L’horizon de placement est un élément déterminant dans le choix d’un produit financier. Si vous savez que vous aurez besoin de mobiliser une partie de votre épargne dans six mois, un placement sécurisé et liquide, tel qu'un livret bancaire ou réglementé, est à privilégier. En revanche, si votre horizon de placement est plus éloigné, vous pouvez construire un portefeuille avec des actifs un peu plus risqués offrant des perspectives de rendements supérieurs. Le temps est votre allié, il permet de lisser la prise de risque et ainsi permettre à votre capital de se valoriser.
Mais quels sont les placements les plus rémunérateurs quand on dispose d’un horizon de placement de 15, 30 ans ou même 40 ans ?
C’est la question à laquelle l’Institut de l’Epargne Immobilière et Foncière (IEIF) répond chaque année en comparant le rendement de plusieurs classes d’actifs sur différentes durées de placements.
Il convient également de préciser que cette comparaison ne tient compte que des performances constatées et que chaque classe d’actifs comporte des caractéristiques, des risques et des horizons d’investissement spécifiques.
Quels enseignements tirer du classement établi par l’IEIF ? Tout d’abord, il convient de rappeler que les performances passées ne présagent pas des performances futures. Toutefois, cette analyse menée sur plusieurs décennies permet de souligner l’enchainement des cycles économiques : un investissement peut être performant sur une certaine période, puis être devancé par d’autres quand le contexte réglementaire ou encore l’environnement des taux est modifié.
Pour espérer tirer profit de tous ces scenarios, la diversification est essentielle. À l’heure où les marchés affichent une extrême volatilité et l’environnement économique propose une faible visibilité, cette approche permet d’atténuer les risques propres à chaque investissement et d’optimiser les rendements sur le long terme. La diversification doit se conduire en profondeur, à la fois en variant les actifs (fonds en euros, actions, obligations, immobilier, private equity…), les secteurs et les zones géographiques. Choisir des actifs décorrélés, c’est-à-dire dont les performances ne sont pas influencées les unes par les autres, permet aussi de diminuer le risque global de votre portefeuille.
Créer une entreprise, la faire grandir, la céder ou la transmettre : derrière ces mots se cache une aventure humaine et économique, jalonnée de choix déterminants. À chaque étape, le dirigeant se retrouve face à des décisions qui engagent son avenir, celui de son entreprise et de sa famille. Et dans ce parcours, une certitude s’impose : l’accompagnement n’est pas une option, mais un levier de réussite.
Il y a des idées qui reviennent régulièrement dans le débat public, portées par la promesse d’une « justice fiscale » et d’un monde meilleur. La taxe Zucman, impôt plancher sur la fortune (IPF) de 2 % sur les patrimoines supérieurs à 100 millions d’euros, en est l’exemple parfait. Mais, derrière la façade a priori séduisante de la lutte contre les inégalités, cette mesure relève surtout d’une démagogie fiscale qui ignore la réalité économique, juridique et même… mathématique.
Bien que le mandat de protection future et le mandat à effet posthume aient été introduits il y a plus de quinze ans dans le Code civil français, ces dispositifs continuent d’évoluer. Ainsi, le décret n°2024-1032 a récemment instauré le registre des mandats de protection future, comme le prévoyait déjà la loi de 2015 relative à l’adaptation de la société au vieillissement.
En France, la gestion des produits financiers pour un majeur protégé est encadrée par la loi. L’objectif est de garantir la protection des intérêts de la personne vulnérable tout en assurant une administration adaptée de son patrimoine.
Dans un environnement marqué par l’inflation, la volatilité des marchés financiers et l’évolution constante de la fiscalité, les stratégies d’investissement doivent répondre à une double exigence : préserver le capital déjà constitué et assurer des revenus stables et durables. La clé réside dans une stratégie équilibrée, qui s’appuie sur toutes les classes d’actifs disponibles. Cette diversification n’est pas seulement une opportunité, c’est aussi une obligation pour sécuriser son avenir financier.
À l’heure où les ETF séduisent de plus en plus d’investisseurs, la question mérite d’être posée. Entre promesse de performance, coûts réduits et vrais enjeux de diversification, faisons le point sur deux approches qui façonnent le paysage financier d’aujourd’hui.