Contexte :
Albert est chef d’entreprise et a 58 ans. Il est divorcé et a deux enfants, Antoine et AudeIl a constitué une société en 2005 dénommée ALBERTEX qu’il détient avec ses enfants qui l’ont rejoint récemment. La société, évaluée à 3 M€, enregistre régulièrement des résultats bénéficiaires (en moyenne 500K€ sur les trois dernières années), et la trésorerie accumulée n’est plus utilisée pour réaliser des investissements productifs pour son développement. Albert a plusieurs objectifs, notamment :
Stratégie d’exfiltration :
Après l’analyse de la situation de la société et de ses objectifs patrimoniaux, son conseiller lui propose une stratégie d’exfiltration de trésorerie excédentaire consistant en une co-acquisition démembrée de parts de société civile de placement immobilier (SCPI).
Les parts de SCPI sont en effet achetées en coacquisition :
La SCI a pour objectif d’acquérir et de louer un parc immobilier. Elle fait appel à l’épargne public et pour acquérir les immeubles, elle se doit d’être enregistrée auprès de l’autorité des marchés financiers (AMF). Un des avantages principaux de ce type d’investissement est la forte mutualisation du risque (risque de non-paiement du locataire, logements vacants…) par le nombre significatif d’immeubles et d’associés.
Avec cet investissement, la société ALBERTEX bénéficiera des revenus des SCPI pendant la durée du démembrement. Cette durée est en générale de 15 ans. En outre, la société ALBERTEX a la possibilité d’optimiser son résultat fiscal en amortissant, sur la même durée, la valeur de l’usufruit temporaire. De son côté, Albert n’est soumis à aucune fiscalité sur la nue-propriété des parts de SCPI.L’économie fiscale pendant cette période de détention est non négligeable : à minima 25K€ par an en considérant une TMI à 41% ! Au terme de cette période, la pleine propriété des parts de la SCPI reviendra à Albert, et ce, sans fiscalité aucune ! Il pourra par la suite céder les parts de SCPI ou profiter des revenus afin d’augmenter son train de vie.
Exemple :
Monsieur Antunes, chef d’entreprise dans le secteur de l’informatique, entame la dernière ligne droite de la cession de son activité professionnelle. Le produit de cession à venir doit lui servir de base à la création de revenus complémentaires à l’issue de la période d’accompagnement du repreneur.
Mme Aubrée, 37 ans, et Mme Allard, 52 ans, sont les deux associées d'une SARL prospère dans le domaine de l’immobilier. Mme Aubrée détient des parts de la société évaluées à 350 000 €, tandis que Mme Allard possède des parts d'une valeur de 500 000 €. Les deux femmes décident de prendre des mesures pour sortir de l'indivision.
Voici Alexandre, âgé de 42 ans, et Amélie, âgée de 45 ans, ensemble, ils font l’acquisition d'un bien immobilier à Montpellier dans le but de le louer, souhaitant ainsi constituer un patrimoine et profiter d'avantages fiscaux.
Anne et Adam, un couple de trentenaires, ont décidé d’investir dans l’immobilier locatif. Anne travaille comme ingénieure et Adam est consultant en finance. Ils possèdent déjà un appartement qu’ils louent, mais ils veulent diversifier leur portefeuille d’investissement en acquérant un nouvel appartement qu’ils pourront également mettre en location.
Albert, 59 ans, chef d’entreprise, marié sous le régime de la communauté réduite aux acquêts, 3 enfants. Il est le fondateur d’une entreprise florissante dans le secteur du recyclage et à quelques années de la retraite il vient d’être approché par un de ses concurrents intéressé par la reprise de sa société.
Partir s’installer à l’étranger n’est pas une décision à prendre à la légère. Alice et Augustin l’ont bien compris. Ceux-ci ont pris soin de se renseigner auprès de leur conseiller spécialisé, 9 mois avant la date prévue pour le départ.