Prenez soin de votre famille durant votre expatriation
Un projet d’expatriation revêt par nature, une certaine complexité, une part de risque, d’aventure.
L’obtention d’un visa, l’inscription des enfants dans une bonne école, le choix d’un logement confortable, sont des éléments déterminants dans la réussite d’un séjour de longue durée à l’étranger.
Parmi les nombreux facteurs qui conditionnent le succès d’un projet de mobilité internationale, la protection familiale est l’un des éléments clés qui permet de sécuriser et de pérenniser le séjour à l’étranger.
Avant de façonner son projet d’expatriation, il convient donc de construire des fondations solides dont la santé et la prévoyance font partie intégrante.
Depuis la crise du COVID, on constate une prise de conscience accrue des expatriés face aux enjeux sanitaires, accordant désormais une importance toute particulière à leur complémentaire santé ou à leur contrat de prévoyance.
Vivre à l’étranger, c’est en effet se confronter souvent à des systèmes de santé très différents du système français, parfois moins protecteurs, plus coûteux, avec des soins qui peuvent se chiffrer en dizaines de milliers voire en centaines de milliers d’euros dans certains pays.
Le choix d’une complémentaire santé doit donc se faire en tenant compte de multiples facteurs : le pays de résidence, les besoins de la famille en matière de remboursements, la durée théorique de l’expatriation, les couvertures mises en place par l’employeur au profit de ses salariés…
La crise du COVID 19 a par ailleurs mis en lumière certaines insuffisances dans les contrats d’assurances (la couverture en cas d’épidémies en particulier, la prise en charge des tests ou des traitements consécutifs à cette épidémie). La majeure partie des assureurs a donc pris en compte cette nouvelle donne pour moderniser leurs contrats et adapter leurs propositions d’assurances.
La possibilité de bénéficier de consultations à distance (télémédecine) a par exemple été étendue pour faire face aux restrictions de déplacement imposées durant la crise, de même que les garanties liées au rapatriement ou aux hospitalisations prolongées consécutives au COVID 19.
Au-delà du remboursement des soins courants et de l’hospitalisation, ce sont d’autres garanties ou options qui peuvent venir se greffer au sein du contrat d’assurance santé internationale pour couvrir certains risques particuliers : c’est le cas des couvertures spécifiques liées à la maternité, ainsi qu’aux postes optique et dentaire.
On peut également évoquer les garanties d’assistance telle que l’assurance rapatriement, qui prend en charge votre retour à domicile ou dans un établissement hospitalier pour y être soigné, ou encore la prévoyance qui garantit le versement d’un capital au conjoint ou aux bénéficiaires désignés en cas de décès.
Le monde de l’assurance santé internationale est en pleine mutation et doit s’adapter face aux crises sanitaires, aux nouvelles habitudes de consommation (digital nomads), ainsi qu’aux évolutions technologiques (digitalisation, IA).
Pour autant, c’est bien l’humain qui reste au cœur des préoccupations. Rien ne remplacera le fait de bénéficier d’un interlocuteur dédié, en proximité, qui pourra comprendre vos problématiques et vos besoins.
Vous pourrez ainsi choisir les niveaux de protection qui vous sécurisent, votre famille et vous et qui garantiront la pérennité de votre projet de vie à l’international.
La fulgurante ascension des valeurs technologiques liées à l'intelligence artificielle suscite des comparaisons inquiétantes avec la bulle internet de 2000. Le Nasdaq affiche une progression spectaculaire, portée par les géants de la tech dont les valorisations atteignent des sommets. Pourtant, malgré certaines similitudes, la situation actuelle présente des différences fondamentales qui invitent à la nuance plutôt qu'à la panique.
Pour de nombreux dirigeants et professions libérales, la question n’est plus seulement "comment se constituer une retraite complémentaire", mais comment le faire tout en optimisant la fiscalité de son revenu professionnel.
L’optimisation fiscale est une pratique légale qui consiste à utiliser des dispositifs légaux afin de réduire sa charge fiscale, ce sans contourner l’esprit des lois. Elle s’inscrit dans une stratégie patrimoniale globale et doit être distinguée de l’abus de droit, sanctionné par l’article L64 du Livre des procédures fiscales. L’abus de droit survient lorsque des opérations sont réalisées dans un but principalement fiscal, sans justification économique réelle. Cette frontière est essentielle : optimiser, oui, mais dans le respect non seulement des textes mais de l’esprit qui a présidé à leur rédaction.
Alors que les projets de loi de finances et de loi de financement de la Sécurité sociale pour 2026 sont toujours en cours d’examen au Parlement, il demeure d’affirmer avec certitude que ces lois seront promulguées avant la fin de l’année 2025.
Instauré par la loi de finances pour 2013, l’article 150-0 B ter du CGI encadre les opérations « d’apport-cession » . Au fil des années, ce mécanisme est devenu un outil important de la planification des dirigeants actionnaires. Le Conseil des prélèvements obligatoires (CPO 2024) relève qu’en 2021 près de 13 Md€ de nouvelles plus-values ont été placées en report d’imposition via ce régime.
Dans les stratégies traditionnelles visant à générer des revenus, on investit dans des actifs générateurs de revenus (dividendes, loyers, coupons) pour financer son train de vie. Le montant des actifs nécessaires pour générer les revenus attendus dépend du rendement de ces actifs. Les actifs potentiellement générateurs de croissance du patrimoine sans revenus sont exclus de cette assiette. Cette opposition est largement artificielle. Elle omet un principe fondamental : l’argent est fongible.
