Les derniers chiffres économiques publiés montrent que l'inflation diminue et l'activité patine en zone Euro. En conséquence, la Banque Centrale Européenne qui a commencé à baisser ses taux d'intervention (3,5 % au 16/10/2024) devrait poursuivre ce mouvement dans les trimestres à venir. En 2025, les marchés escomptent qu'ils se situeraient autour de 2 %. Alors quelles en sont les implications en matière d'investissement et d'allocation d'actifs ?
Si ce scénario se réalise, le rendement des fonds monétaires et autres comptes à terme va poursuivre son mouvement de baisse et réduire son avantage vis-à-vis du fonds Euro et des classes d'actifs plus risquées.
Les obligations à moyen terme d'entreprise de qualité constituent l'alternative la plus proche en termes de risque. Ces stratégies permettent de cristalliser sur les 3 à 5 prochaines années les taux de rendement auxquels se négocient ces obligations actuellement (3,4 % en moyenne, soit un niveau équivalent à celui du monétaire). Une partie de cette stratégie peut être dirigée vers des obligations dites "spéculatives" avec un risque crédit supérieur, mais également une perspective de rendement plus importante autour de 6 % à date).
La baisse des taux aura également des répercussions sur les stratégies actions. En premier lieu, concomitamment à la baisse des taux, la détérioration des conditions économiques pèse sur les perspectives de résultat des entreprises et induit un ajustement à la baisse sur le cours des actions concernées.
Dans ce contexte, les secteurs dits "défensifs" (santé, pharmacie, alimentation, services aux collectivités, produits de grande consommation) seraient moins impactés par les fluctuations du cycle économique, que les valeurs dites "cycliques" (comme l'automobile, les matériaux de base, la banque...).
D'un autre côté, la baisse des taux est favorable aux actions par deux canaux :
Enfin, la baisse des taux devrait permettre à moyen terme de soutenir la demande (investissement et consommation) et de relancer ainsi un nouveau cycle de croissance favorable aux actions. La gestion active des OPCVM vise à identifier les cycles associés à ces différentes thématiques pour constituer des portefeuilles diversifiés.
Bien difficile de déterminer le nombre d’entreprises qui seront cédées en France dans les 10 prochaines années, puisque la Direction Générale des Entreprises au sein du ministère de l’Économie estime que ce nombre est compris entre… 250 000 et 700 000. La fourchette est large.
Trump n’a pas attendu son entrée en fonction le lundi 20 janvier 2025 pour bousculer l’opinion dans un style souvent jugé brutal. Annexion du Groenland et du canal de Panama, fusions du Canada avec les États-Unis, lutte contre l’immigration, hausse des tarifs douaniers… tout est simple, tout est dit pour rendre la grandeur aux États-Unis (Make America Great Again – MAGA). Que peut-on attendre derrière ces positions, entre mythe et réalité ?
152 500 euros. Il faut remonter au XXᵉ siècle pour trouver l’origine de ce nombre, qui correspondait avant le passage à l’euro à 1 million de francs. 1 million de francs ou 152 500 €, c’est la somme que chaque souscripteur peut transmettre sans taxation à chacun de ses bénéficiaires au travers de son contrat d’assurance-vie, à condition que les sommes en question soient versées sur le contrat avant ses 70 ans.
En 2023, les droits de donation et de succession ont rapporté 21 Milliards d'Euros au Trésor public français se décomposant en 16,6 Milliards d'Euros perçus au titre des droits de donation et 4 300 Millions générés par les droits de succession.
45 000 Français résideraient actuellement aux Émirats arabes unis, c’est le contingent français le plus important du monde Arabe (environ 30 000 français enregistrés auprès du consulat et 15 000 non enregistrés).
5 %, c'est ce que représente en moyenne la part de capitalisation dans le système de retraite français, ce taux dépasse les 60 % dans des pays comme l'Australie, le Canada et les États-Unis.