Comment optimiser son investissement en SCPI ?
La Société Civile de Placement Immobilier (SCPI) constitue un outil incontournable pour développer son patrimoine et son mode de détention doit être choisi avec attention. Mais il est possible d’utiliser d’autres leviers pour rendre cette solution encore plus intéressante en fonction de chaque situation.
Investir dans des SCPI à crédit
Investir dans des SCPI à crédit
Il est possible d’optimiser son investissement en souscrivant des SCPI à crédit. L’acquisition de parts de SCPI à crédit permet de préparer la génération de revenus complémentaires futurs. Pendant la phase d’acquisition, les loyers viennent rembourser les échéances de crédit, et au terme du prêt, générer un revenu complémentaire complet. Bien évidemment, l’investisseur aura également la possibilité de revendre ses parts et d’avoir créé du capital avec le levier du crédit. Attention néanmoins, un crédit vous engage et doit être remboursé. Il est donc important d’être bien accompagné pour s’assurer de la faisabilité et la pertinence de sa mise en place.
Un deuxième levier d’optimisation est l’acquisition de parts de SCPI en démembrement.
Le démembrement de propriété permet de séparer : l’usufruit - le droit d’user d’un bien (usus) et le droit d’en percevoir les loyers (fructus) - et la nue-propriété - le droit de disposer du bien à terme. Le démembrement peut être temporaire, et cela est une pratique habituelle pour les SCPI, ou définitif. Dans les cas des démembrements temporaires de SCPI, les durées varient en général de 5 à 15 ans.
Grâce au démembrement, le coût de l’investissement est limité. Le prix de la nue-propriété dépend de la durée du démembrement. Ainsi, il est possible d’acquérir des parts par exemple à hauteur de 65 % de la valeur en pleine propriété. À la fin de la période de démembrement, l’usufruit s’éteint complétement. L’investisseur devient plein propriétaire et détient alors 100% des parts. Une plus-value mécanique est donc réalisée, laquelle peut être renforcée par la valorisation du prix des parts.
Point intéressant, le nu-propriétaire d’un bien n’est pas soumis à l’impôt sur la fortune immobilière (IFI) sur ce bien.
La réussite d’une entreprise repose nécessairement sur un ensemble de facteurs économiques et conjoncturels, qui ne suffisent pas à eux seuls à assurer le développement de la société. Le dénominateur commun à la croissance d’une entreprise est par essence l’Humain, et plus particulièrement les « hommes-clés » que l’on retrouve derrière chaque projet entrepreneurial.
Avec une dette publique dépassant 115 % du PIB et un déficit persistant de 5,4 %, la France traverse une zone de turbulences sans précédent.
Le projet de loi de finances pour 2026, tel que présenté en Conseil des Ministres le 14 octobre 2025 envisage d’instaurer de nouvelles impositions et la suppression ou modification de certaines mesures fiscales.
En France, près de 37 000 transmissions ont été enregistrées en 2024 et la vague de départs à la retraite des dirigeants va se renforcer : sur la décennie à venir, environ 500 000 entreprises vont être transmises. La préparation de cette transmission est le gage de la pérennité de l’entreprise.
Créer une entreprise, la faire grandir, la céder ou la transmettre : derrière ces mots se cache une aventure humaine et économique, jalonnée de choix déterminants. À chaque étape, le dirigeant se retrouve face à des décisions qui engagent son avenir, celui de son entreprise et de sa famille. Et dans ce parcours, une certitude s’impose : l’accompagnement n’est pas une option, mais un levier de réussite.
Il y a des idées qui reviennent régulièrement dans le débat public, portées par la promesse d’une « justice fiscale » et d’un monde meilleur. La taxe Zucman, impôt plancher sur la fortune (IPF) de 2 % sur les patrimoines supérieurs à 100 millions d’euros, en est l’exemple parfait. Mais, derrière la façade a priori séduisante de la lutte contre les inégalités, cette mesure relève surtout d’une démagogie fiscale qui ignore la réalité économique, juridique et même… mathématique.