Le PEA, combiner souplesse de fonctionnement et avantages fiscaux
Le PEA (Plan d’épargne en actions) est une solution incontournable de diversification de l’épargne. Il permet de dynamiser une partie de son patrimoine en investissant sur le marché des actions européennes, tout en bénéficiant de conditions fiscales avantageuses.
Le PEA permet de constituer une épargne à votre rythme
Aucun versement minimal n’est imposé à l’ouverture. Il est possible d’effectuer des versements sur le PEA à tout moment, en fonction des opportunités de marché. Le plafond de versement est fixé à 150 000 euros par contribuable et 300 000 euros pour les couples.
Le PEA permet de dynamiser l’épargne à long terme
Investir dans un PEA permet de profiter du potentiel de croissance à long terme des marchés actions européennes. Les arbitrages réalisés au sein du PEA (hors cas de sortie avant 5 ans) ne sont pas soumis à imposition. Cela permet d’adopter une gestion souple et réactive de son investissement, en phase avec la nature même des marchés concernés.
Le PEA offre une fiscalité avantageuse après cinq ans
Les retraits effectués après 5 ans sont exonérés d’impôt sur le revenu (seuls les prélèvements sociaux sont dus). En cas de retrait avant 5 ans, la totalité des gains est imposée au prélèvement forfaitaire unique (PFU) de 30 %, soit 12,8 % au titre de l’imposition sur le revenu et 17,2 % de cotisations sociales.
La réussite d’une entreprise repose nécessairement sur un ensemble de facteurs économiques et conjoncturels, qui ne suffisent pas à eux seuls à assurer le développement de la société. Le dénominateur commun à la croissance d’une entreprise est par essence l’Humain, et plus particulièrement les « hommes-clés » que l’on retrouve derrière chaque projet entrepreneurial.
Avec une dette publique dépassant 115 % du PIB et un déficit persistant de 5,4 %, la France traverse une zone de turbulences sans précédent.
Le projet de loi de finances pour 2026, tel que présenté en Conseil des Ministres le 14 octobre 2025 envisage d’instaurer de nouvelles impositions et la suppression ou modification de certaines mesures fiscales.
En France, près de 37 000 transmissions ont été enregistrées en 2024 et la vague de départs à la retraite des dirigeants va se renforcer : sur la décennie à venir, environ 500 000 entreprises vont être transmises. La préparation de cette transmission est le gage de la pérennité de l’entreprise.
Créer une entreprise, la faire grandir, la céder ou la transmettre : derrière ces mots se cache une aventure humaine et économique, jalonnée de choix déterminants. À chaque étape, le dirigeant se retrouve face à des décisions qui engagent son avenir, celui de son entreprise et de sa famille. Et dans ce parcours, une certitude s’impose : l’accompagnement n’est pas une option, mais un levier de réussite.
Il y a des idées qui reviennent régulièrement dans le débat public, portées par la promesse d’une « justice fiscale » et d’un monde meilleur. La taxe Zucman, impôt plancher sur la fortune (IPF) de 2 % sur les patrimoines supérieurs à 100 millions d’euros, en est l’exemple parfait. Mais, derrière la façade a priori séduisante de la lutte contre les inégalités, cette mesure relève surtout d’une démagogie fiscale qui ignore la réalité économique, juridique et même… mathématique.