Nous sommes aujourd’hui dans l’incapacité de lutter seuls contre le réchauffement de la planète. Pour atteindre des émissions nettes nulles, deux solutions s’offrent donc à l’Europe :
La première démarche, nécessaire mais insuffisante, consiste à diminuer notre consommation d’énergie en développant des technologies sobres en énergie, ou plus fondamentalement en modifiant notre comportement. Des exemples concrets sont déjà planifiés, comme la fin des véhicules thermiques en 2040 ou l’amélioration de l’efficacité énergétique des bâtiments.
La deuxième démarche, cumulative, passe par la diversification du mix énergétique. À savoir qu’aujourd’hui, la consommation d’énergie primaire en France se répartit ainsi :
Au vu de cette répartition, il y a nécessité de :
Le financement de la transition énergétique est un véritable défi. Les investissements publics se doivent d’être complétés par du financement privé. Pour illustrer ce propos, la Banque mondiale souhaite adapter ses outils d’analyse afin d’identifier les barrières existantes au développement du financement privé, pour inciter les États à réaliser les réformes nécessaires en ce sens.
Ainsi, aux côtés des organismes publics (banques publiques, territoriales, collectivités…), agences nationales et régionales, observatoires, réseaux et fédérations, se positionneront de plus en plus comme acteurs de financement alternatif, les plateformes de financement participatif, les fonds de dette privée ou de Private Equity.
Ces derniers étant très créatifs dans l’élaboration de solutions d’investissement, l’offre à destination de la clientèle privée en quête de sens a de beaux jours devant elle !
Plus de de 40% des ménages français détiennent un contrat d’assurance-vie dont le principe repose sur la capitalisation des produits générés par les actifs logés au sein de ce véhicule. Les gains constatés au fil du temps étant automatiquement réinvestis dans le contrat, le capital de base augmente du fait de sa valorisation et de celle des intérêts acquis, à leurs tours productifs d’intérêts.
Véhicule d’investissement privilégié de nos compatriotes pour sa souplesse de fonctionnement et de transmission patrimoniale, l’assurance-vie repose sur le principe juridique de la stipulation pour autrui codifié à l’article 1205 du Code Civil.
Lors du dénouement du contrat d’assurance-vie à raison du décès du souscripteur assuré, les capitaux versés au profit des bénéficiaires désignés échappent à la masse successorale, ce qui permet d’éviter l’application des droits de succession, à l’exception des primes versées après 70 ans, qui sont soumises à un régime fiscal distinct.
Tout d’abord, il est important de rappeler la pertinence de l’utilisation de la dette privée en termes de complémentarité avec la poche désormais plus connue des investisseurs privés qu’est le Private Equity. Pour autant, derrière la simple terminologie de « dette privée » se cache un grand nombre de types de dettes aux profils, rendement et risques différents (Senior Loans de 1er rang en direct lending, parrallel lending, dette unitranche, dette mezzanine, avec ou sans sponsor ie fonds de Private Equity etc etc …).
La motion de censure déposée par le parti NFP a été votée à la majorité absolue de l’Assemblée Nationale (> 289 députés) ce mercredi 4 décembre.
L'inflation en Europe étant revenue à des niveaux acceptables, 1,8 % en rythme annuel en septembre 2024, et devant faire face à une croissance faible, la Banque Centrale Européenne a initié un mouvement de baisse des taux d'intérêt à court terme, ces derniers passant de 4 % il y a 1 an à 2,5 % aujourd'hui, et qui va certainement se poursuivre en 2025. Cette réduction des taux courts impactera possiblement les taux fixes proposés pour les crédits par les établissements bancaires.