L’immobilier est un actif populaire auprès des investisseurs en raison de sa stabilité et de sa capacité à générer des revenus réguliers. Cependant, investir directement dans l’immobilier peut être coûteux et contraignant en matière de gestion. Les contrats d’assurance-vie peuvent offrir une solution intéressante pour investir dans l’immobilier tout en limitant certaines contraintes et risques.
Plusieurs options permettent de s’exposer à l’immobilier au sein des contrats d’assurance-vie et ainsi de bénéficier des avantages de cette classe d’actif, tout en limitant les risques grâce à la diversification du portefeuille et en optimisant parfois l’impact fiscal de ces revenus.
Investir dans des contrats d’assurance-vie dédiés à l’immobilier :
Une attention particulière devra être portée sur le choix de ces supports car ils ont des caractéristiques différentes et ne sont pas toujours accessibles dans tous les contrats. En effet les compagnies d’assurance définissent les supports accessibles au sein de leur contrat. Un conseiller en gestion de patrimoine pourra donc vous guider dans le choix des supports éligibles ou à l’inverse dans l’ouverture du contrat qui vous donner accès au support choisi.
Elles offrent la possibilité d’acquérir des parts dans une société qui détient un portefeuille de biens immobiliers tels que des immeubles de bureaux, des actifs de santés, des commerces ou des logements. Les détenteurs de parts perçoivent ainsi une partie des loyers perçus par la SCPI en fonction de leur investissement tout en bénéficiant d’une mutualisation des risques grâce à la diversification des portefeuilles détenus par les SCPI (parfois plusieurs milliards de capitalisation). Les SCPI offrent une rentabilité intéressante, avec des rendements annuels pouvant atteindre entre 4 et 6% en moyenne.
Investir dans des SCPI à travers un contrat d’assurance-vie présente :
En somme, les contrats d’assurance-vie peuvent offrir une solution intéressante pour investir dans l’immobilier de manière simple et efficace. Les options disponibles offrent une grande flexibilité, permettant aux investisseurs de choisir la solution la mieux adaptée à leurs besoins. Toutefois, il est important de bien comprendre les caractéristiques de chaque option et de faire appel à un conseiller en gestion de patrimoine pour vous aider à prendre les meilleures décisions en matière d’investissement.
Plus de de 40% des ménages français détiennent un contrat d’assurance-vie dont le principe repose sur la capitalisation des produits générés par les actifs logés au sein de ce véhicule. Les gains constatés au fil du temps étant automatiquement réinvestis dans le contrat, le capital de base augmente du fait de sa valorisation et de celle des intérêts acquis, à leurs tours productifs d’intérêts.
Véhicule d’investissement privilégié de nos compatriotes pour sa souplesse de fonctionnement et de transmission patrimoniale, l’assurance-vie repose sur le principe juridique de la stipulation pour autrui codifié à l’article 1205 du Code Civil.
Lors du dénouement du contrat d’assurance-vie à raison du décès du souscripteur assuré, les capitaux versés au profit des bénéficiaires désignés échappent à la masse successorale, ce qui permet d’éviter l’application des droits de succession, à l’exception des primes versées après 70 ans, qui sont soumises à un régime fiscal distinct.
Tout d’abord, il est important de rappeler la pertinence de l’utilisation de la dette privée en termes de complémentarité avec la poche désormais plus connue des investisseurs privés qu’est le Private Equity. Pour autant, derrière la simple terminologie de « dette privée » se cache un grand nombre de types de dettes aux profils, rendement et risques différents (Senior Loans de 1er rang en direct lending, parrallel lending, dette unitranche, dette mezzanine, avec ou sans sponsor ie fonds de Private Equity etc etc …).
La motion de censure déposée par le parti NFP a été votée à la majorité absolue de l’Assemblée Nationale (> 289 députés) ce mercredi 4 décembre.