Les produits structurés sont devenus incontournables dans une allocation d’actifs. Ils sont utilisés aujourd’hui par la majorité des professionnels du patrimoine, mais il ne faut pas oublier qu’ils étaient regardés avec circonspection par nombre d’entre eux, il y a encore quelques années.
Cependant, le travail d’évangélisation mené par les émetteurs et les brokers de produits structurés depuis des années, ne suffit pas à lui seul à expliquer les récents gains de parts de marché de cette classe d’actifs. En effet, les raisons de cet engouement sont multiples :
Les souscripteurs sont les meilleurs ambassadeurs des produits structurés, puisque l’immense majorité d’entre eux ont gagné de l’argent.
Par ailleurs, la diversité des sous-jacents et des formules, couplée à la capacité d’adaptation de l’industrie, permet de répondre aux besoins du plus grand nombre.
Prédire l’avenir des marchés étant un exercice périlleux, une part grandissante des épargnants souhaitent en effet « monétiser » les scénarios les plus consensuels, à savoir une petite baisse ou une grande baisse. Et c’est précisément ce que permettent de faire les best-sellers du marché français des produits structurés : les autocalls.
L’industrie des produits structurés a maintenant un historique de 25 ans. D’un marché balbutiant organisé par une poignée de traders, nous sommes aujourd’hui dans un marché concurrentiel et mature.
D’une part le nombre de fournisseurs (émetteurs et brokers) en produits structurés sur le marché français est largement suffisant pour que le jeu de la concurrence profite à l’épargnant, et d’autre part la règlementation depuis 2010, a assaini le marché en contraignant notamment la complexité des produits.
Les produits structurés ont aussi bénéficié d’un désamour des épargnants pour certains autres actifs.
Ainsi, les fonds diversifiés qui étaient les stars des années 2010 ont fini par décevoir. En effet, les fonds euro offraient jusqu’à une période récente des rendements qui ne justifiaient plus toujours de représenter une part significative du patrimoine. De plus, l’immobilier, qui traverse une période de turbulence, entraîne une baisse des VL et l’illiquidité des produits.
Les produits structurés ont ainsi progressivement gagné des parts de marché significatives dans les allocations d’actifs des épargnants. La conviction profonde de Zenith Capital est que ces produits demeureront des briques essentielles des allocations d’actifs construites par les professionnels du patrimoine pour leurs clients.
Les Sociétés Civiles de Placement Immobilier (SCPI) constituent une solution d’investissement pour profiter des opportunités du marché immobilier tout en étant un véhicule particulièrement agile et adapté à chaque stratégie patrimoniale. Depuis quelques mois, un mouvement stratégique s’est affirmé en matière de SCPI : la diversification géographique à l’échelle européenne. En 2025, cette tendance s’impose.
Les investissements immobiliers ont subi en 2024, le contrecoup de la hausse des taux de 2022. Les entreprises du secteur immobilier cotées en bourse ont connu des ajustements de cours dès 2022. Ces entreprises sont en quelque sorte des indicateurs avancés des évolutions à venir. Où en sont-elles aujourd’hui ?
La fiscalité applicable aux revenus fonciers perçus sur des biens immobiliers loués a historiquement connu une augmentation progressive, notamment lorsque ces biens sont détenus par des personnes physiques résidentes fiscales en France.
Plus de 61 % de nos compatriotes détiennent des actifs immobiliers qui constituent 55 % de leur patrimoine moyen. Ces investissements dans la pierre revêtent différentes formes et affectations : résidence principale ou secondaire, investissement locatif d’habitation ou commercial, en direct ou via des sociétés, physiques ou incorporelles (SCPI, OPCI, etc.). Les Français s’interrogent donc fort logiquement de l’évolution de la valeur de la pierre.
L'année 2024 a une nouvelle fois confirmé la puissance de l'immobilier de luxe comme actif patrimonial d'exception. Parmi les opérations les plus emblématiques, on retient la vente d'un penthouse à New York dans le quartier de Central Park South à plus de 150 millions de dollars, la cession d'une villa contemporaine à Saint-Jean-Cap-Ferrat pour 75 millions d'euros, ou encore l'acquisition d'un hôtel particulier haussmannien à Paris rive droite à près de 50 millions d'euros. Ces transactions, au-delà de leur dimension spectaculaire, traduisent une dynamique structurelle : l'immobilier de luxe demeure une valeur sûre, plébiscitée par une clientèle mondiale en quête de sécurité, de prestige et de pérennité.
Les développements des outils d’intelligence artificielle et la généralisation des activités de gestion de vos portefeuilles financiers en ligne conduisent à une augmentation de la fréquence et de la sophistication des tentatives de fraudes. Nous vous rappelons quelques bonnes pratiques pour continuer à bénéficier des avantages de la digitalisation des activités financières tout en réduisant les risques d’attaques.