Il existe une multitude de supports d’investissement disponibles au sein des contrats d’assurance-vie. Toutes les classes d’actifs y sont représentées : fonds cotés, immobilier, produits structurés, Private Equity, et composeront l’allocation du souscripteur en fonction de ses objectifs et de son profil de risque.
Néanmoins, la sélection des supports nécessitera bien souvent un suivi actif dans le temps, pour adapter son allocation à la conjoncture fluctuante. Ainsi, plusieurs modes de gestion s’offrent au souscripteur :
Comme son nom l’indique, le souscripteur ayant opté pour la gestion libre gère son contrat comme bon lui semble. Il sélectionnera les supports d’investissement lors du versement de la prime initiale ou de versements complémentaires et procèdera à des arbitrages dans l’objectif d’adapter l’allocation à la conjoncture ou de répondre à de nouveaux objectifs.
Du temps et des compétences seront nécessaires pour une gestion pérenne dans le temps. D’autant plus que certains supports sont très volatils, comme certains fonds d’actions cotées sectoriels par exemple.
Ce mode de gestion consiste à déléguer la gestion de ses actifs à un professionnel.
Plusieurs degrés de délégation existent :
La gestion sous mandat permet donc de bénéficier d’un suivi actif dans le temps et d’adapter l’allocation en fonction des fluctuations de marché. Les objectifs et le risque toléré seront définis lors de la mise en place de la délégation. En contrepartie de ce suivi actif, la gestion sous mandat est facturée au souscripteur comme un service additionnel.
Tout comme la gestion sous mandat, les objectifs et le profil de risque seront déterminés auprès d’un gestionnaire professionnel. Ce dernier préconisera des recommandations adaptées à l’investisseur qui conservera le contrôle sur les supports d’investissement.
Il s’agit donc d’un mode de gestion intermédiaire, adapté aux épargnants souhaitant s’impliquer avec l’appui d’un professionnel.
En fonction des attentes et des besoins de l’épargnant, la possibilité de confier son capital à un professionnel de la gestion d’actifs, à travers son conseiller en gestion de patrimoine, peut donc être la voie à privilégier, surtout lorsque les épargnants ne sont pas aguerris.
Le démarrage du mois d’août nous inflige une baisse de 8 % des actions internationales entre le 2 et le 5 août, et les mouvements erratiques depuis propulsent la volatilité à la hausse (>30). Si nous comprenons certaines inquiétudes, ces mouvements ne remettent pas en cause notre scénario central de désinflation progressive et de ralentissement mesuré de la croissance américaine, ni les stratégies que nous y avons associées.
À l’instar de chaque année, la loi de finances votée en fin d’année, dite loi de finances initiale (LFI), impacte la taxation des revenus de l’année. La loi de finances rectificative (LFR) ou collectif budgétaire est la seule loi susceptible de modifier en cours d'année, de manière significative, les dispositions de la loi de finances initiale (LFI), concernant notamment les autres impôts que ceux frappant les revenus.
Les chefs-d’œuvre ont une vie propre, ils participent de cette vie mystérieuse, qui réfléchit le mystère et la dignité de l’homme, sa liberté, sa capacité à tendre vers ce qui lui semble le meilleur… la beauté.
Derrière l’appellation « investissements alternatifs », se cache en réalité l’ensemble des classes d’actifs non traditionnelles. Et se retrouvent tout naturellement dans la plupart des allocations d’actifs, puisque prisés pour la diversification qu’ils apportent au sein de l’allocation et pour la complémentarité face aux investissements traditionnels.
Face à la quête croissante de diversification de leurs investissements pour faire fructifier leur patrimoine, les investisseurs s'orientent de plus en plus vers des solutions alternatives aux placements traditionnels. Au-delà des actifs immobiliers classiques, des opportunités d'investissement atypiques et différenciantes émergent, offrant aux détenteurs de liquidités des perspectives de rendement intéressantes.
Si le testament existe depuis la Grèce antique, le mandat de protection future et le mandat à effet posthume sont deux outils juridiques modernes introduits en 2007 dans le Code civil français. Leur usage permet d’anticiper des situations de vulnérabilité ou de préparer ce qu’il adviendra de son patrimoine.