Tout au long de la dernière décennie s’est observée une montée en puissance des actifs privés au sein des allocations. D’abord apanage des institutionnels et des familles fortunées, la clientèle privée contribue depuis peu à la croissance de ce marché, en quête de rendement et las de la volatilité des actifs côtés.
Besoin politique d’ouvrir ces marchés, évolution du mode de financement des entreprises et des opérations de haut de bilan, explosion des plateformes acheminant de grandes quantités de capital dans les fonds d’investissement les plus connus, et évidemment beaucoup de pédagogie de la part des conseillers pour que les particuliers acceptent de rendre une partie de leur patrimoine financier illiquide. Autant de facteurs qui participent à ce changement.
Néanmoins, du travail sera encore nécessaire pour une bonne appréhension des différents sous-jacents, de leurs risques ainsi que des structures d’investissement ! Un accompagnement pointu devient essentiel face aux valorisations élevées, aux promesses de TRI enivrantes et à une multiplicité de l’offre aux coûts de structure parfois équivoques.
En effet, les marchés privés constituent une classe d’actif très vaste répondant aux besoins de financement des entreprises : Private Equity, dette privée ; et parfois d’actifs réels : infrastructures, immobilier, asset finance…
L’investisseur privé – accompagné de son conseiller – doit prendre en compte de nombreux paramètres dans la construction de sa stratégie d’investissement correspondant à ses besoins :
En France, la quasi-totalité des régimes obligatoires de retraite (de base et complémentaires) repose sur un système par répartition, dans lequel les cotisations des actifs financent directement les pensions versées aux retraités. La solidarité intergénérationnelle est le pilier du financement de nos retraites : la génération active cotise aujourd’hui pour financer les pensionnés, en s’appuyant sur le principe d’un contrat social où, demain, nos propres enfants feront de même.
Dans le cadre de la préparation à la retraite, il est essentiel de bien choisir les produits d'épargne qui permettront de constituer un capital pour l’avenir. Parmi les options populaires en France, le Plan d'Épargne Retraite (PER) individuel et l'assurance-vie se distinguent comme des solutions privilégiées. Bien que ces deux instruments d’épargne aient pour objectif de préparer l’avenir financier, leurs caractéristiques, leurs avantages et leurs modes de fonctionnement diffèrent sensiblement.
Les véhicules d’investissement à long terme bénéficient en France d’une fiscalité avantageuse visant à encourager l’épargne et l’investissement sur une durée étendue. Ces différents véhicules, à savoir le Plan d’Épargne Retraite (PER), les contrats d’assurance-vie et de capitalisation ainsi que les Plan d’Épargne en Actions (PEA), présentent un intérêt indéniable à capitaliser pour constituer à long terme des revenus complémentaires. À ce titre, chaque enveloppe dispose d’un cadre fiscal spécifique et distinct.
Les Sociétés Civiles de Placement Immobilier (SCPI) constituent une solution d’investissement pour profiter des opportunités du marché immobilier tout en étant un véhicule particulièrement agile et adapté à chaque stratégie patrimoniale. Depuis quelques mois, un mouvement stratégique s’est affirmé en matière de SCPI : la diversification géographique à l’échelle européenne. En 2025, cette tendance s’impose.
Les investissements immobiliers ont subi en 2024, le contrecoup de la hausse des taux de 2022. Les entreprises du secteur immobilier cotées en bourse ont connu des ajustements de cours dès 2022. Ces entreprises sont en quelque sorte des indicateurs avancés des évolutions à venir. Où en sont-elles aujourd’hui ?
La fiscalité applicable aux revenus fonciers perçus sur des biens immobiliers loués a historiquement connu une augmentation progressive, notamment lorsque ces biens sont détenus par des personnes physiques résidentes fiscales en France.