L’inflation poursuit sa descente, mais les banques centrales restent vigilantes en raison d’une activité économique encore soutenue, notament aux États-Unis).
Les taux obligataires se sont donc maintenus à un niveau élevé (4 % au US et 3 % en France).
Sur les perspectives, les anticipations des intervenants de marché pointent vers un ralentissement de l’activité qui reste contenu à ce jour.
Au sein des secteurs, les thématiques qui avaient été favorisées par les investisseurs (luxe, technologies) marquent une pose au profit de thématiques plus cycliques (banques, foncières, énergie).
En cas de décès, si rien n’est prévu, les héritiers, les parts d’héritage et les droits de succession sont fixés par la loi. Faut-il anticiper ou subir une transmission ?
La non-indexation à l'inflation du barème de l'impôt sur le revenu, entre 2018 et 2022, génère un surplus d'impôt. Pour 50k€ de revenus taxables, un célibataire paye 4 % d'impôt sur le revenu supplémentaire en 2022.
Les indicateurs clés : évolution des indices actions et obligations
Les fluctuations des économies jouent sur les actifs financiers. En fonction de la position dans le cycle économique, certains actifs sont plus adaptés que d’autres. En 2004, Merrill Lynch a publié une étude sous le titre « Investment Clock » pour proposer un schéma d’investissement sur les grandes classes d’actifs en fonction du cycle économique. Reprenons ses principes et tentons une application à l’environnement actuel.
Les indicateurs clés : évolution des indices actions et obligations
Les dirigeants entre 41 et 60 ans représentaient plus de 60 % des dirigeants de PME en 2017, la majorité de ces personnes se poseront donc, dans les années à venir, la question de la transmission de leur outil professionnel.