Les tendances des différents marchés immobiliers
Trop souvent, les analyses du marché immobilier ne prennent pas la précaution de distinguer les actifs immobiliers selon leur usage (habitation, professionnel…) ou leur date de construction (neuf, ancien…), et sont réalisées sur des courtes périodes d’un mois ou d’un trimestre. Cela ne permet pas une bonne compréhension de l’évolution de ces marchés, pourtant caractérisés par des cycles et des durées de détention longues.
Il existe au sein du marché immobilier différents segments (immobilier résidentiel ancien et neuf, immobilier d’entreprise : bureau, logistique, commerce…) qui n’ont pas les mêmes réactions et l’évolution de leur prix est différente selon le contexte macro-économique actuel
Immobilier résidentiel ancien
Immobilier résidentiel neuf
Immobilier d’entreprise [3]
L'année 2025 aura confirmé l'entrée dans une ère de "conflictualité économique" généralisée. Les tensions ne se limitent plus aux seuls échanges commerciaux : elles touchent désormais les domaines technologique, énergétique, militaire et monétaire. L'indice de fragmentation géopolitique mondiale, qui avait déjà bondi après l'invasion de l'Ukraine en 2022, continue sa progression, témoignant d'une modification profonde de l'ordre économique international établi depuis les années 1990.
L’impôt sur la fortune dite improductive voté le 31 octobre dernier vise entre autres les fonds garantis des compagnies d’assurance, dits fonds général ou encore fonds en euros. Avec un encours dépassant les 1 300 milliards d’euros (Source ACPR), ils représentent autour de 70 % des montants investis en assurance-vie. Mais sont-ils vraiment improductifs ?
La location meublée non professionnelle (LMNP) s’impose aujourd’hui comme l’un des dispositifs immobiliers les plus prisés par les investisseurs particuliers.
La fulgurante ascension des valeurs technologiques liées à l'intelligence artificielle suscite des comparaisons inquiétantes avec la bulle internet de 2000. Le Nasdaq affiche une progression spectaculaire, portée par les géants de la tech dont les valorisations atteignent des sommets. Pourtant, malgré certaines similitudes, la situation actuelle présente des différences fondamentales qui invitent à la nuance plutôt qu'à la panique.
Pour de nombreux dirigeants et professions libérales, la question n’est plus seulement "comment se constituer une retraite complémentaire", mais comment le faire tout en optimisant la fiscalité de son revenu professionnel.
L’optimisation fiscale est une pratique légale qui consiste à utiliser des dispositifs légaux afin de réduire sa charge fiscale, ce sans contourner l’esprit des lois. Elle s’inscrit dans une stratégie patrimoniale globale et doit être distinguée de l’abus de droit, sanctionné par l’article L64 du Livre des procédures fiscales. L’abus de droit survient lorsque des opérations sont réalisées dans un but principalement fiscal, sans justification économique réelle. Cette frontière est essentielle : optimiser, oui, mais dans le respect non seulement des textes mais de l’esprit qui a présidé à leur rédaction.
