Actifs privés : une montée en puissance au sein des allocations
Tout au long de la dernière décennie s’est observée une montée en puissance des actifs privés au sein des allocations.
Terrain de jeu initial des institutionnels et des familles fortunées, la clientèle privée contribue depuis peu à la croissance de ce marché, en quête de rendement et las de la volatilité des actifs côtés. Son besoin d’accompagnement demeure toutefois nécessaire pour une élaborer un programme d’investissement adapté sur le long terme.
À ce titre, découvrez les paramètres qui guident Zenith Investment Solutions dans la sélection de véhicule d’investissements.
1- La diversification
Il est tout d’abord primordial de ne pas concentrer le risque sur des stratégies similaires, d’autant plus que l’inconvénient de cette classe d’actifs est l’illiquidité.
Maître mot dans une allocation d’actifs, la diversification permet de répartir le risque entre différents types d’instruments financiers (equity, preferred stock, structured equity, hybrid notes, credit…), stratégies (seed, growth, buyout… ou encore core/value add pour les actifs réels), et encore sociétés de gestion reconnues pour leurs secteurs/thèses d’investissement de prédilection.
2- La gestion des cash flows
Un programme d’investissement se prépare sur un horizon de temps (très) long ! Minutieusement optimisée, la combinaison des engagements, appels de fonds et distributions des différents véhicules d’investissement aura pour objectif de préserver les multiples espérés.
Bien que contrintuitif pour beaucoup d’investisseurs, certaines stratégies sur les marchés privés s’avèrent redoutables pour générer du revenu ou encore gérer de la trésorerie excédentaire.
3- La conjoncture
La macro apporte quant à elle toujours son lot d’opportunités et les meilleures décisions d’investissement anticipent les grandes tendances. Nous le voyons depuis plusieurs mois avec des stratégies résilientes à l’inflation comme l’investissement dans les infrastructures (énergie, télécoms, transport, infrastructures sociales) et avec de fortes convictions sur les marchés secondaires dans un environnement où l’abondance de liquidités s’est normalisée. Le besoin de cash de certains GPs et LPs leur impose de sortir de certaines positions illiquides au prix d’avantageuses décotes et une excellente visibilité pour les nouveaux investisseurs.
La réalisation d’un programme d’investissement sur le long terme s’avère être le moyen le plus efficace pour générer de la croissance et diminuer le risque d’un portefeuille d’actifs privés.
Les fonds de fonds comme le FCPR Multi Stratégies 2 peuvent répondre à cet objectif avec la facilité pour le souscripteur de bénéficier d’une allocation institutionnelle clef en main, à partir de montants d’investissement pouvant être modestes et pour finir disponibles en assurance vie.
Créer une entreprise, la faire grandir, la céder ou la transmettre : derrière ces mots se cache une aventure humaine et économique, jalonnée de choix déterminants. À chaque étape, le dirigeant se retrouve face à des décisions qui engagent son avenir, celui de son entreprise et de sa famille. Et dans ce parcours, une certitude s’impose : l’accompagnement n’est pas une option, mais un levier de réussite.
Il y a des idées qui reviennent régulièrement dans le débat public, portées par la promesse d’une « justice fiscale » et d’un monde meilleur. La taxe Zucman, impôt plancher sur la fortune (IPF) de 2 % sur les patrimoines supérieurs à 100 millions d’euros, en est l’exemple parfait. Mais, derrière la façade a priori séduisante de la lutte contre les inégalités, cette mesure relève surtout d’une démagogie fiscale qui ignore la réalité économique, juridique et même… mathématique.
Bien que le mandat de protection future et le mandat à effet posthume aient été introduits il y a plus de quinze ans dans le Code civil français, ces dispositifs continuent d’évoluer. Ainsi, le décret n°2024-1032 a récemment instauré le registre des mandats de protection future, comme le prévoyait déjà la loi de 2015 relative à l’adaptation de la société au vieillissement.
En France, la gestion des produits financiers pour un majeur protégé est encadrée par la loi. L’objectif est de garantir la protection des intérêts de la personne vulnérable tout en assurant une administration adaptée de son patrimoine.
Dans un environnement marqué par l’inflation, la volatilité des marchés financiers et l’évolution constante de la fiscalité, les stratégies d’investissement doivent répondre à une double exigence : préserver le capital déjà constitué et assurer des revenus stables et durables. La clé réside dans une stratégie équilibrée, qui s’appuie sur toutes les classes d’actifs disponibles. Cette diversification n’est pas seulement une opportunité, c’est aussi une obligation pour sécuriser son avenir financier.
À l’heure où les ETF séduisent de plus en plus d’investisseurs, la question mérite d’être posée. Entre promesse de performance, coûts réduits et vrais enjeux de diversification, faisons le point sur deux approches qui façonnent le paysage financier d’aujourd’hui.
