La diversification est essentielle dans la gestion de son patrimoine et incarne la raison d’être d’une planification financière bien échafaudée.
Plusieurs grandes classes d’actifs peuvent composer un patrimoine et possèdent chacune leurs avantages et inconvénients :
Trois étapes sont essentielles :
Combiner les différentes classes d’actifs de manière réfléchie et pragmatique permet de composer avec les avantages et les inconvénients de chacune, et ce, sans incidence sur les objectifs patrimoniaux de l’investisseur : préservation du capital, valorisation, création de revenus…
L’accompagnement par un conseiller patrimonial s’avère opportun pour mettre en place une diversification équilibrée.
L’usufruit est l’un des éléments constitutifs de la pleine propriété. Il confère à son titulaire, l’usufruitier, le droit de jouir de la chose et notamment d’en percevoir les revenus. La nue-propriété, qui est l’autre composante de la pleine propriété, permet quant à elle de disposer du bien.
Les objectifs de l’investisseur s’expriment généralement en fonction de son horizon d’investissement, sa capacité et sa tolérance au risque. Toutefois, ces notions restent vagues… Où se situe la frontière entre le court, moyen et long terme ? Quelle mesure retenir pour la tolérance au risque ? L’approche par objectif patrimonial facilite cette formalisation, mais comment cela fonctionne-t-il ?
Les sociétés holding sont devenues une véritable colonne vertébrale dans l’organisation du patrimoine des dirigeants d’entreprises, qu’il s’agisse de leur patrimoine professionnel mais également personnel.
Investir sur les marchés actions peut être anxiogène pour beaucoup d’épargnants même si leur horizon d’investissement s’avère très éloigné. À travers l’investissement programmé, les épargnants s’affranchissent de ces difficultés.
La donation avant cession est une technique permettant de transmettre des biens tout en optimisant les coûts fiscaux. Particulièrement prisée pour la cession d'entreprise, elle peut également s'appliquer à la vente d'actifs financiers ou immobiliers, apportant des avantages fiscaux notables.
La dette privée est un mode de financement pour les entreprises non cotées, qui cherchent des alternatives aux prêts bancaires traditionnels et aux émissions obligataires sur les marchés financiers cotés. Depuis la crise financière de 2008, les banques ont restreint leurs prêts en raison du renforcement de la réglementation bancaire, ce qui a amené à une forte croissance du marché de la dette privée, attirant des investisseurs à la recherche de rendements attractifs.