À compter du 1ᵉʳ janvier 2025, la loi Pinel sera officiellement supprimée, mettant fin à une période de défiscalisation immobilière sous le dispositif éponyme qui aura duré une dizaine d'années. Pour rappel, cette loi n'est pas rétroactive : seuls les investissements éligibles réalisés jusqu'au 31 décembre 2024 continueront de bénéficier des avantages fiscaux du dispositif Pinel jusqu'à leur terme. Aucun dispositif de remplacement n'est prévu ce jour, marquant en ce sens une rupture avec les politiques immobilières mises en œuvre depuis la loi Méhaignerie du 23 décembre 1986.
Aussi, nous vous proposons de découvrir un dispositif alternatif "La Loi Malraux" afin de préparer l'après Pinel et envisager des stratégies d'investissements alternatifs dans l'immobilier ancien. Ce dispositif s'impose, en effet, comme une option alternative pour investir dans l'immobilier ancien et bénéficier d'une réduction d'impôt substantielle.
Entrée en vigueur en 1962, la loi Malraux a été mise en place par le ministre de la Culture de l'époque, André Malraux, afin de favoriser la réhabilitation des centres historiques de villes.
Le dispositif Malraux incite les investisseurs privés à contribuer à la restauration du Patrimoine National grâce à une réduction d'impôt de 30 % ou 22 % (selon la localisation de l'actif) du montant des travaux plafonné à 400 000 € pour une période de quatre années consécutives.
Le dispositif Malraux permet à la fois de réaliser un investissement patrimonial, qui génère une réduction d'impôt, et de contribuer à la sauvegarde du patrimoine français.
L’investissement en loi Malraux est préconisé pour les contribuables qui sont fortement imposés (TMI de 30 % ou plus et/ou avec des revenus exceptionnels), avec une résidence fiscale en France et qui souhaitent agir sur leur fiscalité (impôt sur le Revenu) tout en réalisant un investissement patrimonial.
Le dispositif Malraux VIR offre plusieurs avantages aux investisseurs :
Zenith Global Solutions vous invite à une visioconférence le mercredi 11 septembre 2024 à 10h pour évoquer la fin du dispositif Pinel et envisager les stratégies d’investissements alternatives dans l’immobilier ancien Malraux.
À l’heure où les ETF séduisent de plus en plus d’investisseurs, la question mérite d’être posée. Entre promesse de performance, coûts réduits et vrais enjeux de diversification, faisons le point sur deux approches qui façonnent le paysage financier d’aujourd’hui.
Dans un contexte où les épargnants français recherchent du sens et de la rentabilité pour leur patrimoine, une opportunité se distingue : la dette privée. En effet, cette classe d’actifs permet de financer directement les entreprises tout en générant des revenus réguliers et attractifs. À mi-chemin entre rendement, diversification et utilité économique, elle s’impose comme un trait d’union puissant entre les besoins de financement de l’économie réelle et les objectifs patrimoniaux des investisseurs.
Au 1er trimestre 2025, le taux d’épargne des Français s’est établi à 19,1 % du revenu disponible, ce qui correspond à plus de 1 000 milliards d’euros, un record historique. Le patrimoine financier des ménages atteint désormais 6 500 milliards d’euros affectés pour les deux tiers, à parité, en dépôts ou livrets réglementés et en assurance-vie.
Cette affirmation attribuée au père de la physique moderne, Albert Einstein, souligne l’idée que la connaissance, aussi rigoureuse soit-elle, devient stérile si elle n’est pas accueillie dans un climat de confiance mutuelle.
Dans un monde patrimonial en mutation, le Family Office s’impose comme un acteur central pour accompagner les grandes fortunes dans la gestion stratégique et durable de leur patrimoine. Ce chef d’orchestre discret mais décisif aide les familles à conjuguer pérennité, diversification et vision à long terme.
Investir en Bourse peut sembler complexe, mais certaines stratégies rendent l’expérience plus accessible et lisible. Le mandat Action Europe Dividendes, géré par Zenith Asset Management*, en est un bon exemple : il mise sur la solidité des grandes entreprises européennes et leur capacité à verser des dividendes réguliers.