandes entreprises européennes et leur capacité à verser des dividendes réguliers.