Nous sommes aujourd’hui dans l’incapacité de lutter seuls contre le réchauffement de la planète. Pour atteindre des émissions nettes nulles, deux solutions s’offrent donc à l’Europe :
La première démarche, nécessaire mais insuffisante, consiste à diminuer notre consommation d’énergie en développant des technologies sobres en énergie, ou plus fondamentalement en modifiant notre comportement. Des exemples concrets sont déjà planifiés, comme la fin des véhicules thermiques en 2040 ou l’amélioration de l’efficacité énergétique des bâtiments.
La deuxième démarche, cumulative, passe par la diversification du mix énergétique. À savoir qu’aujourd’hui, la consommation d’énergie primaire en France se répartit ainsi :
Au vu de cette répartition, il y a nécessité de :
Le financement de la transition énergétique est un véritable défi. Les investissements publics se doivent d’être complétés par du financement privé. Pour illustrer ce propos, la Banque mondiale souhaite adapter ses outils d’analyse afin d’identifier les barrières existantes au développement du financement privé, pour inciter les États à réaliser les réformes nécessaires en ce sens.
Ainsi, aux côtés des organismes publics (banques publiques, territoriales, collectivités…), agences nationales et régionales, observatoires, réseaux et fédérations, se positionneront de plus en plus comme acteurs de financement alternatif, les plateformes de financement participatif, les fonds de dette privée ou de Private Equity.
Ces derniers étant très créatifs dans l’élaboration de solutions d’investissement, l’offre à destination de la clientèle privée en quête de sens a de beaux jours devant elle !
En France, la quasi-totalité des régimes obligatoires de retraite (de base et complémentaires) repose sur un système par répartition, dans lequel les cotisations des actifs financent directement les pensions versées aux retraités. La solidarité intergénérationnelle est le pilier du financement de nos retraites : la génération active cotise aujourd’hui pour financer les pensionnés, en s’appuyant sur le principe d’un contrat social où, demain, nos propres enfants feront de même.
Dans le cadre de la préparation à la retraite, il est essentiel de bien choisir les produits d'épargne qui permettront de constituer un capital pour l’avenir. Parmi les options populaires en France, le Plan d'Épargne Retraite (PER) individuel et l'assurance-vie se distinguent comme des solutions privilégiées. Bien que ces deux instruments d’épargne aient pour objectif de préparer l’avenir financier, leurs caractéristiques, leurs avantages et leurs modes de fonctionnement diffèrent sensiblement.
Les véhicules d’investissement à long terme bénéficient en France d’une fiscalité avantageuse visant à encourager l’épargne et l’investissement sur une durée étendue. Ces différents véhicules, à savoir le Plan d’Épargne Retraite (PER), les contrats d’assurance-vie et de capitalisation ainsi que les Plan d’Épargne en Actions (PEA), présentent un intérêt indéniable à capitaliser pour constituer à long terme des revenus complémentaires. À ce titre, chaque enveloppe dispose d’un cadre fiscal spécifique et distinct.
Les Sociétés Civiles de Placement Immobilier (SCPI) constituent une solution d’investissement pour profiter des opportunités du marché immobilier tout en étant un véhicule particulièrement agile et adapté à chaque stratégie patrimoniale. Depuis quelques mois, un mouvement stratégique s’est affirmé en matière de SCPI : la diversification géographique à l’échelle européenne. En 2025, cette tendance s’impose.
Les investissements immobiliers ont subi en 2024, le contrecoup de la hausse des taux de 2022. Les entreprises du secteur immobilier cotées en bourse ont connu des ajustements de cours dès 2022. Ces entreprises sont en quelque sorte des indicateurs avancés des évolutions à venir. Où en sont-elles aujourd’hui ?
La fiscalité applicable aux revenus fonciers perçus sur des biens immobiliers loués a historiquement connu une augmentation progressive, notamment lorsque ces biens sont détenus par des personnes physiques résidentes fiscales en France.