Le momentum de ce début d’année est toujours favorable aux actifs risqués, alimenté par les promesses liées au démarrage en fanfare de la nouvelle administration américaine. Les investisseurs sont quelque peu rassurés par le ton de Donald Trump, un peu moins excessif qu’attendu, notamment sur les tarifs douaniers. Cette variation du discours a contribué à faire progresser les actifs européens et chinois. Ainsi, les actions internationales (MSCI World en USD) gagnent 2,10 % sur la semaine.
Les valeurs américaines continuent leur progression (+1,76 % sur le S&P 500 et + 1,55 % sur le Nasdaq, en USD) malgré des statistiques d’activité un peu moins fortes qu’attendues. Le PMI services baisse beaucoup plus (52,8 contre des attentes à 56,4) mais le PMI manufacturier se redresse (50,1 contre des attentes à 49,8). Les investisseurs anticipent un renforcement du soutien de l’administration Trump au secteur manufacturier, ce qui permet d’améliorer le moral des entrepreneurs. Du côté des valeurs technologiques, le Président a annoncé dès le deuxième jour de son mandat la création d’une joint-venture de plusieurs sociétés, comprenant Open AI, Oracle, Softbank, afin de financer le développement des infrastructures de l’IA et d’augmenter la capacité des datacenters. La somme de 500 milliards de dollars sur 4 ans a été évoquée.
Les valeurs européennes se redressent petit à petit et gagnent 1,25 % sur le Stoxx 600. Le rebond le plus spectaculaire vient de la bourse de Paris qui progresse de 2,83 % sur la semaine et de 7,53 % depuis le début de l’année. L’absence de déclarations sur les droits de douanes vis-à-vis de l’Europe, couplée à des chiffres d’activité un peu meilleurs qu’attendus (PMI européen à 50,2 en janvier contre 49,6 en décembre) permettent ce rebond des valeurs du Vieux Continent. De plus, les résultats des entreprises du luxe continuent de surprendre à la hausse et des poids lourds de la cote, comme Novo Nordisk, retrouvent des couleurs à la faveur de bonnes études techniques sur leur médicament anti-obésité. Du côté de Pékin, le soulagement sur l’absence de décisions fortes sur les droits de douanes a permis aux valeurs chinoises de gagner 3% (MSCI China en USD).
Achevé de rédiger le 27/01/2024
Les performances passées ne préjugent pas des performances futures
Plus de de 40% des ménages français détiennent un contrat d’assurance-vie dont le principe repose sur la capitalisation des produits générés par les actifs logés au sein de ce véhicule. Les gains constatés au fil du temps étant automatiquement réinvestis dans le contrat, le capital de base augmente du fait de sa valorisation et de celle des intérêts acquis, à leurs tours productifs d’intérêts.
Véhicule d’investissement privilégié de nos compatriotes pour sa souplesse de fonctionnement et de transmission patrimoniale, l’assurance-vie repose sur le principe juridique de la stipulation pour autrui codifié à l’article 1205 du Code Civil.
Lors du dénouement du contrat d’assurance-vie à raison du décès du souscripteur assuré, les capitaux versés au profit des bénéficiaires désignés échappent à la masse successorale, ce qui permet d’éviter l’application des droits de succession, à l’exception des primes versées après 70 ans, qui sont soumises à un régime fiscal distinct.
Tout d’abord, il est important de rappeler la pertinence de l’utilisation de la dette privée en termes de complémentarité avec la poche désormais plus connue des investisseurs privés qu’est le Private Equity. Pour autant, derrière la simple terminologie de « dette privée » se cache un grand nombre de types de dettes aux profils, rendement et risques différents (Senior Loans de 1er rang en direct lending, parrallel lending, dette unitranche, dette mezzanine, avec ou sans sponsor ie fonds de Private Equity etc etc …).
La motion de censure déposée par le parti NFP a été votée à la majorité absolue de l’Assemblée Nationale (> 289 députés) ce mercredi 4 décembre.