L’inflation en zone euro continue de baisser pour atteindre à 2.9% sur les 12 derniers mois en octobre. Le précédent chiffre était de 4.3% en septembre.
L’amélioration est notable. Elle provient en grande partie d’un effet de base sur les prix de l’énergie. Hors énergie et alimentation, les chiffres sont moins élogieux (+4.2% contre 4.5%) mais confirment le scénario central attendu par les intervenants de marché.
Aux Etats-Unis, la tendance est identique. Les banquiers centraux en tiennent compte et observent une pause dans leur processus de relèvement des taux comme l’a confirmé Jerome Powell le 1er novembre.
La bonne tenue cet été des indicateurs économiques aux Etats-Unis avait mis le feu aux poudres des marchés obligataires et actions, propulsant les taux 10 ans US sur les 5% et infligeant des baisses conséquentes sur les marchés actions (-7% pour l’indice MSCI World).
Les dernières statistiques montrent cependant des signes de ralentissement. Les ISM Services se sont repliés aux US pour le mois d’octobre, en zone euro la croissance du PIB pour le troisième trimestre est ressorti à -0.1%.
Le statu quo de la FED, la baisse de l’inflation et le ralentissement économique ont été interprétés comme un signal positif pour tous les actifs sensibles aux taux d’intérêt.
En quelques séances, les prix des obligations ont repris plus de 2.5% (Indice FTSE Obligations d’Etat Zone Euro) et les actions (Indice Euro Stoxx 50) presque 5%.
Une hirondelle ne fait pas le printemps, la pause des banques centrales n’annonce pas pour autant des baisses de taux mais les niveaux de taux obligataires atteints ces derniers mois pourraient marquer la limite haute.
Source : Zenith AM
Crédit images : Gettyimages
Achevé de rédiger par Guillaume Brusson le 03/11/2023
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