EXPATRIATION : REVENUS FORTS ET RETRAITE FAIBLE, PLUS DURE SERA LA CHUTE !
Ce graphique met en évidence :
- L’écart très significatif de revenu moyen entre les Français résidents en France et les non-résidents (30 000 vs 90 000)
- Le revenu moyen à la retraite des Français non-résidents qui est légèrement inférieur à celui des Français résidents (- 17 %)
- Le taux de remplacement (Revenu à la retraite / Revenu moyen) qui est presque 3 fois inférieur pour les Français non-résidents par rapport aux français résidents.
En conclusion, la nécessité de mettre en place des solutions par capitalisation s’impose pour compléter les revenus des régimes obligatoires. Ce phénomène est amplifié pour les non-résidents, dont les revenus durant l’activité sont sensiblement plus élevés et le taux de remplacement beaucoup plus faible.
En cas de décès, si rien n’est prévu, les héritiers, les parts d’héritage et les droits de succession sont fixés par la loi. Faut-il anticiper ou subir une transmission ?
La non-indexation à l'inflation du barème de l'impôt sur le revenu, entre 2018 et 2022, génère un surplus d'impôt. Pour 50k€ de revenus taxables, un célibataire paye 4 % d'impôt sur le revenu supplémentaire en 2022.
Les indicateurs clés : évolution des indices actions et obligations
Les fluctuations des économies jouent sur les actifs financiers. En fonction de la position dans le cycle économique, certains actifs sont plus adaptés que d’autres. En 2004, Merrill Lynch a publié une étude sous le titre « Investment Clock » pour proposer un schéma d’investissement sur les grandes classes d’actifs en fonction du cycle économique. Reprenons ses principes et tentons une application à l’environnement actuel.
Les indicateurs clés : évolution des indices actions et obligations
Les dirigeants entre 41 et 60 ans représentaient plus de 60 % des dirigeants de PME en 2017, la majorité de ces personnes se poseront donc, dans les années à venir, la question de la transmission de leur outil professionnel.
