Recourir à un conseiller en gestion en patrimoine, ou CGP, vous permet de bénéficier d’un accompagnement personnalisé sur votre épargne et, au-delà, pour toute votre stratégie patrimoniale.
Les conseillers en gestion de patrimoine, ou CGP, sont des professionnels, capables de vous conseiller sur l’ensemble de votre patrimoine, qu’il soit financier et/ou immobilier. Ils font appel à de nombreuses compétences, qui vont du sens de l’écoute et de la relation client, pour bien cerner vos attentes, à de solides connaissances juridiques, financières, fiscales et réglementaires pour proposer les solutions les plus adaptées. Un conseiller en gestion du patrimoine peut aussi vous recommander un notaire, un expert-comptable ou tout autre professionnel qui pourraient être nécessaires dans le cadre de votre stratégie patrimoniale.
Pour vous accompagner dans les meilleures conditions et vous proposer des solutions d’investissement adaptées, un conseiller en gestion de patrimoine doit être titulaire de statuts réglementés en fonction de la typologie de produits conseillés. Ces statuts sont cumulatifs et sont régis par des réglementations spécifiques parmi lesquels on retrouve :
Pour vous permettre de vérifier la détention de ces différents statuts, vous avez la possibilité de vérifier l’ensemble de ces informations qui sont disponibles sur des sites officiels tels que l’ORIAS (Registre unique des intermédiaires en assurance, banque, finance) pour les statuts de CIF, IAS et IOBSP ainsi que sur le site de la CCI pour les CGP titulaires de la Carte T.
Faire appel à un CGP permet de bénéficier de l’expertise nécessaire dans la gestion de tous les pans de son patrimoine et présente plusieurs avantages.
Avant tout conseil en solution d’investissement, le conseiller en gestion de patrimoine réalise un audit complet de la situation de l’épargnant sous plusieurs angles : approche matrimoniale et patrimoniale, financière, budgétaire ; définition de vos objectifs, besoins et contraintes ; définition du profil d’investisseur (évaluation du niveau de connaissance et d’expérience en matière financière, tolérance au risque, horizon d’investissement, préférences en matière de critères environnementaux, sociaux et gouvernementaux).En fonction de ces différents éléments et du cahier des charges défini avec lui, le CGP proposera les produits financiers et/ou immobiliers les plus adaptés aux besoins et aux attentes de l’investisseur.
Le CGP effectue une veille permanente des marchés et de la situation économique. Ainsi, il peut identifier des opportunités de placement et aider à prendre les bonnes décisions au bon moment.
Le CGP a des compétences en droit civil. Il peut mesurer les conséquences financières d’un mariage, d’un divorce, d’un legs ou d’une donation. Il peut également aider à rédiger la clause bénéficiaire d’une assurance-vie (la désignation des personnes qui percevront les capitaux du contrat au décès de l’assuré) ou à préparer la transmission de son entreprise.
La rémunération d’un CGP se fait sous forme d’honoraires et/ou en commissions sur les placements réalisés.Les honoraires sont facturés pour les missions de conseil (organiser une donation, par exemple). Les commissions, quant à elles, représentent une partie des frais que les fournisseurs de produits (assureurs et sociétés de gestion, par exemple) prélèvent sur les contrats d’assurance-vie et les supports financiers, et versent au CGP pour rémunérer son travail d’intermédiaire.
À l’heure où les ETF séduisent de plus en plus d’investisseurs, la question mérite d’être posée. Entre promesse de performance, coûts réduits et vrais enjeux de diversification, faisons le point sur deux approches qui façonnent le paysage financier d’aujourd’hui.
Dans un contexte où les épargnants français recherchent du sens et de la rentabilité pour leur patrimoine, une opportunité se distingue : la dette privée. En effet, cette classe d’actifs permet de financer directement les entreprises tout en générant des revenus réguliers et attractifs. À mi-chemin entre rendement, diversification et utilité économique, elle s’impose comme un trait d’union puissant entre les besoins de financement de l’économie réelle et les objectifs patrimoniaux des investisseurs.
Au 1er trimestre 2025, le taux d’épargne des Français s’est établi à 19,1 % du revenu disponible, ce qui correspond à plus de 1 000 milliards d’euros, un record historique. Le patrimoine financier des ménages atteint désormais 6 500 milliards d’euros affectés pour les deux tiers, à parité, en dépôts ou livrets réglementés et en assurance-vie.
Cette affirmation attribuée au père de la physique moderne, Albert Einstein, souligne l’idée que la connaissance, aussi rigoureuse soit-elle, devient stérile si elle n’est pas accueillie dans un climat de confiance mutuelle.
Dans un monde patrimonial en mutation, le Family Office s’impose comme un acteur central pour accompagner les grandes fortunes dans la gestion stratégique et durable de leur patrimoine. Ce chef d’orchestre discret mais décisif aide les familles à conjuguer pérennité, diversification et vision à long terme.
Investir en Bourse peut sembler complexe, mais certaines stratégies rendent l’expérience plus accessible et lisible. Le mandat Action Europe Dividendes, géré par Zenith Asset Management*, en est un bon exemple : il mise sur la solidité des grandes entreprises européennes et leur capacité à verser des dividendes réguliers.