La dette privée est un mode de financement pour les entreprises non cotées, qui cherchent des alternatives aux prêts bancaires traditionnels et aux émissions obligataires sur les marchés financiers cotés. Depuis la crise financière de 2008, les banques ont restreint leurs prêts en raison du renforcement de la réglementation bancaire, ce qui a amené à une forte croissance du marché de la dette privée, attirant des investisseurs à la recherche de rendements attractifs.
Le démembrement de propriété est un outil juridique qui permet de séparer l'usufruit, c'est-à-dire le droit de jouir de la chose, de la nue-propriété, c'est-à-dire le droit de disposer de la chose. Il existe deux situations principales concernant le démembrement : le démembrement subi lors d'un décès au profit du conjoint et le démembrement choisi dans le cadre d'une stratégie de transmission. Voici les principales différentes entre ces deux types de démembrement :
L’épargne des investisseurs privés peut être logée dans différentes « enveloppes », telles que l’assurance-vie, le compte-titre ou encore le Plan d’Épargne Actions, dont certaines bénéficient d'avantages en matière de fiscalité. Chacune de ces enveloppes donne un accès plus ou moins étendu à différents types de sous-jacents, regroupés en grandes classes d’actifs.
Il est important de rappeler que le Plan d'Épargne Retraite, autrement dit le PER, est un dispositif d'épargne long terme destiné à compléter les revenus lors du passage à la retraite. Il comporte une phase d'épargne constituée de versements permettant d'obtenir une économie d'impôt et une phase de liquidation.
Pour la construction d’une allocation patrimoniale, trois étapes fondamentales sont nécessaires pour sélectionner et structurer les actifs.
Pour diminuer la fiscalité, deux solutions sont à la disposition des contribuables français : la réduction d’impôt et la déduction fiscale. Mais quelles sont les différences entre ces deux solutions ?