4,5 %... comme le seuil sous lequel le 10 ans US est repassé sous l’effet des bonnes nouvelles économiques.
Pour rappel, il avait franchi à la hausse pour la première fois depuis 2007 les 5 % le mois dernier. Tout un symbole ! Une détente qui illustre à merveille à quel point les investisseurs se mettent à croire au scénario de désinflation, et donc au pivot prochain des banques centrales.
Si la trajectoire désinflationniste a longtemps davantage relevé de l’incantation plus que du réel, nombre d’éléments (à l’instar de l’indicateur CPI américain) plaident désormais pour une accalmie monétaire. Les banques centrales américaine ou européenne, qui auront opéré un des durcissements des conditions de financement les plus importants de leur histoire, aussi bien en termes d’ampleur que de temporalité, semblent avoir jugulé la surchauffe évoquée en préambule, sans pour autant provoquer une entrée en récession.
Cette nouvelle ère financière aura ouvert la voie à une classe d’actifs, en l’occurrence les obligations, qui n’offrait peu ou plus de rendements aux porteurs. Le pivot prochain des banques centrales, s’il devait se confirmer, pourrait également soutenir l’orientation des actifs risqués ces prochains mois. À suivre…
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