Comment bien choisir sa SCPI ?
Investir en SCPI, c’est avant tout bénéficier des rendements locatifs potentiels qui permettent de percevoir des revenus trimestriels. Investir en SCPI, c’est également, sur le long terme, voir son capital croître avec la valorisation des immeubles sous-jacents.
L’investissement en SPCI doit être envisagé sur le long terme et présente un risque de perte en capital. Les revenus de la SCPI peuvent varier à la hausse comme à la baisse et ne sont pas garantis. La SCPI est exposée au risque du marché immobilier ce qui peut avoir un impact négatif sur la valeur des actifs détenus par le SCPI. Les performances passées ne sont pas un indicateur fiable des performances futures.
Comment investir en SCPI ?
Comment investir en SCPI ?
Il est important de faire attention aux frais d’acquisition et au taux de distribution qui varie en fonction du mode d’acquisition. Les différents modes de détention ouvrent à l’investisseur un large de choix de solutions, en fonction de ses objectifs.
Investir en direct
L’investisseur devient associé, perçoit les revenus trimestriels potentiels et bénéficie de la valorisation des immeubles au fil du temps. Il est redevable de l’impôt sur les revenus fonciers mais, en cas d’achat à crédit, il peut en déduire les intérêts d’emprunts. Ce mode de détention est d’autant plus intéressant pour les tranches marginales d’imposition basses.
Investir dans un contrat d’assurance-vie
Au sein d’un contrat d’assurance-vie, les parts de SCPI sont alors sous la forme d’unités de compte et les revenus trimestriels potentiels restent logés dans le contrat. En cas de rachat, l’assureur en assure la liquidité et c’est la fiscalité de l’assurance vie qui s’applique, et non l’impôt sur les revenus fonciers. Ce mode de détention est d’autant plus favorable que la tranche marginale d’imposition est élevée.
Investir en démembrement
En détenant la nue-propriété d’une SCPI, l’investisseur n’est pas imposable aux revenus fonciers (et à l’IFI), mais bénéficie de la valorisation des immeubles, donc des parts de la SCPI détenue. L’usufruitier perçoit les revenus trimestriels potentiels le temps que dure l’usufruit (fixé en fonction d’une durée conventionnellement définie ou en fonction de la durée de vie de l’usufruitier). Il ne bénéficie pas de la valorisation des parts mais a pu investir un montant moindre.
Les critères de choix d’une SCPI s’attachent essentiellement au patrimoine immobilier sous-jacent. Ce sont donc les convictions et la qualité du gérant qui importent. Et ces critères de choix sont, bien entendu, ceux appliqués à tout achat immobilier :
- L’emplacement : le gérant doit avoir à cœur d’investir dans des quartiers établis ayant de très bonnes conditions locatives
- La thématique : certaines SCPI privilégient des thématiques d’investissement sur des classes d’actifs spécifiques : la santé, l’éducation, le résidentiel, l’hôtellerie.
- La qualité des immeubles : il importe de sélectionner des immeubles efficients en termes de normes environnementales mais aussi de qualité « à vivre » pour les locataires. Un parc immobilier récent est un gage de bon rendement locatif et d’un taux élevé d’occupation.
- La diversification : l’un des atouts de l’investissement SCPI réside dans la mutualisation du risque. Cette mutualisation est synonyme de diversification : diversification des thématiques, des locataires, des immeubles, mais aussi des zones, villes, pays dans lesquels la SCPI investit.
- Le taux d’occupation : cela correspond au rapport entre le montant des loyers réellement perçu et le total des loyers qui seraient facturés si l'intégralité du patrimoine de la SCPI était louée.
- Les réserves : les SCPI ne sont pas obligées de verser aux associés la totalité des loyers perçus. Ils peuvent en mettre une partie de côté d’une année sur l’autre. On parle alors de réserve. Ces réserves leur permettent de lisser son rendement sur plusieurs exercices. En cas de difficultés entraînant la baisse de ses revenus, la SCPI pourra piocher dans cette réserve pour maintenir son niveau de distribution d’une année sur l’autre.
La réussite d’une entreprise repose nécessairement sur un ensemble de facteurs économiques et conjoncturels, qui ne suffisent pas à eux seuls à assurer le développement de la société. Le dénominateur commun à la croissance d’une entreprise est par essence l’Humain, et plus particulièrement les « hommes-clés » que l’on retrouve derrière chaque projet entrepreneurial.
Avec une dette publique dépassant 115 % du PIB et un déficit persistant de 5,4 %, la France traverse une zone de turbulences sans précédent.
Le projet de loi de finances pour 2026, tel que présenté en Conseil des Ministres le 14 octobre 2025 envisage d’instaurer de nouvelles impositions et la suppression ou modification de certaines mesures fiscales.
En France, près de 37 000 transmissions ont été enregistrées en 2024 et la vague de départs à la retraite des dirigeants va se renforcer : sur la décennie à venir, environ 500 000 entreprises vont être transmises. La préparation de cette transmission est le gage de la pérennité de l’entreprise.
Créer une entreprise, la faire grandir, la céder ou la transmettre : derrière ces mots se cache une aventure humaine et économique, jalonnée de choix déterminants. À chaque étape, le dirigeant se retrouve face à des décisions qui engagent son avenir, celui de son entreprise et de sa famille. Et dans ce parcours, une certitude s’impose : l’accompagnement n’est pas une option, mais un levier de réussite.
Il y a des idées qui reviennent régulièrement dans le débat public, portées par la promesse d’une « justice fiscale » et d’un monde meilleur. La taxe Zucman, impôt plancher sur la fortune (IPF) de 2 % sur les patrimoines supérieurs à 100 millions d’euros, en est l’exemple parfait. Mais, derrière la façade a priori séduisante de la lutte contre les inégalités, cette mesure relève surtout d’une démagogie fiscale qui ignore la réalité économique, juridique et même… mathématique.