La Prévoyance constitue le socle du développement d’une stratégie patrimoniale durable.
En bâtissant de solides fondations en matière de protection du revenu, de la cellule familiale et de l’outil professionnel, on s’assure des niveaux de sécurité et de sérénité déterminants pour développer ses projets.
Les outils de protection sont nombreux et plutôt méconnus en France. Chaque situation est unique et doit être étudiée avec attention, afin de sélectionner les solutions qui permettront d’apporter le niveau de protection souhaité.
Quel que soit le statut social (travailleur non salarié, salarié, profession libérale), le régime obligatoire peut accorder des prestations en cas d’incapacité temporaire de travail, d’invalidité, d’incapacité permanente ou de décès.Lorsque le risque survient, ces garanties suffisent rarement pour maintenir le niveau de vie de la cellule familiale et protéger ses proches.Il apparait indispensable de bénéficier d’un conseil personnalisé qui permettra d’adapter les niveaux de garanties aux besoins de la famille :
Une attention particulière devra être portée aux critères suivants pour sélectionner le contrat adapté aux besoins du client : barème d’invalidité, cas d’exclusion, franchises…
Souvent couplée aux couvertures Incapacité et Invalidité, cette garantie s’active en cas de décès et entraine le versement d’un capital aux bénéficiaires désignés en franchise de droits de succession.
C’est un outil puissant puisqu’il permettra aux ayants droit de régler les éventuels droits de succession, de compléter leur train de vie ou de financer des projets.
Pour optimiser l’efficacité de cette garantie, le montant des capitaux décès devra être déterminé en ayant l’approche la plus large possible du patrimoine familial et les clauses bénéficiaires devront être rédigées de manière personnalisée.
L’assurance-vie est également un instrument privilégié pour protéger ses proches et pallier les conséquences financières pouvant être occasionnées par un décès, en permettant la transmission d’un capital ou d’une rente à la personne de son choix en dehors de la succession.
Concernant l’assurance-décès, les capitaux transmis sont ceux qui ont été versés sur le contrat, majorés des intérêts.
Les sommes transmises au conjoint ne supportent aucune taxation, quel que soit le montant versé ou l’âge du souscripteur lors du versement des primes.
L’assurance-vie étant dotée d’un formalisme très simple et d’une grande souplesse, le souscripteur garde la maîtrise de ses capitaux et a la possibilité de faire évoluer la clause bénéficiaire en fonction de sa situation.
Réaliser une donation au dernier vivant permet de protéger le conjoint lors de son décès, d’améliorer les droits du conjoint survivant par rapport à ses droits légaux et de déterminer les biens qui composeront la part reçue par le conjoint survivant pour éviter les situations d’indivision avec les autres bénéficiaires de la succession.
Un avantage matrimonial est une clause du contrat de mariage par laquelle les époux se concèdent une part des biens communs plus avantageuse par rapport à leur régime matrimonial. Pour autant, les avantages matrimoniaux ne sont pas assimilés à des donations, ni civilement (en principe pas rapportables et pas réductibles), ni fiscalement (pas taxables).
Si certains s’appliquent uniquement en cas de décès, d’autres peuvent impacter le divorce.
Cet aménagement permet notamment d’augmenter la protection du conjoint survivant.
À titre d’exemple, insérer une clause de préciput permet au conjoint de prélever, avant tout partage, sans indemnité, certains biens communs et d’éviter l’indivision successorale entre le conjoint et les autres héritiers sur les biens concernés.
Le plus souvent, dès lors qu’un des époux exerce une activité en indépendant, un régime matrimonial séparatiste permettra de protéger l’époux des créanciers professionnels.
À l’heure où les ETF séduisent de plus en plus d’investisseurs, la question mérite d’être posée. Entre promesse de performance, coûts réduits et vrais enjeux de diversification, faisons le point sur deux approches qui façonnent le paysage financier d’aujourd’hui.
Dans un contexte où les épargnants français recherchent du sens et de la rentabilité pour leur patrimoine, une opportunité se distingue : la dette privée. En effet, cette classe d’actifs permet de financer directement les entreprises tout en générant des revenus réguliers et attractifs. À mi-chemin entre rendement, diversification et utilité économique, elle s’impose comme un trait d’union puissant entre les besoins de financement de l’économie réelle et les objectifs patrimoniaux des investisseurs.
Au 1er trimestre 2025, le taux d’épargne des Français s’est établi à 19,1 % du revenu disponible, ce qui correspond à plus de 1 000 milliards d’euros, un record historique. Le patrimoine financier des ménages atteint désormais 6 500 milliards d’euros affectés pour les deux tiers, à parité, en dépôts ou livrets réglementés et en assurance-vie.
Cette affirmation attribuée au père de la physique moderne, Albert Einstein, souligne l’idée que la connaissance, aussi rigoureuse soit-elle, devient stérile si elle n’est pas accueillie dans un climat de confiance mutuelle.
Dans un monde patrimonial en mutation, le Family Office s’impose comme un acteur central pour accompagner les grandes fortunes dans la gestion stratégique et durable de leur patrimoine. Ce chef d’orchestre discret mais décisif aide les familles à conjuguer pérennité, diversification et vision à long terme.
Investir en Bourse peut sembler complexe, mais certaines stratégies rendent l’expérience plus accessible et lisible. Le mandat Action Europe Dividendes, géré par Zenith Asset Management*, en est un bon exemple : il mise sur la solidité des grandes entreprises européennes et leur capacité à verser des dividendes réguliers.