Investir dans l’économie réelle
La loi PACTE (Plan d’Action pour la Croissance et la Transformation des Entreprises) adoptée en 2019 par le gouvernement a pour objectif de soutenir le développement des TPE (très petites entreprises) et PME (petites et moyennes entreprises) en dynamisant notamment leur financement via l’investissement privé.
Qu’est-ce que l’économie réelle ?
Qu’est-ce que l’économie réelle ?
L’expression « économie réelle » désigne les activités économiques dédiées à la production de biens et de services par opposition à la sphère financière qui englobe l’ensemble des échanges de titres aujourd’hui dématérialisés comme les marchés monétaires, obligataires ou les bourses des valeurs. Dans l’économie réelle, l’argent est transformé en quelque chose de concret, que ce soit des marchandises, des services ou des salaires.
Comment investir dans l’économie réelle ?
Investir dans l’immobilier avec les SCPI
Les sociétés civiles de placement immobiliers sont un produit d'épargne permettant d'investir dans l'immobilier de bureau, de santé ou encore dans les commerces. De cette façon, il est possible de participer activement à l'économie réelle. Contrairement à l'achat d'un appartement, l’investissement en SCPI consiste à devenir propriétaire d’une fraction d'un parc immobilier pouvant comporter des centaines d'immeubles et de locataires. Tous les trimestres, l'épargnant perçoit des loyers nets de charges sur son compte bancaire et n'a pas à se soucier de la gestion locative, assurée par une société de gestion professionnelle.
Investir dans les PME cotées avec le PEA-PME
Le PEA PME est un compte-titres qui a pour objectif l’accompagnement du financement des ETI et PME. Il peut être ouvert par tout contribuable fiscal en France. Chaque contribuable ne peut détenir qu’un seul PEA PME, mais peut cumuler son ouverture avec celle d’un PEA classique. Le plafond du PEA PME est désormais de 225 000 euros.
Soutenir le financement des PME avec le Private Equity
LePrivate Equity, ou capital-investissement, consiste à investir dans le capital de sociétés non cotées à différents stades de leur développement. L’objectif du private equity est d’accompagner financièrement et stratégiquement une société afin de dégager une plus-value au moment de sa cession, quelques années plus tard. Longtemps réservé aux institutionnels, le private equity séduit de plus en plus les particuliers. Il faut néanmoins disposer d’un horizon de placement suffisamment long pour en tirer pleinement profit.
Une autre façon d’investir : la finance participative
Il est également possible d’investir via un financement participatif. Il faut distinguer le crowdfunding qui vous permet d’investir dans une entreprise sous forme de prise de participation au capital et le crowdlending qui vous permet de prêter de l’argent à une société. Attention néanmoins, comme vous prêtez de l’argent en direct, il est plus difficile de diversifier vos investissements contrairement à un placement réalisé dans un fonds qui investit lui-même dans plusieurs sociétés.
La réussite d’une entreprise repose nécessairement sur un ensemble de facteurs économiques et conjoncturels, qui ne suffisent pas à eux seuls à assurer le développement de la société. Le dénominateur commun à la croissance d’une entreprise est par essence l’Humain, et plus particulièrement les « hommes-clés » que l’on retrouve derrière chaque projet entrepreneurial.
Avec une dette publique dépassant 115 % du PIB et un déficit persistant de 5,4 %, la France traverse une zone de turbulences sans précédent.
Le projet de loi de finances pour 2026, tel que présenté en Conseil des Ministres le 14 octobre 2025 envisage d’instaurer de nouvelles impositions et la suppression ou modification de certaines mesures fiscales.
En France, près de 37 000 transmissions ont été enregistrées en 2024 et la vague de départs à la retraite des dirigeants va se renforcer : sur la décennie à venir, environ 500 000 entreprises vont être transmises. La préparation de cette transmission est le gage de la pérennité de l’entreprise.
Créer une entreprise, la faire grandir, la céder ou la transmettre : derrière ces mots se cache une aventure humaine et économique, jalonnée de choix déterminants. À chaque étape, le dirigeant se retrouve face à des décisions qui engagent son avenir, celui de son entreprise et de sa famille. Et dans ce parcours, une certitude s’impose : l’accompagnement n’est pas une option, mais un levier de réussite.
Il y a des idées qui reviennent régulièrement dans le débat public, portées par la promesse d’une « justice fiscale » et d’un monde meilleur. La taxe Zucman, impôt plancher sur la fortune (IPF) de 2 % sur les patrimoines supérieurs à 100 millions d’euros, en est l’exemple parfait. Mais, derrière la façade a priori séduisante de la lutte contre les inégalités, cette mesure relève surtout d’une démagogie fiscale qui ignore la réalité économique, juridique et même… mathématique.