Très répandu dans les pays anglo-saxons, le concept de « venture philanthropy » est une approche innovante appliquant la pratique du capital investissement au secteur non-lucratif.En effet, le venture philanthropy a pour objectif d’accompagner des associations ou des fondations en apportant compétences et appui financier. La recherche d’impact social fort suscite évidemment un très grand intérêt, mais le travail de pédagogie demeure très important auprès des investisseurs français.
Le venture philanthropy nait dans les années 90 aux USA, là où les entrepreneurs de la Silicon Valley s’impliquent socialement, en utilisant les méthodes du capital investissement et du capital risque (venture capital). La sélection des bénéficiaires drastique suit des process de due diligence approfondis. L’accompagnement est quant à lui global tant sur l’aspect financier qu’extra financier. Le point d’orgue porte sur l’évaluation permanente de l’impact social grâce à la mise en place d’outils de suivi.
Les montants alloués aux États-Unis étant conséquents, cela laisse espérer un bel avenir aux fonds de venture philanthropy européens dans lesquels les investisseurs particuliers peuvent s’engager.
Les investisseurs disposent par le biais de philanthropy funds d’une nouvelle arme dans leur allocation d’actifs pour répondre à leur quête de sens. En effet, ces véhicules combinent les avantages financiers du Private Equity, à savoir l’hypothèse de rendements élevés, avec les avantages fiscaux d’une donation à des associations ou des fondations à fort impact social.
Pour rappel : « Les dons au profit d’organismes ayant un caractère philanthropique, éducatif, scientifique, social, humanitaire, sportif, familial ou culturel, ouvrent droit à une réduction d’impôt égale à 66 % du montant des sommes versées, retenues dans la limite d’un plafond égal à 20 % du revenu imposable ».
Parce que selon Horace, « Celui qui joint l’utile à l’agréable recueille tous les suffrages » ; il y a fort à parier que les philanthropy funds séduisent les mieux avisés…
Les Sociétés Civiles de Placement Immobilier (SCPI) constituent une solution d’investissement pour profiter des opportunités du marché immobilier tout en étant un véhicule particulièrement agile et adapté à chaque stratégie patrimoniale. Depuis quelques mois, un mouvement stratégique s’est affirmé en matière de SCPI : la diversification géographique à l’échelle européenne. En 2025, cette tendance s’impose.
Les investissements immobiliers ont subi en 2024, le contrecoup de la hausse des taux de 2022. Les entreprises du secteur immobilier cotées en bourse ont connu des ajustements de cours dès 2022. Ces entreprises sont en quelque sorte des indicateurs avancés des évolutions à venir. Où en sont-elles aujourd’hui ?
La fiscalité applicable aux revenus fonciers perçus sur des biens immobiliers loués a historiquement connu une augmentation progressive, notamment lorsque ces biens sont détenus par des personnes physiques résidentes fiscales en France.
Plus de 61 % de nos compatriotes détiennent des actifs immobiliers qui constituent 55 % de leur patrimoine moyen. Ces investissements dans la pierre revêtent différentes formes et affectations : résidence principale ou secondaire, investissement locatif d’habitation ou commercial, en direct ou via des sociétés, physiques ou incorporelles (SCPI, OPCI, etc.). Les Français s’interrogent donc fort logiquement de l’évolution de la valeur de la pierre.
L'année 2024 a une nouvelle fois confirmé la puissance de l'immobilier de luxe comme actif patrimonial d'exception. Parmi les opérations les plus emblématiques, on retient la vente d'un penthouse à New York dans le quartier de Central Park South à plus de 150 millions de dollars, la cession d'une villa contemporaine à Saint-Jean-Cap-Ferrat pour 75 millions d'euros, ou encore l'acquisition d'un hôtel particulier haussmannien à Paris rive droite à près de 50 millions d'euros. Ces transactions, au-delà de leur dimension spectaculaire, traduisent une dynamique structurelle : l'immobilier de luxe demeure une valeur sûre, plébiscitée par une clientèle mondiale en quête de sécurité, de prestige et de pérennité.
Les développements des outils d’intelligence artificielle et la généralisation des activités de gestion de vos portefeuilles financiers en ligne conduisent à une augmentation de la fréquence et de la sophistication des tentatives de fraudes. Nous vous rappelons quelques bonnes pratiques pour continuer à bénéficier des avantages de la digitalisation des activités financières tout en réduisant les risques d’attaques.