Exercer une activité en tant que « professionnel libéral » comporte des risques, tels que l’incapacité de travail, l'invalidité ou même le décès. Il est donc nécessaire pour le professionnel de mettre en place une prévoyance adaptée et de se constituer un revenu futur tout en défiscalisant.
Prenons pour un exemple un cas pratique, afin de mettre en évidence les solutions envisageables.
Une approche civile et économique sont nécessaires pour découvrir le client et appréhender ses besoins.
> Monsieur Antoine est un chirurgien-dentiste de 45 ans, marié et père de deux enfants
Approche économique
> Son activité représente un BNC de 240 000 €
Premièrement, le docteur Antoine étant en bonne santé, il est assurable (il est nécessaire de prendre en compte le critère de l’assurabilité), il peut donc assurer les flux nécessaires au quotidien familial et peut également développer son patrimoine et son épargne, pour anticiper les revenus futurs lors de sa retraite.
Deuxièmement, Monsieur Antoine est également imposé à l’IR (Impôt sur le Revenu) et à l’IFI (Impôt sur la Fortune Immobilière).
Cela aura donc des conséquences fiscales en cas de décès, il faut ainsi anticiper pour les enfants le financement des droits de succession et autres besoins. À noter que son activité, exercée en tant que professionnel libéral, comporte trois risques :
Conséquences en cas d’incapacité et d’invalidité :
Conséquences en cas de décès :
Périmètre Prévoyance
Mise en place d’un contrat de prévoyance adapté prévoyant :
Périmètre Retraite
Mise en place d’un contrat de retraite assurantiel adapté prévoyant :
Solution prévoyance proposée :
Souscription d’un contrat 5,5 PASS PPL (Plan Profession Libérale) GENERALI VIE
Cotisation annuelle = environ 6 800 €
>Disponible fiscal retraite Madelin : 53 000 €
Solution retraite proposée :
Souscription d’un contrat R20 GENERALI VIE, frais 2,95 %
Engagement de versement annuel : 53 000 € MIBITIE
Monsieur et Madame Allen, couple marié et salariés du secteur privé, disposent d’un capital de 350 000 € issu de leur épargne et de deux successions. Fortement imposés (TMI 41 %), ils souhaitent aujourd’hui structurer leur patrimoine afin de réduire leur pression fiscale, générer des revenus complémentaires et organiser la transmission au profit de leur fils.
Les dirigeants d’entreprise sont, pour la plupart, exposés à une diminution importante de leur niveau de vie au moment de leur départ à la retraite. En effet, leur statut ne leur permet pas de prétendre à des pensions de retraite aussi élevées que les revenus qu'ils perçoivent lorsqu'ils sont en activité. Ainsi, une question s’impose aujourd’hui à eux : comment sécuriser leur niveau de vie à la retraite ? Ce constat nécessite une réflexion approfondie pour anticiper l’équilibre futur de ces revenus appelés à diminuer.
La France est l’un des pays qui dispose du plus grands nombres de dispositifs fiscaux. L’immobilier est l’un des secteurs les plus concernés par ces avantages fiscaux. Avant de choisir un dispositif, il convient de bien comprendre les implications à long terme.
Monsieur Alexandre, 40 ans et Madame Armande, 65 ans, se posent une question revenant régulièrement : « Quelles sont les meilleures stratégies d’investissement pour placer 200 000 € ? ». Leurs objectifs, les contraintes et leurs profils étant différents, pour répondre à cette question, une approche patrimoniale adaptée est nécessaire.
Monsieur et Madame Azur, respectivement âgés de 50 et 51 ans, souhaitent organiser leur patrimoine suite à la cession de leur outil professionnel, afin de créer des revenus complémentaires nécessaires pour couvrir leurs besoins courants et d’optimiser la gestion des capitaux issus de la cession.
Dans les deux cas de figure, il s'agit d'un grand-père veuf, Monsieur Ansel, qui a une fille unique Alma, divorcée et mère d'un seul enfant, Arthur. Par hypothèse, le petit-fils décède après son grand-père et avant sa mère. Afin que le père de cet enfant (qui est héritier en cas de décès) ne reçoive rien au décès de son fils, on optera pour une donation soit graduelle, soit résiduelle.